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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique intermédiaire Commentaire biblique intermédiaire
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Ephesians 4". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/commentaries/fre/cbi/ephesians-4.html.
bibliography-text="Commentaire sur Ephesians 4". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-32
V. 1-2
En commençant le chapitre 4, nous reprenons le fil du sujet laissé par Paul à la fin du v. 1 du ch. 3. En relativement peu de mots, il a été placé devant nous lâappel du chrétien dans son élévation et sa plénitude selon les pensées et les propos de Dieu. De plus, cet appel a été déployé devant nous, non seulement dans ses rapports avec chacun de nous individuellement, mais aussi dans ce qui nous concerne tous ensemble collectivement ou comme assemblée. Maintenant vient une exhortation de caractère général recouvrant toutes les exhortations plus détaillées dont sont remplis les chapitres qui restent. Lâapôtre savait très bien quâil ne suffit pas de donner des instructions générales, mais quâil est aussi nécessaire de traiter ces détails très intimes et non équivoques, qui atteignent tous les cÅurs et les consciences. Que ceux qui annoncent la Parole aujourdâhui tiennent compte de ceci, et quâils soient aussi sages et courageux que lâapôtre.
Les exhortations contenues dans la première partie du ch. 4 jusquâau v. 16 ont évidemment en vue notre appel, non comme individus, mais comme membres du corps de Christ, lâéglise. Combien il y a souvent des frictions dans les assemblées des saints! Un peu dâexpérience de la vie dâassemblée suffira à nous en convaincre. Il y a donc ici un champ immense pour que soient cultivées les beautés et les grâces énumérées au v. 2. Lâesprit humble ne pense rien de lui-même. La débonnaireté1, lâopposé de lâautoritarisme, est bien sûr le résultat direct de lâhumilité. La longanimité, lâopposé de lâesprit irréfléchi si critique vis-à -vis des autres, est fille de lâhumilité et de la débonnaireté. Quand toutes ces trois vertus sont en action, quâil est simple et heureux de se supporter les uns les autres dans lâamour! Lions aussi lâamour avec ce que nous venons juste de voir au ch. 3. Enracinés et fondés dans lâamour, et sachant au moins quelque chose de lâamour de Christ qui surpasse toute connaissance, nous sommes rendus capables par les yeux de lâamour de regarder tous les saints, même ceux qui, parmi eux, sont le moins aimables selon la nature.
1 J.N. Darby traduit ce mot par «douceur» en français, mais par «débonnaireté» dans sa version anglaise. Le mot à même racine que «débonnaire» en Matt. 11:29.
V. 3
Parmi les hommes nous voyons la tendance de lâamour à dégénérer en une sorte dâamabilité molle qui finit par trouver des excuses à toutes sortes de choses loin dâêtre droites. Il ne faut pas quâil en soit ainsi parmi les saints, car une norme bien définie est placée devant nous. Nous avons à avoir un but autre quâun simple consensus, car nous pourrions tous avoir une même pensée et avoir un accord le plus harmonieux possible, pour quelque chose dâentièrement erroné! Nous avons à avoir toute diligence pour garder lâunité de lâEsprit â non pas lâunité de Paul ou de Pierre, non pas la vôtre ni la mienne, mais bien plutôt lâunité que lâEsprit a produite. Nous nâavons pas fait lâunité, et nous ne pouvons pas rompre lâunité. LâEsprit lâa faite et nous avons à la garder dâune manière pratique dans le lien de la paix. Ce doit être notre effort constant. Notre réussite dans cet effort dépendra de la mesure dont nous sommes marqués par les belles caractéristiques mentionnées au v. 2.
V. 4-6
Si le v. 2 de notre chapitre nous donne les caractéristiques qui, une fois développées en nous, conduiront à garder lâunité de lâEsprit, les v. 4 à 6 nous donnent une série dâunités qui soutiennent fortement lâexhortation du v. 3. Le terme «un seul», ou «une seule», figure sept fois dans ces trois versets.
Nous avons dâabord lâunicité du corps de Christ, composé de tous les saints de la présente dispensation. Ce corps a été formé par le baptême du Saint Esprit et lâhabitation du Saint Esprit, et tous les membres de ce corps partagent un seul appel, qui leur est commun, et qui a une seule espérance en vue. Rien dâirréel nâentre dans ce corps. Tout est vital ici dans la vie et lâénergie de lâEsprit.
Nous avons ensuite le Seigneur, et la foi et le baptême qui lui sont liés. Lâunicité est marquée sur ces choses liées au Seigneur, pareillement à tout ce qui est relié avec lâEsprit â bien que certains puissent professer la foi et accepter le baptême, et ensuite se détourner pour nâêtre rien de plus que de simples professants.
Ensuite nous arrivons à Dieu le Père, et ici encore il est insisté auprès de nous sur lâunicité du fait que nous trouvons tous notre origine en Lui. Et en outre, bien quâIl soit au-dessus de tout et partout, Il est en nous tous.
Dans ces sept unités, on trouve le fondement et le support de lâunité de lâEsprit, que nous sommes responsables de garder. Elle est soutenue de cette septuple manière qui est un témoignage bien net à son importance, comme aussi à notre faiblesse pour la garder. Nous sommes un, du fait de la présence et de lâaction de lâEsprit de Dieu. Nous pouvons manquer à garder lâunité, néanmoins lâunité ne cesse dâexister, car elle subsiste dans lâénergie de Dieu.
Dâun autre côté, si nous manquons à la garder, nous sommes de grands perdants, et le témoignage de Dieu en souffre. Lâétat si divisé du peuple de Dieu proclame à quel point affligeant nous avons manqué à cet égard, et il explique très largement la faiblesse, et le manque dâintelligence et de vigueur spirituelle qui prévalent. Nous ne pouvons pas redresser lâétat présent de division, mais nous pouvons choisir comme objectif de poursuivre lâunité qui est de lâEsprit de Dieu avec toute humilité, débonnaireté, longanimité et patience. Seulement ce doit être lâunité de lâEsprit. Avoir lâobjectif de garder une quelque autre unité, la votre, la mienne ou celle dâun dâautre, câest manquer lâunité de lâEsprit.
V. 7-8
En outre, lâunité ne signifie pas une uniformité morte â le v. 7 en est un témoignage clair. Nous sommes tous un, mais à chacun de nous sont donnés à la fois le don et la grâce qui nous sont propres. Cette pensée conduit lâapôtre à faire référence à ces dons dont la nature spéciale demeure, qui ont été accordés par Christ monté au ciel comme preuve et manifestation de Sa victoire.
La citation du v. 8 est tirée du Ps. 68, un psaume qui célèbre prophétiquement la victoire divine sur les rois rebelles et sur tous Ses ennemis, qui inaugurera lâère millénaire glorieuse. Lâapôtre savait que la victoire qui doit alors être publiquement manifestée, a déjà été accomplie dans la mort, la résurrection et lâascension de Christ. Câest pourquoi il sâempare des termes du Psaume et les applique à Christ monté au ciel avant quâarrive le jour de la victoire millénaire. Ayant vaincu Satan dans la mort, sa dernière forteresse, Il est monté en haut, sâétant assujetti ceux qui avaient été les esclaves de Satan. Alors Il signale Sa victoire en accordant à ceux qui sont maintenant subjugués par Lui, des pouvoirs spirituels qui devraient suffire à faire Son Åuvre, même sâils sont encore dans le territoire où il est permis à Satan dâexercer ses ruses.
V. 9-10
Les v. 9 et 10 sont une parenthèse. Ils mettent en relief deux choses. La première est quâavant quâIl soit monté, Il est dâabord descendu dans la mort, où Il a vaincu la puissance de lâennemi, et même le tombeau. La seconde, est quâayant achevé Sa victoire, Il a reçu lâexaltation suprême, en vue de remplir toutes choses.
«Au-dessus de tous les cieux» est une expression remarquable. En Marc 16 nous avons le Serviteur divin «élevé en haut dans le ciel». En Héb. 4 le «grand Souverain Sacrificateur a traversé les cieux». Ici lâhomme victorieux «est monté au-dessus de tous les cieux». Les cieux des cieux sont à Lui, et ils le sont pour quâIl puisse «remplir toutes choses» â une autre expression remarquable. Aujourdâhui aussi tout croyant devrait être rempli de lâEsprit comme nous le voyons un peu plus loin dans cette épître. Tout croyant rempli de lâEsprit est nécessairement rempli de Christ, et par conséquent Christ se découvre chez lui. Si nous sommes remplis de Christ, nous manifestons Son caractère. Le jour vient où Christ remplira toutes choses, et par conséquent toutes choses manifesteront Lui et Sa gloire. Le «toutes choses» dont il est parlé ici est bien sûr toutes choses qui dâune manière ou dâune autre sont sous Lui comme chef â toutes choses dans lâunivers de bénédiction.
V. 11
Le v. 11 fait suite directement au v. 8. Les quatre grands dons sont spécifiés. Les apôtres sont les hommes envoyés pour établir lâéglise, et par qui, pour lâessentiel, les Ãcritures inspirées sont arrivées jusquâà nous. Les prophètes sont des hommes suscités pour parler de la part de Dieu, transmettant Ses pensées â quâils le fassent par inspiration comme dans les premiers jours de lâéglise, ou non. Les évangélistes sont ceux qui diffusent dans le monde le grand message qui, une fois reçu, sert à sauver les hommes de la puissance de lâennemi. Les pasteurs et docteurs (enseignants) sont ceux qui sont qualifiés pour instruire les croyants dans la vérité révélée, et à lâappliquer à leur état actuel, en sorte quâils soient nourris et maintenus en croissance et en santé spirituelle.
Le mot «pasteur» signifie simplement «berger», et les mots «pasteurs et docteurs» ne désignent pas deux dons, mais un seul. Que ceci soit pris à cÅur par quiconque est doué dans ce sens. Personne ne peut bien agir comme pasteur sans faire un peu dâenseignement, mais il est possible pour un homme très doué de se concentrer sur lâenseignement au point de ne jamais se soucier dâagir en berger; en pratique ceci se révèle très dommageable tant pour lui que pour ses auditeurs.
V. 12-15
Les buts en vue desquels sont donnés les dons sont indiqués aux v. 12 à 15. Il faut que les saints soient perfectionnés, et qualifiés chacun pour prendre la place qui leur revient dans le corps de Christ. Le travail de ministre [celui qui exerce un don] doit se poursuivre, et ainsi le corps doit être édifié. Tout ceci doit continuer jusquâà ce que le propos de Dieu quant au corps soit amené à lâachèvement. En attendant, les dons demeurent. Rappelons-nous que, dans ce passage, les dons ne sont pas exactement des pouvoirs conférés, mais plutôt les hommes qui possèdent ces pouvoirs et qui sont conférés comme dons à lâéglise. Les apôtres et les prophètes inspirés subsistent dans les Ãcritures qui nous sont parvenues par leur plume. Les prophètes non inspirés, en même temps que les évangélistes et pasteurs et docteurs, se trouvent encore dans lâéglise aujourdâhui.
Le but final en vue dans lâoctroi de ces dons, est indiqué au v. 13. Il faut que nous arrivions à lâétat «dâhomme fait», et cela selon la mesure de ce qui est le propos de Dieu pour nous. Comme corps de Christ, nous avons à être Sa plénitude (voir 1:23), et il faut que nous arrivions à la mesure de la stature de cette plénitude. Nous y arriverons en étant un â cette unité qui découle de la foi pleinement saisie et du Fils de Dieu réellement connu.
Le but de Dieu en rapport avec les dons est à nouveau placé devant nous aux v. 14 et 15, mais cette fois on a le but immédiat, non pas le but final. Câest pour que nous soyons caractérisés par la croissance spirituelle, en sorte quâau lieu dâêtre ballottés ça et là comme un bateau sans ancre, à la merci de faux docteurs, nous puissions tenir ferme la vérité dans lâamour, et que nous croissions de plus en plus en conformité avec Celui qui est notre tête.
V. 16
Ces buts soit finaux soit immédiats, sont très grands, très dignes de Dieu. Si nous les prenons en compte, nous ne nous étonnerons pas quâen vue dâeux, Christ monté au ciel ait épanché ces dons spéciaux. Or le v. 16 complète lâhistoire en montrant que lâaccroissement et lâédification du corps qui sont le but présent, ne peuvent pas être obtenus seulement par le ministère de ces dons spéciaux, mais que chaque membre du corps a un rôle à jouer, aussi obscur que soit ce membre. Il en est dans le corps de Christ tout comme dans le corps humain qui a beaucoup de parties et de jointures, chacune dâelles fournissant quelque chose pour lâentretien, la croissance et le bien-être généraux.
Il est très important que nous gardions ceci présent à lâesprit, sinon nous tombons facilement dans une manière de pensée selon laquelle le bien général et la prospérité spirituelle de lâéglise dans son ensemble dépendent des actions et du service dâhommes ayant des dons, et quâen conséquence quand lâétat de choses est pauvre et faible, ou que les choses vont carrément de travers, nous pouvons commodément nous absoudre de toute responsabilité et blâme, laissant tout cela sur le dos des dons. Le fait est que lâaction saine venant de chacun, jusquâau plus petit et au moins en vue, est nécessaire pour la bonne santé de lâensemble. Ayons tous pour but dâavancer nous-mêmes de manière quâil y ait un accroissement du corps, pour lâédification de lui-même en amour. En vérité, lâintelligence est nécessaire, mais lâamour, lâamour Divin, est la grande force pour lâédification. Dieu nous aide tous à être remplis de lâamour divin.
V. 17-24
Avec le v. 17 nous arrivons à des instructions de détail. Lâexhortation générale était au premier verset de notre chapitre, et elle avait un caractère positif. Ici la première injonction a un caractère négatif: ne pas marcher comme les hommes du monde. Les v. 18 et 19 nous font donner un coup dâÅil dans la fosse boueuse et noire de lâiniquité des nations qui environnait les saints à Ãphèse. Il y en a assez pour voir les mêmes caractéristiques hideuses exposées plus en détails dans lâépître de Paul aux Romains au ch. 1. Le monde Gentil du 20° siècle est-il meilleur? Nous craignons que non, même si le mal est plus habilement caché aux yeux de tout le monde. Il y a toujours et encore la vanité, allant de pair avec lâobscurité, lâignorance, lâaveuglement, et par conséquent à lâaliénation de toute vie qui est de Dieu.
Or nous avons appris Christ. Nous seulement nous Lâavons entendu, avec comme résultat que nous avons cru en Lui, mais nous avons été «instruits par Lui», ou «instruits en Lui» comme on peut aussi traduire le texte. Il est non seulement notre Docteur (Enseignant), mais notre Livre de Leçons. Il est non seulement notre Livre de Leçons, mais aussi notre Exemple. La vérité est en Jésus, câest-à -dire que Lui-même, quand Il était sur la terre, était la parfaite manifestation de ce qui nous est commandé. Il a manifesté parfaitement la «justice et la sainteté de la vérité» dont parle le v. 24.
Ce que nous avons appris, concerne donc trois choses: la première a trait au fait dâavoir dépouillé le vieil homme, qui est entièrement corrompu; la deuxième à trait au renouvellement complet de lâesprit de notre entendement; la troisième a trait au fait dâavoir revêtu le nouvel homme qui est entièrement selon Dieu. Le dépouillement et le revêtement ne sont pas des choses que nous avons à faire, comme le laisserait entendre la version autorisée (anglaise) du roi Jacques, mais quelque chose que le vrai croyant a faite: «⦠dâavoir, vous,1 dépouillé⦠et dâavoir revêtu».
1 version J.N. Darby en anglais. La version autorisée (anglaise) du roi Jacques traduit «que vous dépouillez â¦Â».
Le «vieil homme» nâest pas Adam personnellement, mais plutôt la nature et le caractère Adamique. Ainsi aussi le «nouvel homme» nâest pas Christ personnellement, mais la nature et le caractère qui sont Siens. La justice et la sainteté qui en découlent, et sont en accord complet avec la vérité, Lui appartenaient entièrement en propre, et étaient comme une croissance naturelle. Pour nous, elles ne sont pas naturelles, mais elles nous sont étrangères, et en ce qui nous concerne il est parlé du nouvel homme comme ayant été créé. Rien dâautre quâune création ne pouvait les produire, et rien moins quâun renouvellement complet de lâesprit de notre entendement.
Mais ne nous trompons pas: tout ceci est ce à quoi en est arrivé un vrai croyant. Cela fait partie de lâessence même du vrai christianisme. Nous avons à être caractérisés par une marche entièrement différente du reste des nations à cause de ce grand changement qui a eu lieu, si nous avons entendu et appris de Christ â ce qui revient à dire: si nous Lui appartenons.
V. 25-32
Lâapôtre continue en mettant le doigt sur des manifestations particulières du vieil homme que nous avons à dépouiller. Parce que le vieil homme a été dépouillé, nous avons à dépouiller tous ses caractères en détail. Lâapôtre commence par le mensonge qui doit être dépouillé en faveur de la vérité. Le verset précédent avait mentionné la sainteté de la vérité comme marquant le nouvel homme, aussi avons-nous à dépouiller le mensonge qui caractérise le vieil homme. De plus la colère, le vol, les paroles déshonnêtes, et tous les maux similaires de la langue doivent être ôtés, et nous devons être caractérisés par la bonté et le pardon. Nous avons à pardonner aux autres comme nous avons été pardonnés nous-mêmes.
Dans ces derniers versets du chapitre, nous nâavons pas seulement ce que nous avons à ôter, mais ce que nous avons à revêtir. Non pas le mensonge, mais la vérité. Non pas voler, mais travailler pour avoir de quoi donner à dâautres. Non pas un langage corrompu, mais des paroles de grâce et dâédification. Non pas de la colère et de lâamertume et de la crierie, mais de la bonté et du pardon. Et tout ceci en vue de la grâce que Dieu nous a montrée à cause de Christ, et en vue de lâhabitation de lâEsprit de Dieu.
Nous sommes scellés du Saint Esprit jusquâau jour de la rédemption de nos corps et de tout lâhéritage acheté par le sang de Christ. Il ne nous laissera pas, mais Il est très sensible à lâégard de la sainteté. Nous pouvons facilement lâattrister, et en conséquence perdre un temps les heureuses expériences qui résultent de Sa présence. Que Dieu nous aide à prendre très à cÅur ces instructions pratiques, pour que nous ne marchions pas comme le monde, mais en justice, sainteté et vérité.