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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
La Bible Annotée de Neuchâtel La Bible Annotée de Neuchâtel
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Luke 18". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/commentaries/fre/neu/luke-18.html.
bibliography-text="Commentaire sur Luke 18". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-43
Plan du commentaire biblique de Luc 18
La parabole
Pour encourager ses disciples à prier avec persévérance, Jésus leur propose lâexemple dâune pauvre veuve qui, à force dâinsistance, obtient justice dâun juge qui, ne craignant ni Dieu ni homme, lui fait droit par égoïsme et pour être délivré de son importunité (1-5).
Lâapplication
Jésus leur fait remarquer les mobiles de ce juge et en conclut que Dieu, à plus forte raison, écoutera ses élus et leur fera promptement justice. Mais le fils de lâhomme à son avènement trouvera-t-il la foi (6-8) ?
Verset 1
La parabole du juge inique (1-8)
Verset 2
En ces termes, grec disant.
Cette parabole se trouve dans un rapport intime avec le discours prophétique qui précède. Câest ce que Luc indique par lâexpression qui lui est familièreâ¯: Il leur disait aussi.
De plus la nécessité de la prière, de la prière persévérante et sans découragement, résulte des dangers qui environneront lâÃglise et chaque âme individuelle dans le dernier combat qui précédera lâavènement du Sauveur.
La position des chrétiens dans le monde leur fait du reste éprouver en tout temps ce pressant besoin de la prièreâ¯; sans elle chacun dâeux serait semblable à cette pauvre veuve, opprimée et destituée de toute protection (verset 3).
Verset 3
Ainsi, dâune part, un juge qui nâa aucune crainte de Dieu et aucun égard pour aucun homme, qui, par conséquent, sera sans conscience et sans cÅur dans ses procédésâ¯; dâautre part, une pauvre veuve affligée dans ses affections les plus intimes, et, en outre, opprimée par sa partie adverse, tels sont les personnages en présence.
Ce que la veuve demande, ayant le droit de lâattendre dâun juge, ce nâest pas une vengeance, comme le disent nos anciennes versions et même celle de Lausanne, mais (grec) sa délivrance par la justice (il en est de même aux versets 7 et 8).
Et lâévangéliste, en mettant le verbe à lâimparfaitâ¯: elle venait à lui, indique quâelle avait réitéré souvent et longtemps sa prière (verset 4). Ce fut là le moyen de sa délivrance (verset 5).
Verset 5
Grecâ¯: me frapper sous les yeux.
Ce mot se retrouve une seule fois encore dans le Nouveau Testament (1 Corinthiens 9.27), dans le sens général de traiter rudement. Les interprètes modernes prennent le mot au propre et supposent que le juge exprime ironiquement la crainte quâelle ne finisse par se livrer à des voies de fait.
Il est pourtant plus naturel de lâentendre au figuréâ¯: me tourmenter, me rompre la tête.
On peut traduire aussiâ¯: quâelle ne vienne jusquâà la fin.
Le motif égoïste invoqué par le juge est bien en harmonie avec son cynismeâ¯: il avoue nâavoir ni crainte de Dieu, ni égard pour personne.
Verset 7
Ãcoutezâ¯! Faites attentionâ¯: ce juge injuste (grec juge de lâinjustice, comparez Luc 16.8), dans son égoïsme, a pourtant fini par accorder à la veuve ce quâelle demandait.
Et Dieuâ¯! Le Dieu juste et miséricordieux, fera-t-il moins pour ses élus, ses enfants bien-aimés, qui, du sein de lâoppression, crient à lui jour et nuitâ¯! Tel est le point de comparaison quâil faut bien saisir pour comprendre la parabole.
Ici, comme dans dâautres similitudes, Jésus enseigne, non par analogie, mais par contraste (Luc 11.5 et suivantsâ¯; Luc 16.1 et suivants). Aussi la conclusion ressort-elle dâautant plus vive par un raisonnement à fortioriâ¯: à plus forte raisonâ¦
Cette dernière phrase, qui ajoute une idée nouvelle à la question précédente, présente quelques difficultés. Le texte le plus autorisé (Codex Sinaiticus, A, B, D) porteâ¯: use-t-il de patience à leur égardâ¯? La plupart des commentateurs modernes font de cette phrase une question indépendante de la précédente et donnent au verbe le sens dâagir avec lenteurâ¯: tarde-t-il à leur égardâ¯?
Le verbe au présent ne convient guère dans cette explication et la signification tarder nâest pas suffisamment établie. Il est plus naturel de rattacher étroitement cette proposition à la précédente et de la faire dépendre de la négation de celle-ciâ¯: et nâuse-t-il pas de longanimité, nâest-il pas rempli de bonté à leur égardâ¯? (J. Weiss).
Si cette traduction ne paraissait pas admissible, il faudrait, avec M. Godet, reconnaître que la leçon des principaux manuscrits ne présente aucun sens convenable et revenir à celle du texte reçuâ¯: lors même quâil use de patience (diffère) à leur égard.
Verset 8
Câest la réponse à la question du verset précédent. Lâidée dâun prompt retour de Christ pour la délivrance des élus est exprimée en divers endroits des Ãcritures dans les mêmes termes (Romains 16.20â¯; Apocalypse 1.1â¯; Apocalypse 3.11â¯; Apocalypse 22.20, etc.).
Si de telles déclarations semblent au premier abord nâavoir pas été réalisées par lâévénement, nous devons nous souvenir, dâune part, que ce temps dâattente et dâépreuve qui parait très long à ceux qui souffrent, est pourtant très court aux yeux de Celui pour qui «â¯mille ans sont comme un jourâ¯Â» et qui veut accomplir les desseins de sa miséricorde envers tous ses élus (2 Pierre 3.8-9)â¯; dâautre part, que cette promesse dâune prompte délivrance sâapplique, non seulement à lâÃglise dans son ensemble, mais à chacun des élus, pour qui lâheure de la mort est aussi lâheure de la délivrance. Câest dans cette vue que saint Paul pouvait appeler «â¯légèreâ¯Â» lâaffliction actuelle des chrétiens, qui produit en eux une gloire éternelle (2 Corinthiens 4.17).
La promesse de Dieu est certaine, infaillibleâ¯; seulement ses enfants sauront-ils tous «â¯persévérer jusquâà la finâ¯Â» en gardant la foi, la vraie foi qui seule peut les maintenir en communion avec le Sauveurâ¯?
Câest avec tristesse et pour donner un avertissement à ses disciples, que Jésus pose cette question. Il vient de dire dans quel état dâoubli de Dieu se trouvera le monde à sa venue (Luc 17.26-29) et quant à ses disciples eux-mêmes, il a prédit ailleurs (Matthieu 24.12) quâau sein des tribulations des derniers temps, «â¯la charité du grand nombre se refroidiraâ¯Â».
Cependant, la question ne signifie pas quâil ne trouvera plus de foi sur la terreâ¯; car dans ce sens absolu elle serait en contradiction avec la promesse de délivrance quâil vient de faire à ses élus (versets 7 et 8).
Il est remarquable que Jésus, même en parlant de son apparition dans la gloire, se désigne comme le fils de lâhomme (voir, sur ce terme, Matthieu 8.20, note).
Verset 9
Le pharisien
Jésus propose une parabole à quelques hommes qui sâestimaient justes et qui méprisaient les autresâ¯: Un pharisien et un péager montent au temple pour prier. Le pharisien, se présentant avec assurance, rend grâces à Dieu, dâabord de tout le mal quâil ne fait pas, puis de tout le bien quâil fait (9-12).
Le péager
Le péager montre par son attitude quâil est profondément humilié devant Dieu et prie ainsiâ¯: à Dieu ! Sois apaisé envers moi qui suis pécheur (13) !
Le résultat
Sur quoi Jésus déclare que celui-ci fut justifié devant Dieu et non pas celui-là . Car quiconque sâélève sera abaissé (14).
Enseignements divers
Versets 9 à 14 â Parabole du pharisien et du péager
Cette parabole, particulière à Luc, comme la précédente, est sans relation apparente avec lâenseignement renfermé dans celle-ci. Elle fut provoquée sans doute par quelque manifestation de propre justice qui attira lâattention du Sauveur et de son entourage.
Il est inutile de se demander qui étaient ces quelques-uns à qui Jésus lâadresse plus spécialement. Luc ne le dit pas. Ce nâétaient pas les pharisiens du Luc 17.20, qui paraissent sâêtre éloignés, tandis que Jésus sâadressait aux disciples (verset 22). Il est peu probable que Jésus eût mis en scène lâun des leurs en leur présence.
Mais si les hommes dont il sâagit nâétaient pas des pharisiens, ils étaient remplis de sentiments pharisaïques. Ils se persuadaient quâils étaient justes (ou suivant une autre traductionâ¯: ils se confiaient en eux-mêmes, pensant être justes) et méprisaient les autres.
Lâorgueilleuse propre justice était lâesprit même de la secte. Lâhomme est toujours disposé envers ses semblables selon quâil lâest envers Dieuâ¯: humble et repentant «â¯il les estime plus excellents que lui-mêmeâ¯Â» (Philippiens 2.3)â¯; propre juste, il les méprise.
Verset 10
Voir, sur les pharisiens, Matthieu 3.7, note, et, sur les péagers, Matthieu 5.46, note.
Jésus met en présence ces deux hommes dont les dispositions morales sont aux deux pôles extrêmes de la vie religieuse et leur fait exprimer clairement leurs pensées.
En aucune occasion lâhomme ne révèle plus distinctement ce qui remplit son cÅur que dans la prière.
Verset 11
Debout, avec assurance, la tête haute, tout lâopposé du péager (verset 13).
Grecâ¯: Il priait ces choses à lui-même. Ses pensées, sâarrêtant avec complaisance sur lui-même ne sâélevaient pas jusquâà Dieu.
Les mots à lui-même manquent dans Codex Sinaiticus et lâItala. La Peschito traduitâ¯: se tenant à part (pour lui-même). Lâordre des mots dans A, D, majuscules favoriserait cette traduction, mais les commentateurs nient quâon puisse donner ce sens à la préposition grecque et les éditeurs du texte préfèrent en général la leçon de B, qui rattache les mots à lui-même au verbe il priait.
Le pharisien, voulant se juger, prend pour mesure, non pas la loi de Dieu, mais le reste des hommesâ¯; et ces hommes, il exagère leurs vices jusquâà la calomnie, car ils ne sont pas tous comme il les décrit. Enfin, son dernier mot trahit un profond mépris (verset 9) pour le péager.
Verset 12
Jeûner deux fois la semaine (le lundi et le jeudi) et donner la dîme de tous ses revenus, tel était le devoir de tout Israélite.
Le pharisien le remplissait, mais il sâen fait ici un titre de propre justice devant Dieu et de gloire devant les hommes. Il était monté au temple pour prier et il nâa rien demandé. Sa prière consiste à énumérer dâabord le mal quâil ne fait pas, puis le bien quâil faitâ¯; mais tout cela considéré dans des actes purement extérieurs, dans lesquels ni la conscience ni le cÅur nâont de part.
Verset 13
Tout, dans ce péager, dénote la plus profonde repentance de ses péchés, son attitude aussi bien que ses paroles.
Il se tient à distance du sanctuaireâ¯; il nâose pas même lever ses regards vers le ciel, de peur dây rencontrer son Jugeâ¯; il se frappe la poitrine, en signe de profonde douleur.
Quant à sa prière, elle est une humble confession et une ardente supplication. Elle nâuse pas de beaucoup de paroles, elle est un cri de lââme.
Le mot que nous traduisons par sois apaisé signifie sois réconcilié ou propice, dans le sens que nous attachons au mot propitiation. Câest lâidée du pardon complet, accordé par la miséricorde de Dieu.
Verset 14
Le mot justifié doit être entendu dans le sens que Paul lui donne toujoursâ¯: être déclaré juste, tenu pour juste de la part de Dieu.
Le péager, en sâen retournant, emporta dans son cÅur la douce assurance du pardon de tous ses péchés, avec la paix de Dieu.
Nous voyons par ce passage que la grande vérité de la justification du pécheur sans les Åuvres de la loi nâétait point exclusivement propre à lâapôtre Paul. Jésus la révèle clairement iciâ¯; bien plus, elle était connue aux fidèles de lâAncien Testament (Genèse 15.6â¯; Ãsaïe 53.11â¯; Jérémie 23.6).
Le mot traduit par plutôt que celui-là , présente dans les manuscrits trois variantes qui toutes signifie que le pharisien ne fut pas justifié.
Voir Matthieu 23.12â¯; Luc 14.11, notes.
Verset 15
Les disciples les repoussent
On présente à Jésus les petits enfants même, afin quâil les bénisse. Les disciples sây opposent (15).
Jésus les accueille
Mais Jésus appelle à lui ces petits enfants, disantâ¯: Laissez-les venir à moi, car le royaume de Dieu est à qui leur ressemble ; pour y entrer, il faut le recevoir comme un petit enfant (16, 17).
Jésus bénit les petits enfants (15-17)
Voir, sur ce récit, Matthieu 19.13-15â¯; Marc 10.13-16, notes.
Câest ici que Luc rejoint la narration de Matthieu et de Marc, après avoir suivi son récit du voyage de Jésus depuis le Luc 9.51 (voir la note). Jésus se trouve encore dans la Pérée, sâavançant vers Jérusalem.
Lâexpression de Lucâ¯: on lui présentait même les petits enfants (grec les nourrissons), montre quâalors lâinfluence de Jésus était telle, que des parents, après avoir reçu de lui de grandes bénédictions, désiraient quâelles sâétendissent jusquâà leurs petits enfants.
Le verbe à lâimparfait, comme dans Marc, semblerait indiquer que ce fait se produisit plus dâune fois.
Verset 18
Lâentretien avec le chef
Déclaration de Jésus sur le danger des richesses
Déclaration de Jésus relative à la récompense des disciples
Voir, sur ce trait, Matthieu 19.16-22, notesâ¯; Marc 10.17-22, notes.
Verset 20
Le jeune homme riche, danger des richesses, la récompense (18-30)
Le septième commandement est cité avant le sixième. La même interversion se trouve dans Marc 10.19â¯; Romains 13.9. Lâordre habituel est suivi dans Matthieu 19.18.
Dans Exode 20.13-15, quelques manuscrits des Septante portent les commandements dans lâordre suivantâ¯: 7e, 8e, 6e.
Verset 22
Grecâ¯: il te reste encore une chose (à faire).
Cette manière de parler ne signifie pas que Jésus approuve son interlocuteur quand il se vante dâavoir gardé tous les commandements de Dieu (verset 21)â¯; il nâentre point en discussion avec lui sur ce pointâ¯; il se contente de lui proposer la seule chose nécessaireâ¯: le suivre, en renonçant à tout. Cet ordre sera lâépreuve qui fera tomber ses illusions.
Verset 23
Matthieu et Marc disentâ¯: il sâen alla tout triste.
En effet, le riche nâétait sûrement plus présent quand Jésus prononça le discours qui va suivre.
Verset 24
Voir, sur ce discours, Matthieu 19.23-26â¯; Marc 10.23-27, notes.
Une variante de Codex Sinaiticus, B supprime les motsâ¯: quâil était devenu tout triste et porte simplementâ¯: Jésus, le voyant.
Verset 28
Voir, sur cet entretien, Matthieu 19.27-29â¯; Marc 10.28-30, notes.
Le texte reçu porte iciâ¯: nous avons tout quitté et nous tâavons suiviâ¯; correction par laquelle on a voulu conformer les termes de Luc à ceux des deux premiers évangiles.
Verset 29
Tel est lâordre de cette énumération dans Codex Sinaiticus, B.
Le texte reçu porteâ¯: ou parents ou frères ou femme.
Verset 31
Troisième annonce de la passion
Jésus prend à part les douze et leur annonce quâà Jérusalem vont sâaccomplir toutes les prophéties à son sujet. Il sera livré aux païens, qui le maltraiteront et le mettront à mort. Le troisième jour il ressuscitera. Les disciples ne comprennent rien à ces paroles (31-34).
Voir, sur cette annonce des souffrances de Jésus, Matthieu 20.17-19â¯; Marc 10.32-34, notes.
Câest la troisième fois que Jésus prédit à ses disciples ce qui va lui arriver (Luc 9.22â¯;Luc 9.44-45).
Les motsâ¯: Voici, nous montons à Jérusalem indiquent que le Sauveur et ses disciples, quâil avait pris à part pour leur faire cette douloureuse confidence, sâacheminaient alors définitivement vers la ville sainte. Ils en étaient même déjà assez rapprochés (verset 35).
La fin du verset est susceptible de deux constructionsâ¯: «â¯les choses écrites pour le fils de lâhomme seront accompliesâ¯Â» ou «â¯les choses écrites seront accomplies pour le fils de lâhommeâ¯Â».
Verset 34
Luc exprime ici en termes plus forts encore quâailleurs (comparez Luc 9.45) lâinintelligence des disciples, qui se refusaient à entrer dans la pensée des souffrances et de la mort de leur Maître.
Ils ne pouvaient pas ne pas comprendre le sens littéral de ces parolesâ¯; mais câest précisément ce sens littéral quâils ne voulaient ni croire ni admettre, parce quâil confondait toutes leurs idées et leurs espérances terrestres. Ils cherchaient donc probablement quelque signification symbolique à la déclaration de Jésus, comme si elle eut été une parabole et ils nâen trouvaient point.
Verset 35
Sa rencontre avec le Sauveur
Comme Jésus approche de Jéricho, un aveugle, qui mendie assis au bord du chemin, apprenant que câest lui qui passe, sâécrieâ¯: Fils de David ! Aie pitié de moi ! Et comme on veut lui imposer silence, il crie encore plus fort (35-39).
Sa demande exaucée
Jésus commande quâon le lui amène et lui ditâ¯: Que veux-tu que je te fasse ? Seigneur, que je recouvre la vue, lui répond lâaveugle. Jésus lui accorde sa requête et à lâinstant, il est guéri. Il suit Jésus et le peuple, témoin de ce miracle, loue Dieu (40-43).
Jéricho
Versets 35 à 43 â Lâaveugle guérit à Jéricho
Verset 36
Voir, sur la guérison de cet aveugle, Matthieu 20.29-34â¯; Marc 10.46-52, notes.
Sur Jéricho, voir Luc 19.1, note.
Verset 43
Cette double remarque, que lâaveugle guéri glorifiait Dieu et que tout le peuple, témoin de cette scène admirable, se joignait à lui pour donner louange à Dieu, est particulière à Luc.