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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique intermédiaire Commentaire biblique intermédiaire
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Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Ephesians 5". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/commentaries/fre/cbi/ephesians-5.html.
bibliography-text="Commentaire sur Ephesians 5". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-33
V. 1
Le dernier verset du chapitre 4 nous impose lâobligation de bonté et de pardon envers tous les saints les uns par rapport aux autres, du fait que nous avons été pardonnés par Dieu à cause de Christ. Le premier verset du chapitre 5 nous entraîne un stade plus loin et un stade plus haut. Non seulement nous avons été pardonnés, mais nous avons été introduits dans la famille divine. Nous sommes des enfants de Dieu, et même des enfants bien-aimés. Il en découle que, comme de chers enfants, nous devons être des imitateurs de Dieu.
Lâimitation qui nous est prescrite nâest pas artificielle, mais naturelle. Voici des enfants en train de jouer sur la place du marché. Ils jouent à une séance de cour imaginaire. Une petite fille vêtue dâune parure bon marché représente la reine; elle imite les manières de la reine du mieux quâelle peut, mais cela reste très grossier et artificiel. Voici par ailleurs un petit garçon qui observe son père dans les moindres détails. Bientôt des amis sourient en voyant à quel point il ressemble à son père. Son imitation est en grande partie inconsciente, et entièrement naturelle, car il est effectivement le fils de son père, possédant sa vie et sa nature. Or câest en tant quâenfants de Dieu que nous sommes appelés à être imitateurs de Dieu.
V. 2
Nous devons marcher dans lâamour. Cela ne nous est pas naturel en tant quâenfants dâAdam, mais cela nous est naturel en tant que nés de Dieu, car Dieu est amour. Marcher dans lâamour, câest donc simplement manifester pratiquement la nature divine. Câest pourquoi il ajoute: «comme aussi le Christ nous a aimés», puisquâen Christ on voyait la nature divine dans toute sa plénitude et toute sa perfection. Dâailleurs dans Son cas, câest lâamour qui poussait à agir. Il sâest livré Lui-même pour nous en sacrifice à Dieu. En cela Il est seul, bien sûr, bien que nous ayons à aimer comme Lui a aimé. Il était le vrai holocauste, lâantitype de Lévitique 1.
V. 3-4
Or le vrai amour divin exclut les diverses sortes de mal qui proviennent de la chair. Ces choses ne doivent donc avoir aucune place parmi les saints, et elles ne doivent même pas être nommées parmi eux. Les choses telles que celles citées au verset 3 font appel à des instincts profondément enracinés dans la nature humaine déchue, et nous faisons bien non seulement de les éviter, mais aussi dâéviter la contamination provoquée par le fait dây penser. Nous ne pouvons pas en parler sans y penser, même si câest pour les condamner par nos propos. Nâen parlons donc pas. Ne laissons pas non plus nos paroles descendre au niveau des paroles folles ou des plaisanteries. Un chrétien nâest ni un fou, ni un plaisantin; ne paraissons donc pas tels dans nos conversations. Les actions de grâce sont ce qui convient à la bouche de ceux qui sont pardonnés et qui sont devenus des enfants de Dieu.
V. 5-6
La manière ferme et tranchante dont lâapôtre trace une ligne de démarcation dans les versets 5 et 6 est tout à fait remarquable. Le royaume de Christ et de Dieu est caractérisé par la sainteté. Les profanes sont en dehors de ce royaume, et sujets à la colère de Dieu. Il ne fallait pas sây tromper, car il y avait évidemment, alors comme maintenant, ceux qui désiraient brouiller cette distinction tranchée, et excuser lâimpiété. Dâautres passages indiquent quâun vrai croyant peut tomber dans ces péchés, mais aucun vrai croyant nâest caractérisé par eux. Aucune personne caractérisée par ces péchés ne peut être considérée comme un vrai chrétien, quoi quâelle puisse dire ou professer.
V. 7-8
Lâattitude du vrai chrétien vis-à -vis de telles personnes doit être réglée par ceci: Quoi que ce soit quâils professent, ils nâont aucune part au royaume de Dieu; nous qui avons un héritage dans le royaume, nous ne pouvons donc avoir aucune part avec eux. Câest ce que déclare si nettement le verset 7. Remarquez aussi que le dernier mot du verset est eux. Nous ne devons pas seulement éviter les péchés, mais aussi éviter toute participation avec les pécheurs. Il faut éviter aussi bien les personnes que les diverses formes de mal. La différence entre nous et eux est aussi grande et nette quâentre la lumière et les ténèbres.
Nous étions autrefois ténèbres nous-mêmes. Or câest là que réside le danger pour nous, car une des conséquences en est quâil y en nous ce qui répond à lâappel des ténèbres. Câest pourquoi, moins nous avons à faire avec les ténèbres, mieux ce sera â que ce soit en rapport avec les pratiques de ténèbres, ou en rapport avec les personnes qui sont elles-mêmes ténèbres, et qui par conséquent les pratiquent. Nous qui croyons, nous sommes lumière dans le Seigneur, et par conséquent intolérants vis-à -vis des ténèbres; car il en est dans la grâce comme dans la nature. La lumière et les ténèbres ne peuvent pas coexister. Si la lumière apparaît, les ténèbres disparaissent. La lumière et les ténèbres sâexcluent réciproquement.
Ãtant lumière dans le Seigneur, nous devons marcher comme des enfants de lumière. Nous devons être en pratique, ce que nous sommes en réalité. Notons soigneusement ceci car câest une des caractéristiques des exhortations de lâévangile. La loi demandait aux hommes dâêtre ce quâils nâétaient pas. Lâévangile exhorte les croyants à être ce quâils sont. Mais le fait dâêtre ainsi exhortés, montre quâil existe un principe contraire. Cela implique que la chair, avec ses tendances, est encore dans le croyant. Tant que la chair est tenue en échec et en inactivité, ce que nous sommes réellement comme lâouvrage de Dieu brillera au dehors.
V. 9-10
Le verset 9 explique que ce qui brillera au dehors, câest «le fruit de la lumière» (et non «le fruit de lâEsprit» selon le Texte Reçu). Trois mots résument ce quâest ce fruit: bonté, justice et vérité. Leur contraire: le mal, lâiniquité, le manque de réalité, devraient être entièrement exclus de nos vies. Marchant ainsi en enfants de lumière, nous éprouvons ce qui plaît à Dieu; nous lâéprouvons non par un processus de raisonnement, mais par une expérience pratique. Nous mettons les choses à lâépreuve, et ainsi nous apprenons expérimentalement pour nous-mêmes.
V. 11-14
On peut résumer la vie du croyant en ce quâelle consiste à produire les fruits de la lumière, puisquâil est un enfant de la lumière, tout en maintenant une séparation complète dâavec les Åuvres infructueuses des ténèbres, car il ne fait plus partie des ténèbres. En vérité il doit même aller au-delà : il doit les reprendre. Ce verbe «reprendre» se retrouve au verset 13. Le sens nâen est pas exactement admonester ou réprimander, mais plutôt démasquer. Il sâagit donc de dévoiler, comme par la lumière, le vrai caractère des Åuvres en question. Si un croyant brille dans son vrai caractère, toute sa vie aura cet effet, tout comme son Maître lâa fait au plus haut degré. Néanmoins, bien sûr, il peut y avoir de nombreuses occasions où des paroles de répréhension sont nécessaires.
Le passage que nous considérons fait reposer sur nous une responsabilité très solennelle. Câest justement là où les frictions et les ennuis avec le monde commencent. Les gens ne font généralement pas tellement dâobjections au côté de bonté du christianisme: ils approuvent les paroles et actions bienveillantes. Les ennuis commencent quand la sainteté est maintenue, et la sainteté, comme ces versets le montrent, demande quâil nây ait aucune communion avec le mal â ni avec ceux qui font le mal (5:7), ni avec leurs Åuvres (5:11). Quand un croyant marche dans le chemin de séparation qui lui est demandé ici, et quâil se manifeste comme un enfant de lumière, il peut sâattendre à des tempêtes. Il en fut ainsi au degré suprême, pour notre Seigneur et Maître. «Dieu est amour» a toujours été un texte plus populaire que «Dieu est lumière».
La propriété spécifique de la lumière est de manifester tout ce quâelle éclaire. La vérité des choses devient claire, et par conséquent celui qui pratique la vérité accueille volontiers et naturellement la lumière, tandis que celui qui fait le mal, hait la lumière et lâévite. Dieu est lumière en Lui-même; les croyants sont seulement «lumière dans le Seigneur», juste comme la lune nâest une lumière pour nous que pour autant que sa face soit éclairée par le soleil. Nous devons donc, comme la lune, demeurer dans la lumière de notre grand Luminaire, Christ lui-même. Câest ce quâindique très clairement le verset 14.
Ce verset nâest pas une citation de lâAncien Testament, bien quâil soit probablement une allusion à Ãsaïe 60:1. Nous sommes très facilement victimes du sommeil spirituel, tellement les influences du monde sont soporifiques. Alors nous devenons comme des hommes qui dorment parmi ceux qui sont morts dans leurs fautes et dans leurs péchés. Nous sommes les vivants, et eux sont morts, et normalement il devrait y avoir une distinction très nette entre eux et nous. Si nous dormons parmi les morts, nous leur serons semblables. Nous sommes appelés à nous réveiller, et à nous lever pour être dans la lumière du soleil de Christ. Câest ainsi que nous sommes débarrassés de toute communion avec les Åuvres infructueuses des ténèbres et que, étant nous-mêmes lumineux, le fruit de la lumière est manifesté en nous.
V. 15-18
Notre marche et notre conduite doivent alors être marquées par la sagesse, cette sagesse qui saisit toutes les opportunités dâun côté de servir le Seigneur, et dâun autre côté dâacquérir la compréhension de Sa volonté et de Son plaisir. Lâessence même dâun bon service nâest pas simplement dâaccomplir lâÅuvre, mais de le faire selon la volonté de Celui que nous servons. Pour ceci, comme pour tout ce qui nous est commandé ici, nous devons être remplis de lâEsprit.
Chacun de nous, qui avons cru lâévangile de notre salut, avons reçu le don de lâEsprit Saint, comme nous lâavons vu en considérant le chapitre 1. Mais câest différent dâêtre rempli de lâEsprit, et la responsabilité dâêtre rempli de lâEsprit nous incombe. Nous sommes exhortés à être remplis de lâEsprit, ce qui implique clairement que nous ne le sommes pas, en tout cas au moment où lâexhortation est adressée.
Le croyant rempli de lâEsprit est le sujet dâune extraordinaire élévation. Il est transporté hors de lui-même, centré sur Christ, et rendu capable pour le service de Dieu dans une puissance qui est plus quâhumaine. Lâhomme qui a bu trop de vin est transporté hors de lui-même dâune manière qui est totalement mauvaise. Par lâEsprit de Dieu nous pouvons être transportés hors de nous-mêmes dâune manière totalement bonne.
Nous avons des exemples de disciples remplis de lâEsprit dans les Actes (2:4; 4:8, 31; 7:55; 13:9). Ces références nous conduisent à penser quâêtre rempli de lâEsprit était une expérience plutôt exceptionnelle, même au début des temps apostoliques. Pourtant, de toute évidence, câest placé devant nous dans notre chapitre comme quelque chose à désirer par tout croyant, et à quoi tout croyant doit aspirer.
Ce nâest pas seulement une obligation, mais aussi un privilège merveilleux. Ãtre rempli par Quelquâun qui est une Personne divine, cela peut-il nâavoir guère dâintérêt? Cela signifie quâIl a le contrôle de tout. Si nous prenons cette exhortation à cÅur, nous demanderons alors naturellement: Comment puis-je être rempli? Quâai-je à faire pour être rempli de lâEsprit?
Ce nâest pas une petite question. Nous pouvons au moins dire ceci: câest à nous dâenlever du chemin tous les obstacles. LâEsprit de Dieu est saint. De plus Il est sensible. Nous pouvons facilement Lâattrister, même par des choses que nous nous permettons sans mauvaise conscience. Nous pouvons également être préoccupés par des choses que nous considérons comme inoffensives, et voilà quâétant préoccupés, il nây a plus de place pour que Lui nous occupe. Beaucoup de choses «inoffensives» sont à éliminer de ma vie et de la vôtre si nous voulons être remplis de lâEsprit.
V. 19-21
Les fruits qui découlent du fait dâêtre remplis de lâEsprit se trouvent aux versets 19 à 21. Le cÅur est rempli de bonheur qui sâextériorise dans le chant. Il y a une heureuse acceptation de toutes choses, même des circonstances adverses, avec des actions de grâces au Père, au nom du Seigneur Jésus Christ; et en ce qui concerne nos relations les uns avec les autres, il y a un esprit dâacceptation et de soumission, tandis que la crainte de Dieu est toujours maintenue. Notre soumission lâun à lâautre ne doit pas se faire aux dépens dâune vraie soumission au Seigneur.
V. 22-33
Toutes ces exhortations détaillées depuis 4:17 jusquâà 5:21 étaient applicables à tous les croyants. Nous commençons maintenant des exhortations spéciales, et au verset 22, lâapôtre se tourne vers les épouses. Pour elles lâexhortation tient en deux mots: «soyez soumises». Ceci découle naturellement de lâexhortation générale à la soumission du verset 21. La difficulté de la soumission, câest quâelle implique de ne pas revendiquer notre volonté propre. Il est assez clair, dans lâordre de choses établi divinement pour ce monde, que la place attribuée à lâépouse est celle de la soumission. Sa place est typique de la position dans laquelle se trouve lâÃglise vis-à -vis de Christ. Tout comme Christ est «le Chef [ou: Tête] de lâassemblée», étant investi de toute autorité, et de tout capacité et de toute puissance pour diriger, de même le mari est «le chef [ou: tête] de la femme».
Hélas! En pratique, tout au long des siècles, lâéglise (comme corps professant) sâest bien éloignée de sa vraie position. Lâéglise «est soumise au Christ» selon le plan divin; elle a été très insoumise dans sa conduite effective. Elle a agi pour elle-même, et a légiféré comme si elle était la tête et non le corps. De là vient la confusion dans les milieux ecclésiastiques, si évidente partout. Quand la femme, la femme même de Christ, met de côté lâautorité de son propre mari, des troubles similaires sâensuivent.
La femme peut alléguer quâelle a un mari affreux et incompétent! Et trop souvent il en est ainsi effectivement. Mais le remède à cela nâest pas de renverser lâordre divin. Lâéglise nâa certes pas une telle excuse, car elle a une Tête (= Chef) absolument parfaite, qui nâest pas seulement la Tête du corps, mais aussi le Sauveur du corps.
Parce que le mari humain, même croyant, est fréquemment très imparfait, et toujours quelque peu imparfait, une exhortation encore plus longue lui est adressée. En un mot, son devoir est dâaimer. Il est facile de voir que si le mari rend à sa femme tout lâamour qui lui est dû, elle nâaura pas beaucoup de difficulté à donner à son mari la soumission qui lui est due. De toute évidence, la responsabilité la plus grande est placée sur les épaules du mari. Il doit aimer, et elle doit être soumise, mais lâinitiative repose sur lui.
Quand nous nous tournons de la responsabilité qui repose sur les épaules du mari, qui est le type, vers lâantitype qui, comme toujours, est vu en Christ, nous nous trouvons en présence de la perfection. Lâinitiative est effectivement venue de Lui, et Il lâa prise dâune manière tout à fait merveilleuse. Il nâa pas seulement aimé lâassemblée, mais Il sâest livré Lui-même pour elle. De plus Il a entrepris sa sanctification pratique, et sa purification, et Il se la présentera finalement à Lui-même en gloire dans une perfection qui Lui correspond parfaitement.
La présentation de lâassemblée rendue parfaite aura lieu dans la gloire future. Ce sera le don de Christ à Lui-même! Ce sera entièrement Son Åuvre car Il a aimé, Il sâest livré Lui-même, Il a sanctifié, Il a purifié et, comme le verset 29 ajoute, Il a nourri, Il a chéri et, à la fin, Il se la présentera à Lui-même. Une Åuvre des plus merveilleuses, et un triomphe des plus merveilleux, assurément! Gardons cet aspect des choses bien en vue, spécialement quand nous sommes découragés par les difficultés présentes dans lâassemblée, et que nous sommes tristement conscients de son état douloureux.
Or tous ces faits relatifs à Christ et à lâéglise, doivent éclairer les relations entre un mari croyant et sa femme croyante. La relation du mariage est, par conséquent, placée dans la lumière la plus haute possible, dans une lumière entièrement inconnue des croyants de lâAncien Testament, ce qui explique le fait que nombre dâentre eux pratiquaient librement des choses totalement interdites pour nous aujourdâhui. Nous devons marcher dans cette lumière, et par conséquent le mari chrétien doit aimer sa femme comme il sâaime lui-même (ce nâest pas là une petite mesure!) et la femme doit révérer son mari.
Voyons encore brièvement trois autres points. Premièrement, ce mystère concerne Christ et lâassemblée, non pas une assemblée; il nâest pas question ici dâune assemblée locale, ni dâun certain nombre dâassemblées locales. Câest lâassemblée, un corps glorieux, et non pas lâassemblée vue comme un corps professant; câest plutôt lâassemblée comme ce corps élu fruit du travail divin.
Deuxièmement, la pensée du corps est introduite ici, car il est parlé de nous qui constituons lâassemblée comme des «membres de Son corps». Mais la pensée principale du passage est celle de lâépouse, car la place de lâéglise est mise en avant comme le modèle des femmes chrétiennes. Nous soulignons ce point parce quâon met parfois en avant le fait que lâassemblée soit le corps de Christ pour soutenir quâelle ne peut pas prendre la place ni de fiancée ni dâépouse. Or le fait est que ce passage indique bien que lâassemblée [ou: église] a ces deux positions, de corps de Christ et dâépouse.
Ceci est rendu encore plus évident par le troisième point que nous soulignons. La création originelle dâAdam et Ãve a été arrangée en vue de Christ et de lâassemblée, comme les versets 28 à 32 le montrent. Or Ãve était la femme dâAdam, mais elle était aussi son corps, ayant été formée à partir dâune côte dâAdam. La côte dâAdam a sans doute provoqué beaucoup dâhilarité et de sarcasmes parmi les incrédules modernistes qui se disent chrétiens. Mais ce fait sert ici clairement de base au raisonnement. Il en est presque toujours ainsi. On est, ici dans le Nouveau Testament, en présence dâune allusion à cette histoire de lâAncien Testament, que lâon a ridiculisée. On ne peut pas rejeter lâune sans rejeter aussi lâautre, si vous ajoutez de lâhonnêteté et de lâintégrité mentales à votre modernisme. Quant à nous, nous acceptons de tout cÅur ces deux faits.