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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
La Bible Annotée de Neuchâtel La Bible Annotée de Neuchâtel
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Acts 12". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/commentaries/fre/neu/acts-12.html.
bibliography-text="Commentaire sur Acts 12". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-25
Plan du commentaire biblique de Actes 12
Supplice de Jacques et emprisonnement de Pierre
Vers la même époque, Hérode sâattaque aux chefs de lâÃgliseâ¯: il fait décapiter Jacques, frère de Jean, et, encouragé par les Juifs, il ordonne lâarrestation de Pierre. Câétait pendant la Pâque ; aussi le fait-il garder avec soin pour le juger et lâexécuter en public après la fête. Tandis que Pierre est en prison, lâÃglise prie (1-5).
Un ange délivre Pierre
La nuit qui précède sa comparution, Pierre dort profondément entre deux soldats, lié de deux chaînes ; des sentinelles sont à la porte de la prison. Un ange apparaît soudain, inondant de lumière le cachot. Il réveille Pierre, en le frappant au côté et lui ordonne de se lever, de sâhabiller et de le suivre. Pierre obéit, sans savoir sâil agit en rêve ou si le fait est réel. Ils passent la première, puis la seconde garde ; la porte de fer sâouvre dâelle-même ; ils sâavancent dans la rue et soudain lâange disparaît. Pierre, revenu à lui, reconnaît la délivrance dont il a été lâobjet de la part de Dieu (6-11).
Pierre se montre aux disciples réunis et quitte Jérusalem
Après avoir examiné ce quâil avait à faire, Pierre se rend à la maison de Marie, mère de Jean-Marc, où de nombreux disciples étaient en prière. Il frappe à la porte. La servante, Rhode, sans lui ouvrir, va annoncer que Pierre est là . Les uns la traitent de folle, dâautres pensent que câest lâange de lâapôtre. Quand enfin ils lâont introduit, leur étonnement est grand. Pierre leur raconte sa délivrance, les charge dâen faire part à Jacques et à lâÃglise et sâen va en un autre lieu (12-17).
Les gardes punis
Au matin, grand émoi parmi les soldats qui constatent la disparition de Pierre. Hérode les fait mettre en jugement et exécuter. Puis, il se rend à Césarée, sa résidence (18, 19).
Verset 1
LâÃglise persécutée par Hérode
Versets 1 à 19 â Persécution et délivrance
Vers ce temps-là , câest-à -dire dans le temps où Barnabas et Saul portaient à Jérusalem les secours recueillis à Antioche (Actes 11.30). Ils furent probablement témoins de cette nouvelle persécution qui eut lieu, en tout cas, avant leur départ de Jérusalem, mentionné au verset 25 de notre chapitre.
Hérode Agrippa, né lâan 10 avant Jésus-Christ, élevé à la cour de Rome, était petit-fils dâHérode le grand (Matthieu 2.1), fils dâAristobule et de Bérénice et neveu dâHérode Antipas, dont le nom paraît souvent dans les évangiles. Il avait reçu de Caligula les provinces du nord et du nord-est de la Palestine, avec le titre de roi. Claude y avait ajouté la Samarie et la Judée, de sorte quâil réunissait alors sous son sceptre tout le royaume dâHérode le grand (Josèphe, Antiquités Juives, XIX, 5, 1). Il résidait à Césarée (verset 19), dâoù il était venu à Jérusalem pour la fête de Pâque (verset 4).
Au lieu de se mit à maltraiter, il y a littéralementâ¯: mit les mains à maltraiter, expression qui indique une action hostile et violente.
Quelques-uns de lâÃgliseâ¯; ce nâétait pas une persécution générale. Hérode, avec une ruse satanique, voulait priver lâÃglise de ses conducteurs, afin de lâaffaiblir. Il commence donc par Jacques et Pierre.
Verset 2
Il fit mourir par lâépée, câest-à -dire il fit décapiter, Jacques, fils de Zébédée (Matthieu 10.2) et frère de Jean.
Jacques fut ainsi le premier des apôtres qui souffrit le martyre (Marc 10.38-39).
Il paraît avoir été lâun des principaux fondateurs et conducteurs de lâÃglise de Jérusalem. Câest ce qui le désignait aux coups dâHérode.
Clément dâAlexandrie avait reçu des anciens une belle tradition que nous a conservée Eusèbe (Histoire Ecclésiastique II, 9)â¯: «â¯Lâun de ceux qui avaient dénoncé Jacques, touché de la fermeté avec laquelle il confessait sa foi, se déclara chrétien. Tous deux furent donc emmenés au supplice. En chemin il pria Jacques de lui pardonner. Celui ci après un instant de réflexion, ditâ¯: Que la paix soit avec toiâ¯! Et il lui donna le baiser fraternel. Ainsi tous deux moururent ensembleâ¯Â»
Verset 3
Grecâ¯: Il ajouta à ce premier acte de persécution celui dâarrêter Pierre.
La faveur dont les chrétiens avaient joui auprès du peuple (Actes 2.47) avait fait place à la haine.
Mais, en tout ceci, il nây a pas de doute quâHérode ne fût poussé par les membres du sanhédrin, qui voyaient avec une amère jalousie les progrès de lâÃglise chrétienne.
Hérode, quoique Juif, ne se souciait nullement de sa religion, mais il sâen faisait le champion par politique, afin de se rendre populaire, à la fois à Jérusalem et à Rome (Josèphe, Antiquités Juives, XIX, 7, 3).
Câest-à -dire la fête de Pâque, qui durait huit jours. Hérode ne fit pas mourir Pierre tout de suite, voulant offrir son jugement et son supplice en spectacle au peuple après la fête (verset 4â¯; comparez Jean 19.13).
Verset 4
Ordinairement un prisonnier était gardé par quatre soldats qui se relevaient à chacune des quatre veilles de la nuit.
Ici, la garde fut quadrupléeâ¯: deux soldats veillaient dans la prison et deux à la porte (verset 6). Les douze autres devaient les relever de veille en veille.
Verset 5
Grecâ¯: Mais une prière était faite instamment par lâÃglise à Dieu à son sujet.
Lâadverbe que nous traduisons par instamment signifie aussi continuellement, mais le premier sens convient mieux, car câest le même terme qui caractérise la prière de Jésus en Gethsémané (Luc 22.44, comparez 1 Pierre 1.22).
Les chrétiens priaient ainsi dans toutes leurs petites assemblées (verset 12).
Admirable contrasteâ¯! Deux pouvoirs sont ici en présenceâ¯: dâune part, Hérode, sa prison et ses soldats, de lâautre, lâÃglise en prière. Qui lâemporteraâ¯? Notre récit va répondre.
Verset 6
Cette nuit mêmeâ¯: le danger suprême est imminentâ¯; le lendemain, Pierre sera conduit à la mort.
Il est lié de deux chaînes, selon lâusage romain, une chaîne à chaque bras, attaché au bras dâun soldat, à droite et à gauche, tandis que, devant la porte, des sentinelles gardent la prison.
Et Pierre dort paisiblement.
Verset 9
Réveillé de son sommeil durant la nuit, ébloui par la lumière qui resplendissait dans le cachot (grec lâappartement ou le bâtiment), Pierre ne savait si ce qui lui arrivait était réel ou sâil avait une vision.
Il resta quelques moments dans cet état et ne revint à lui que dans la rue, lorsque lâange lâeut quitté (verset 11).
Verset 10
Luc a raconté cette délivrance jusque dans les moindres détails.
Le teste occidental ajoute mêmeâ¯: étant sortis, ils descendirent les sept degrés et sâavancèrent.
Un tel récit ne peut provenir que dâun témoin oculaire et ce témoin, câest Pierre lui-même, qui va tout raconter dans une assemblée de fidèles en prière pour sa délivrance (verset 17).
Cette assemblée se tenait dans la maison dâune femme chrétienne dont le fils, Marc, deviendra lâauteur de notre second Ãvangile et le compagnon dâÅuvre de Pierre et de Paul (verset 12, note).
Marc fournit très probablement à Luc les informations sur lesquelles repose notre récit.
Verset 11
Pierre sait maintenant que câest Dieu qui lâa sauvé de la mort par le moyen dâun ange.
Hérode et le peuple seront déçus dans leur attente.
Il mâa délivré, dit Pierre (grec) de toute lâattente avide du peuple des Juifs.
On pourrait aussi donner à ce mot le sens de crainte, quâil a dans Luc 21.26 et traduireâ¯: Il mâa délivré de toute la crainte que je pouvais avoir du peuple juif, de tout ce que jâavais à craindre de lui. La première interprétation est pourtant plus naturelle.
Il nây a pas à expliquer cette délivranceâ¯; un miracle ne sâexplique pas (comparer Actes 5.19â¯; Actes 16.25 et suivants, Actes 27.23).
Mais combien cette intervention de Dieu doit paraître nécessaire aux yeux des croyants, puisquâil sâagissait dâarracher à la mort le principal des apôtres.
Verset 12
Pierre, ayant compris, vu, constaté (Actes 14.6), ce mot résume le verset précédentâ¯: Maintenant je saisâ¦
Pierre se rendit dans une maison amie, où il savait quâil trouverait des frères.
Cette maison appartenait à Marie, dont le fils, appelé Jean Marc, ou simplement Marc, aura une belle mission à remplir dans lâÃglise, ne fût ce quâen écrivant lâÃvangile qui porte son nom (voir sur ce jeune disciple Actes 12.25â¯; Actes 13.13â¯; Actes 15.37â¯; Colossiens 4.10â¯; 2 Timothée 4.11â¯; Philémon 1.24â¯; 1 Pierre 5.13).
Si Marc était le jeune homme qui suivait la troupe par laquelle Jésus fut arrêté (Marc 14.52, note), la maison de sa mère pouvait se trouver dans le voisinage de Gethsémané.
Verset 13
Pour écouter et ainsi pour reconnaître qui était là .
Pierre heurtait à la porte dâentrée (grec) à la porte du pylône.
Ce dernier terme désigne la porte dâentrée dâune maison (Actes 10.17), le porche dâun temple (Actes 14.13), le vestibule ou lâespace compris sous le portique (Matthieu 26.71â¯; Luc 16.20).
On a supposé que, dans notre passage, la porte du pylône était une petite porte pratiquée dans la porte cochère. Dans le verset suivant le mot pylône est employé seul, les deux fois.
Verset 15
Combien est naturel et pris sur le fait le mouvement de cette servante qui, dans sa joie, au lieu dâouvrir, rentre en courant annoncer la grande nouvelleâ¯!
Non moins naturelle est la conduite de ces chrétiens qui viennent de prier pour la délivrance de Pierre et qui quand on la leur annonce, refusent dây croire, si profonde est leur joie (comparer Luc 24.41).
Au lieu de dire simplement avec la servanteâ¯: câest lui, ils font une supposition qui nous paraît étrangeâ¯: câest son ange.
Dâaprès une idée populaire très répandue chez les Juifs, chaque homme a son ange tutélaire qui le garde dans le danger (Psaumes 34.8). Cette opinion nâest pas expressément confirmée dans le Nouveau testament, mais il est une parole de Jésus qui y paraît favorable (Matthieu 18.10, voir la note).
Verset 17
On comprend que ces fidèles assemblés, en écoutant le récit de Pierre, aient été dans lâétonnement (grec), ravis hors dâeux-mêmes. Ils voyaient leurs prières exaucées, lâangoisse faisait place à la joie.
Pierre veut faire partager à ses frères la joie de sa délivrance.
Quel est ce Jacques, à qui il envoie personnellement son message�
Dâaprès la tradition catholique, il sâagirait de lâun des deux apôtres de ce nom, de Jacques, fils dâAlphée.
Les interprètes protestants sâaccordent aujourdâhui généralement à reconnaître en lui, Jacques, «â¯frère du Seigneur.â¯Â» (Galates 1.19), il parvint à la foi au moment de la mort de Jésus (Jean 7.5, comparez 1 Corinthiens 15.7), il sâétait joint aux disciples avant la Pentecôte (Actes 1.14) et prit de bonne heure une place prépondérante dans lâÃglise de Jérusalem (Actes 15.13â¯; Actes 21.18â¯; Galates 1.19â¯; Galates 2.9).
Sâil est seul nommément désigné par Pierre, câest que les apôtres étaient absents de Jérusalem (Actes 11.30, 2e noteâ¯; voir lâIntroduction à lâépître de Jacques).
Ãtant sorti, de la maison de Marie (verset 12). Dâautres entendentâ¯: sorti de la ville. Le texte ne décide pas. Peu importeâ¯; ce que Luc veut faire comprendre câest que Pierre, se sentant peu en sûreté dans une maison chrétienne bien connue, sâen éloigne pour sâen aller dans un autre lieu, qui nâest pas désigné.
Que nâa-t-on pas imaginé à lâoccasion de ce fait si simpleâ¯? Des interprètes font aller Pierre dès ce moment à Antioche (Galates 2.11) ce qui est très improbableâ¯; une très ancienne tradition catholique nous le montre se rendant à Rome et devenant dès lors évêque de la capitale du mondeâ¯!
Verset 19
Ce (grec) pas petit trouble parmi les soldats ne se comprend que trop, si lâon se souvient que selon la loi romaine, ils répondaient sur leur vie des prisonniers confiés à leur garde. Aussi Hérode après des recherches inutiles pour retrouver Pierre, fit-il interroger et mettre à mort les soldats.
Il y a dans le grecâ¯: les fit emmener, mais câest là le terme judiciaire pour direâ¯: conduire au supplice.
Peut-être Hérode ne fit-il ainsi périr que les quatre soldats qui étaient de garde au moment fatal (verset 6), mais ceux-là même étaient bien innocents. Plût à Dieu que ce meurtre juridique eût été le dernierâ¯!
Verset 20
Hérode puni de Dieu
Il y avait conflit entre Hérode et les habitants de Tyr et de Sidon. Ceux-ci gagnent le chambellan du roi, afin de rétablir de bonnes relations avec le roi, dont le pays leur fournit leur subsistance. Au jour fixé pour lâentrevue solennelle, Hérode, vêtu dâhabits splendides, est assis sur son trône. Le peuple lui rend des honneurs divins. Aussitôt il est frappé par un ange pour nâavoir pas donné gloire à Dieu et il meurt rongé des vers (20-23).
Progrès de lâÃglise. Départ de Barnabas et Saul
La parole de Dieu se répand. Barnabas et Saul quittent Jérusalem, emmenant Jean Marc (24, 25).
Mort dâHérode (20-25)
Il est dit littéralement quâHérode combattait avec colère les Tyriens et les Sidoniens.
Cette expression ne signifie point quâil fût en guerre avec les villes de Tyr et de Sidon ni quâil eût «â¯le dessein de leur faire la guerreâ¯Â», selon la traduction dâOstervald, car ces villes de la Phénicie étaient sous la domination romaine et Hérode, qui lui-même devait tout aux empereurs, se serait bien gardé de cette folie.
Le mot grec signifie quâil était irrité, animé de dispositions hostiles contre ces villes commerçantes, il cherchait à nuire à leurs intérêts matériels, comme le montre ce verset même.
Les Phéniciens tiraient, par leur négoce, des états dâHérode, du blé, des fruits et dâautres denrées nécessaires à leur subsistance. Aussi sâempressèrent-ils de sâassurer la paix avec lui.
Leurs délégués ayant gagné un chambellan du roi, obtinrent une audience publique, que Luc va décrire.
Verset 23
Hérode était juif, il devait donc savoir combien était coupable cet orgueil dont il sâenivrait. Et quand le peuple aveuglé lui rendit publiquement des honneurs divins il aurait dû les repousser comme une idolâtrie et un sacrilège. Il ne le fit pas et un châtiment terrible manifesta la Justice de Dieu sur celui qui, en outre, avait sur sa conscience le meurtre dâun apôtre du Seigneur.
La maladie mortelle dont il fut atteint est attribuée à lâaction dâun ange qui le frappa (comparez 2 Samuel 24.17â¯; 2 Rois 19.35), mais cette expression nâimplique pas nécessairement que lâange apparut aux spectateurs.
Luc indique lui-même la cause de la mort dâHérode dans lâaffreuse maladie dont il fut atteintâ¯: rongé des vers. Il mourut comme Antiochus Ãpiphane (Revised Apocrypha, 2 Maccabées 9.5-9).
Josèphe (Antiquités Juives, XIX 8, 2) raconte longuement la mort dâHérode. Son récit diffère, en quelques détails, dâavec celui de Luc mais, dans le fond, les deux écrivains sont dâaccord.
Lâhistorien juif place la scène en plein théâtre, où lâon célébrait des jeux en lâhonneur de lâempereur en présence dâune foule immense. Hérode parut, couvert dâun manteau royal dont les broderies dâargent étincelaient aux rayons du soleil.
Lorsque le peuple lui rend les honneurs divins Josèphe, indigné, fait lui-même cette réflexionâ¯: «â¯Le roi ne les reprit point et il ne repoussa pas loin de lui cette impie adulationâ¯Â».
Selon cet historien, Hérode, à lâinstant même, se sentit atteint dâune maladie mystérieuse qui lui déchirait les entrailles et il fut emporté dans son palais, où il mourut quelques jours après.
Josèphe (Antiquités Juives, XIX 8, 2) raconte longuement la mort dâHérode. Son récit diffère, en quelques détails, dâavec celui de Luc mais, dans le fond, les deux écrivains sont dâaccord.
Lâhistorien juif place la scène en plein théâtre, où lâon célébrait des jeux en lâhonneur de lâempereur en présence dâune foule immense. Hérode parut, couvert dâun manteau royal dont les broderies dâargent étincelaient aux rayons du soleil.
Lorsque le peuple lui rend les honneurs divins Josèphe, indigné, fait lui-même cette réflexionâ¯: «â¯Le roi ne les reprit point et il ne repoussa pas loin de lui cette impie adulationâ¯Â»
Selon cet historien, Hérode, à lâinstant même, se sentit atteint dâune maladie mystérieuse qui lui déchirait les entrailles et il fut emporté dans son palais, où il mourut quelques jours après.
Verset 24
Maisâ¯; il faut remarquer cette particule qui fait ressortir un contraste frappantâ¯: tandis que le puissant persécuteur périssait misérablement, la parole de Dieu (B porteâ¯: du Seigneur) marchait de conquête en conquête.
Grecâ¯: Elle croissait et se multipliait, câest-à -dire que le nombre des disciples augmentait (Actes 6.7).
Verset 25
Grecâ¯: après avoir rempli le service, la diaconie, câest-à -dire avoir remis la collecte dont ils étaient chargés (Actes 11.29-30).
Luc achève ainsi sa relation du voyage de Barnabas et de Saul à Jérusalem (Actes 11.30).
On peut donc conclure que tous les faits rapportés dans notre chapitre se passèrent pendant ce voyage (verset 1, note).
Quant à Jean, surnommé Marc, voir verset 12, note.