Bible Commentaries
Proverbes 29

versets 1-27

Proverbes 29:1

(1)

Quand Dieu occasionne une blessure, qui pourra la guérir ? La Parole de Dieu prévient chacun de fuir Sa colère à venir, et de garder toute espérance qui nous est proposée en Jésus-Christ  !

(2)

Le peuple trouve toujours des raisons de se réjouir ou de pleurer, selon que son souverain est juste ou méchant.

(3)

La Sagesse divine est la seule qui puisse nous garder des convoitises ruineuses.

(4)

Le Seigneur Jésus est le Roi parfait qui administre le parfait jugement d’un peuple.

(5)

Les flatteurs poussent les hommes à ne pas rester sur leurs gardes, et les trahissent en les incitant à mener une conduite insensée.

(6)

Les transgressions se terminent toujours par d’énormes mécontentements. Les justes marchent en toute liberté et en toute sécurité.

(7)

Ce verset recommande la compassion pour la détresse du pauvre, contrairement à la négligence et à l’insensibilité du méchant, à son sujet.

(8)

Le moqueur méprise les choses honorables. Ceux qui recommandent la piété et la véritable sagesse, détournent la colère divine.

(9)

Si un sage a un différend avec un querelleur vaniteux, il ne rencontrera que colère ou ridicule ; nul bien n’en ressortira.

(10)

Christ a dit à ses disciples qu’ils devaient être détestés de tous. Le juste, qui a en horreur le méchant, accomplit avec plaisir tout ce qui mène au salut des âmes.

(11)

Il n’y a que l’insensé qui se vante de tout connaître, et qui ne veut pas prendre en compte le moindre conseil.

(12)

Celui qui aime les propos des flatteurs et qui écoute les médisants, incitera sa famille à pratiquer le mensonge et tous genres de calomnies.

(13)

Certains sont pauvres, d’autres possèdent de vaines richesses. Tous se rencontrent ici bas dans leur cheminement ; le Seigneur accorde à chacun ce qu’Il juge bon de lui octroyer. Il accorde à tous Sa Grâce.

(14)

Les riches ne s’intéressent qu’à eux-mêmes ; le pauvre et le nécessiteux sont défendus par les autorités, qui doivent plaider en leur faveur.

(15)

Les parents doivent bien considérer le bienfait d’une correction méritée, autant que les inconvénients d’une indulgence indue.

(16)

Il ne faut pas que les justes aient leur foi et leur espérance ébranlées par la croissance du péché et de ses auteurs ; ils doivent attendre avec patience la juste rétribution du ciel.

(17)

Les enfants ne doivent pas être laissés sans réprimande lorsqu’ils pratiquent le mal.

(18)

Qu’un lieu semble désertique quand on n’y trouve ni Bible ni serviteurs de Dieu ! Un tel endroit est une proie facile pour l’ennemi des âmes ! L’Évangile est une « fenêtre », qui permet de discerner Christ ; cet Évangile humilie le pécheur et exalte son Sauveur, qui appelle à vivre en toute saintet éici-bas : il offre de précieux conseils pour empêcher une âme de périr.

(19)

Nous trouvons dans ce texte l’exemple du serviteur inutile, paresseux, et méchant, qui ne sert pas son maître en toute bonne conscience, ni par amour, mais uniquement par crainte.

(20)

Lorsque un homme est imbu de lui-même, irréfléchi, et prompt à se quereller, il y a plus à espérer d’un ignorant et d’un libertin que d’un tel homme.

(21)

Le fait d’’être trop bon envers un serviteur signifie avoir trop d’indulgence envers lui ; cette dernière peut même conduire, un enfant à la ruine, dans une famille. Le corps est au service de l’âme ; ceux qui sont trop indulgents envers le premier, finiront par oublier son simple rôle.

(22)

Une prédisposition à la colère et une tendance à céder aux passions, constituent des défauts, qui finissent par provoquer Dieu.

(23)

Seuls ceux qui s’humilient seront élevés et établis dignement ici-bas.

(24)

Le receleur est aussi coupable que le voleur …

(25)

Nombreux sont ceux qui éprouvent de la honte pour Christ ; ce Dernier ne les reconnaitra pas au jour du jugement. Mais celui qui place sa confiance dans le Seigneur sera sauvé !

(26)

La meilleure façon de regarder à Dieu consiste à rechercher la faveur du Roi des rois ; chaque créature occupe le rang que Dieu a décidé de lui octroyer.

(27)

L’homme juste déteste les péchés commis délibérément par le méchant, et il fuit sa compagnie. Christ a dénoncé la méchanceté des hommes ; Il a cependant prié pour les méchants, lors  de Sa crucifixion. La haine pour le péché, est une disposition nécessaire à prendre pour le chrétien. Tous ceux les impies ont une haine profondément enracinée vis-à-vis de la piété.