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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique intermédiaire Commentaire biblique intermédiaire
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Acts 20". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/commentaries/fre/cbi/acts-20.html.
bibliography-text="Commentaire sur Acts 20". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-38
Paul quitte Ãphèse
(v. 1-6). â Lorsque le tumulte dâÃphèse eut cessé, Paul fit venir les disciples et après les avoir embrassés, partit pour la Macédoine. De ce quâil fit dans ce pays, où il y avait plusieurs assemblées, entre autres à Philippes, à Thessalonique et à Bérée, il est dit simplement au v. 2: «Et ayant traversé ces quartiers-là , et ayant beaucoup exhorté les disciples, il vint en Grèce». Mais nous connaissons un détail de ce voyage par ce quâil dit en 2 Corinthiens 2:12, 13. Pour aller dâÃphèse en Macédoine, Paul passa par la Troade où il pensait trouver Tite quâil avait envoyé dâÃphèse pour porter aux Corinthiens sa première épître. Comme il avait écrit sévèrement, quoique dans lâamour, il était anxieux de savoir quel effet elle avait produit. Tite étant déjà parti, quoiquâune porte lui fût ouverte pour annoncer lâÃvangile, Paul ne put rester en Troade et continua son voyage vers la Macédoine où il le trouva (2 Corinthiens 7:13). Rassuré sur lâétat des Corinthiens, il leur écrivit de là sa seconde épître, où il les exhorte, entre autres, à préparer des secours destinés aux disciples de la Judée, dont il leur avait déjà parlé dans 1 Cor. 16:1-3 (voir encore 2 Corinthiens 8 et 9 et Romains 15:25 et 27, épître que Paul écrivit aussi pendant ce voyage).
Arrivé en Grèce, il y séjourna trois mois, durant lesquels il put revoir lâassemblée de Corinthe, et songeait à se rendre par mer en Syrie pour aller à Jérusalem. Mais il apprit que les Juifs lui avaient dressé des embûches, espérant, sans doute, le faire mourir, et décida de passer par la Macédoine, chemin beaucoup plus long, mais qui nous valut les précieux enseignements que nous donne ce chapitre sur sa visite en Troade et les exhortations quâil fit aux anciens dâÃphèse, quâil vit à Milet. Dieu dirige ses serviteurs pour accomplir sa volonté. Il se servit des mauvaises intentions des Juifs de lâAchaïe pour que sa Parole contînt des enseignements qui nous sont si utiles.
Tous les compagnons de Paul se dirigèrent avec lui vers la Macédoine. Un frère de Bérée, nommé Sopater, lâaccompagna jusquâen Asie, où se trouvait Ãphèse, tandis que dâautres frères de Thessalonique, Aristarque, Second et Gaïus, puis le fidèle Timothée avec Tychique et Trophime, prirent les devants et lâattendirent en Troade, avec ceux qui lâaccompagnaient. Dâaprès le verset 6, ceux-ci sâétaient arrêtés à Philippes, dâoù ils partirent par mer après les jours des pains sans levain.
Un dimanche en Troade
(v. 7-12). â La veille du départ de Paul, le premier jour de la semaine, lâassemblée était réunie pour rompre le pain. Cette mention, très précieuse et importante, confirme que le jour du Seigneur, le dimanche, est bien le jour choisi pour se souvenir de sa mort, puisque câest ce jour-là quâil ressuscita. On ne rompait pas le pain à lâoccasion de la visite de lâapôtre; car on lit: «Et le premier jour de la semaine, lorsque nous étions assemblés pour rompre le pain...», indication dâune habitude, suivie sans doute ailleurs, car les saints étaient conduits partout par le même Esprit. Le jour du sabbat ne peut se célébrer dans le christianisme, puisque le Seigneur le passa tout entier dans le tombeau, sa mort ayant mis fin à lâétat de choses légal auquel appartenait le sabbat. Le jour mis à part pour le Seigneur est le premier de la semaine, déjà spécifié par sa résurrection, en Jean 20:19, et de nouveau mentionné huit jours après, quand les disciples étaient encore réunis (v. 26). Ils ne prenaient pas la cène ces dimanches-là , puisque le Seigneur était encore avec eux; mais câétait le jour du Seigneur, ce qui est confirmé en Apocalypse 1:10 où Jean dit: «Je fus en Esprit, dans la journée dominicale» (ou seigneuriale, qui appartient au Seigneur, mise à part pour lui).
La présence de Paul, qui devait partir le lendemain, donnait un cachet particulier à cette réunion. Il profita de lâoccasion pour faire un discours qui se prolongea jusquâà minuit. Les premiers chrétiens rompaient le pain le soir et faisaient en même temps un repas, parce que le Seigneur avait institué la cène le soir après le repas de la Pâque. Il y avait beaucoup de lampes dans la salle à cause de la nombreuse assistance. Un jeune homme nommé Eutyche, assis sur la fenêtre, sâendormit profondément, parce que Paul prêchait très longuement, tomba, et fut relevé comme mort. Il nous semble que, si Paul nous tenait un discours, personne au milieu de nous ne dormirait; mais ce nâest pas certain, car nous avons souvent lâoccasion dâentendre cet apôtre dans nos réunions, lorsquâon lit dans ses épîtres et que lâon en parle, ce qui nâempêche pas toujours de sâassoupir. Ce qui tient éveillé, câest lâintérêt que lâon porte à la Parole qui est présentée: elle a du reste une saveur toute particulière lorsquâelle est lue là où le Seigneur a promis sa présence, et câest cette présence quâil faut rechercher avant tout autre chose, lorsque nous sommes réunis, car câest de cela que découle lâédification de lâassemblée. Le Seigneur a dit: «Là où deux ou trois sont assemblés en (ou à ) mon nom, je suis là au milieu dâeux» (Matthieu 18:20). Paul descendit, se pencha sur Eutyche, lâembrassa et dit: «Ne soyez pas troublés, car son âme est en lui» (v. 10). Tous furent extrêmement réjouis de le retrouver vivant. Il avait simplement perdu connaissance.
Ils rompirent donc le pain et mangèrent; puis, après avoir conversé jusquâà lâaube, ils partirent. Câétait un moment solennel que celui-là . Car, ainsi que lâapôtre le dit aux anciens à Milet, il ne pensait pas les revoir ici-bas et cette perspective lâavait engagé à parler longuement. Les chrétiens dâalors, surtout ceux dâentre les gentils, ne possédaient pas, comme nous, les Ãcritures; ils étaient enseignés oralement lorsquâils avaient la visite dâun serviteur du Seigneur. Câest pourquoi ils profitaient de cette occasion exceptionnelle, puisque la réunion avait pour but de se souvenir de la mort du Seigneur et quâil nâétait pas nécessaire dâavoir une prédication. Quand nous sommes réunis pour nous souvenir du Seigneur, nous offrons à Dieu le Père, comme au Seigneur, les louanges et lâadoration de cÅurs reconnaissants; une prédication est plutôt exceptionnelle si le culte est bien rendu; elle peut avoir lieu si lâon se laisse diriger par le Seigneur.
Départ de la Troade
(v. 13-16). â Les compagnons de Paul partirent par mer et arrivèrent à Assos, localité située au sud de la Troade, où ils attendirent lâapôtre qui avait désiré faire ce chemin à pied. Il éprouvait, sans doute, le besoin de se trouver seul et de jouir des effets bienfaisants de cette marche dans la solitude. Lorsquâil eut rejoint ses compagnons à bord, le navire les transporta à Mitylène, située dans lâîle de Lesbos. Le lendemain, ils arrivèrent à la hauteur de Chios, autre île sur les côtes dâAsie Mineure. Le troisième jour, ils passèrent à Samos et sâarrêtèrent à Trogylle, puis abordèrent à Milet. Ils évitèrent Ãphèse, qui se trouvait un peu plus au nord, car Paul avait peu de temps, puisquâil désirait être à Jérusalem le jour de la Pentecôte.
Discours de Paul à Milet
(v. 17-38). â Il fit donc venir à Milet les anciens de lâassemblée dâÃphèse pour les exhorter à en prendre soin, car ce qui le liait à elle, comme à toutes, ce nâétait pas seulement le fait quâil y avait travaillé longtemps, mais le prix quâelle avait pour le cÅur du Seigneur. Dans lâépître quâil leur adressa de Rome, il écrit: «Christ a aimé lâassemblée et sâest livré lui-même pour elle, afin quâil la sanctifiât en la purifiant par le lavage dâeau par parole» (Ãphésiens 5:25, 26). Les serviteurs du Seigneur doivent prendre soin de lâassemblée avec le même amour que lui.
Lâapôtre rappelle aux anciens comment il sâétait comporté pendant son séjour parmi eux; il avait servi le Seigneur en toute humilité, avec larmes, et les embûches des Juifs lui avaient attiré de cruelles épreuves. Aucune peine ne lâavait détourné de la tâche que le Seigneur lui avait confiée pour former cette assemblée. Il nâavait caché aux chrétiens aucune des choses qui leur étaient profitables. Il les avait enseignées publiquement et dans les maisons, en insistant sur la repentance envers Dieu et la foi de notre Seigneur Jésus Christ (v. 18-21), les deux grandes vérités que lâévangéliste doit placer devant les inconvertis. La repentance premièrement, non le regret dâavoir mal fait, sens restreint que lâon donne ordinairement à ce mot, mais un jugement sain et selon Dieu porté sur soi et sur ses actes; si lâon regrette un acte, on peut encore se justifier et en amoindrir la gravité, tandis que, par la vraie repentance, on se juge soi-même et ses fautes selon la sainteté de Dieu. En reconnaissant ainsi sa culpabilité et le jugement qui en résulte, on est heureux de saisir par la foi la valeur du sacrifice que le Seigneur Jésus a accompli pour sauver le pécheur.
Son Åuvre achevée, lâapôtre avait devant lui son voyage à Jérusalem qui, au lieu de le remplir de joie, lui faisait pressentir des choses pénibles; même lâEsprit Saint lui disait que des liens et des tribulations lâattendaient. Mais il ne faisait aucun cas de sa vie, ni ne la tenait pour précieuse. Entièrement livré au Seigneur, tout ce quâil désirait, câétait dâachever sa course et le service quâil avait reçu pour rendre témoignage à lâévangile de la grâce de Dieu (v. 22-24). On peut penser quâil nâaurait pas dû aller à Jérusalem puisquâil en était ainsi; mais sâil y allait, ce nâétait pas pour sâépargner la souffrance, comme il nous arrive de manquer à notre devoir pour lâéviter. Il ne voyait quâune chose, câétait dâ«achever sa course», quoi quâil lui en coûtât. La pensée que les frères dâÃphèse ne le reverraient pas lui était aussi pénible. Il dit: «Je sais que vous tous, parmi lesquels jâai passé en prêchant le royaume de Dieu, vous ne verrez plus mon visage» (v. 25). Il en prend occasion pour leur dire quâil était net du sang dâeux tous, faisant allusion à ce que lâÃternel dit à Ãzéchiel (chap. 3:18-21) que, sâil nâavertit pas le méchant et que celui-ci meure dans son iniquité, il redemandera son sang de la main du prophète. Paul nâavait mis aucune réserve à leur annoncer tout le conseil de Dieu (v. 27). Ils devaient donc «prendre garde à eux-mêmes, et à tout le troupeau au milieu duquel lâEsprit Saint les avait établis surveillants pour paître lâassemblée de Dieu, laquelle il a acquise par le sang de son propre Fils».
Quels motifs puissants lâapôtre place devant eux, afin quâils prennent soin de cette assemblée! Ils possédaient toutes les vérités quâil leur avait enseignées, et il insiste sur la qualité et la valeur de cette assemblée aux yeux de Dieu. Elle est son assemblée; elle porte ses propres caractères et il se lâest acquise par le sang de son propre Fils. Câest ainsi que nous devons la considérer, lors même quâelle est aujourdâhui dans une grande faiblesse. Il semble souvent que câest si peu de chose que ces quelques chrétiens qui se réunissent au nom du Seigneur, sans aucune apparence extérieure. Mais comment se fait-il quâils sont réunis à ce nom? Câest quâils ont été rachetés par le sang du Fils de Dieu qui en a fait des pierres vivantes de lâédifice de Dieu. Sans doute que leur marche, individuellement et en assemblée, nâest pas toujours à la hauteur de leur dignité, ce qui expose lâassemblée à être méconnue comme assemblée de Dieu. Les anciens dâÃphèse ayant compris ce quâétait lâassemblée, devaient redoubler de zèle pour la paître en lui donnant la nourriture qui convenait à son développement, dâautant plus que Paul leur dit: «Je sais quâaprès mon départ il entrera parmi vous des loups redoutables qui nâépargneront pas le troupeau» (v. 29). Il fallait être vigilant pour les repousser, car ils ne se présenteraient pas sous leur vrai caractère, mais, comme les émissaires de Satan savent faire: «avec de douces paroles et un beau langage» (Romains 16:18). Il sâélèverait aussi du milieu des croyants des hommes qui annonceraient «des doctrines perverses, pour attirer les disciples après eux. Câest pourquoi veillez, vous souvenant que, durant trois ans, je nâai cessé nuit et jour dâavertir chacun de vous avec larmes» (v. 30, 31).
Tout ce que lâapôtre a prédit est arrivé. De bonne heure, les loups ravisseurs ont surgi et, du sein même de lâÃglise sont sorties des doctrines perverses. Des hommes, se prétendant serviteurs de Dieu, au lieu de prêcher Christ pour attacher les cÅurs à lui, les ont attachés à eux-mêmes par des enseignements qui plaisaient à la chair et les ont détournés du Seigneur. La chrétienté actuelle, savoir tous ceux qui portent le nom de chrétiens, est le résultat de cet enseignement à travers les siècles qui se sont écoulés depuis que lâapôtre, comme un sage architecte, avait fondé lâédifice sur son fondement qui est Jésus Christ (1 Corinthiens 3:10, 11). Mais au milieu de cet état de choses se trouve lâAssemblée de Dieu, composée de tous ceux qui sont sauvés par le sang de Christ. Ãcoutons ce que dit Paul au v. 32: «Et maintenant je vous recommande à Dieu, et à la parole de sa grâce, qui a la puissance dâédifier et de vous donner un héritage avec tous les sanctifiés». Câest là ce qui demeure à travers tous les âges, la Parole de Dieu. Câest à elle que lâAssemblée est remise; elle est divine, immuable; en elle se trouve tout ce qui est nécessaire pour la conversion de ceux qui doivent y entrer et pour les édifier, les enseigner, les conduire dans la séparation du monde et du mal sous toutes ses formes.
Paul, qui avait reçu toute la révélation concernant lâAssemblée, ne la recommande pas à dâautres apôtres qui viendraient après lui, ni à un clergé établi par des hommes. Il savait que le Seigneur avait promis des évangélistes, des pasteurs et des docteurs, tant que lâAssemblée serait sur la terre (Ãphésiens 4:9-16). Câest donc lui seul qui pourvoit dans sa fidélité et son amour, à tout ce dont son Assemblée a besoin jusquâà son retour. Il suffit de se laisser enseigner et diriger par sa Parole, de lui obéir, pour profiter des ressources toujours à la disposition de la foi, et de maintenir, au travers du désordre de la chrétienté, les caractères de lâAssemblée de Dieu. Si les chrétiens lâavaient lâait dès le début, au lieu dâétablir des hommes qui nâétaient nullement qualifiés pour le service auquel ils prétendaient, comme le montre lâhistoire de lâÃglise et comme on le voit encore aujourdâhui, lâAssemblée serait demeurée dans sa fraîcheur première.
Lâapôtre montre ensuite (v. 33 à 35), comment il sâest comporté au milieu des croyants dâÃphèse. Lui, le plus grand serviteur de Dieu qui ait existé, nâavait convoité ni lâargent, ni lâor, ni la robe de personne, ce qui nâeut pas lieu dans la suite chez un grand nombre de ceux qui sâattribuèrent des places dans lâÃglise et qui ne virent dans leurs fonctions quâune source de gain. Paul, au contraire, avait travaillé pour nâêtre à charge à qui que ce soit, afin de servir dâexemple à tous, car le serviteur de Dieu ne doit pas se borner à enseigner, mais il doit pratiquer ce quâil enseigne, afin que lâon voie dans sa marche les effets de la Parole quâil présente. Paul dit aux Philippiens (chap. 4:9): «Ce que vous avez et appris, et reçu, et entendu, et vu en moi, â faites ces choses et le Dieu de paix sera avec vous». Il dit encore aux anciens dâÃphèse: «Je vous ai montré en toutes choses, quâen travaillant ainsi il nous faut secourir les faibles, et nous souvenir des paroles du Seigneur Jésus, qui lui-même a dit: Il est plus heureux de donner que de recevoir». On ne trouve pas ce passage textuellement dans les évangiles, car ils ne rapportent pas tout ce que le Seigneur a dit, puisque le monde ne pourrait pas «contenir les livres qui seraient écrits»; mais en Luc 14:13, 14, on trouve la pensée que Paul attribue au Seigneur: «Quand tu fais un festin, convie les pauvres, les estropiés, les boiteux, les aveugles; et tu seras bienheureux, car ils nâont pas de quoi te rendre la pareille: car la pareille te sera rendue en la résurrection des justes». Puisquâil y a de tels résultats en donnant, celui qui donne est plus heureux que celui qui reçoit.
Après avoir terminé ses exhortations, Paul «se mit à genoux et pria avec eux tous. Et ils versaient tous beaucoup de larmes, et se jetant au cou de Paul, ils le couvraient de baisers, étant surtout peinés de la parole quâil avait dite, quâils ne verraient plus son visage. Et ils lâaccompagnèrent au navire» (v. 36-38).
On comprend lâaffliction que causait le départ de celui auquel, après Dieu, ils devaient dâavoir été tirés du paganisme pour faire partie de cette institution merveilleuse quâest lâAssemblée de Dieu. Il est fort probable que lâapôtre revint à Ãphèse après sa première captivité à Rome. La Parole ne dit pas combien de temps il resta libre entre la première et la seconde; mais nous lisons en 2 Timothée 4, quâil avait laissé son manteau en Troade, et en Tite 3, quâil avait résolu de passer lâhiver à Nicopolis. On voit en 2 Timothée 4, quâil approche de la fin de sa course; il avait déjà comparu devant Néron (v. 16). On ne connaît sa mort que par lâhistoire profane; elle dut avoir lieu vers lâan 68.