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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire concis de Henry sur la Bible Commentaire Concis de Henry
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques
Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Mark 2". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://studylight.org/commentaries/fre/mhn/mark-2.html. 1706.
Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Mark 2". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-28
Marc 2:1
Christ guérit un paralytique. (1-12)
Lâappel de Lévi, et lâinvitation faite à Jésus. (13-17)
Pourquoi les disciples ne jeûnèrent pas. (18-22)
Il justifie Ses disciples dâavoir arraché des épis, le jour du Sabbat. (23-28)
(1-12)
Lâétat misérable de ce paralytique était tel, quâil avait besoin dâêtre porté : câest en quelque sorte, une image de la souffrance de lâhumanité... Les quatre personnes qui le portèrent étaient vraiment serviables : cela nous enseigne la compassion que devraient avoir les hommes envers leurs semblables, lors de lâépreuve. Une foi fervente et sincère peut Åuvrer en divers domaines : ce nâest quâà ce stade quâelle sera acceptée et approuvée par Jésus-Christ !
Le péché est la cause de toutes nos douleurs et de nos maladies : le seul moyen dâen annuler les effets, est dâéviter de le commettre. Le pardon des péchés « sâinfiltre » jusquâà la racine de toutes les maladies. Christ a prouvé Son pouvoir de pardonner le péché, en guérissant ce paralytique. La guérison de cette maladie était en quelque sorte, une image de son péché pardonné : ce dernier est en effet la maladie de lââme ; quand il est pardonné, elle est guérie !
Quand nous voyons Christ opérer ainsi pour la guérison des âmes, nous devons reconnaître que nous nâavons jamais vu pareille chose ! La plupart des hommes pensent quâils sont en bonne santé : ils ne ressentent aucunement le besoin dâaller consulter un médecin ; de même, sur le plan spirituel, ils dédaignent ou négligent Christ et Son évangile. Mais le pécheur humble et convaincu, celui qui désespère de recevoir toute aide, excepté celle du Sauveur, montrera sa foi, en ayant immédiatement recours à Lui !
Marc 2:13
(13-17)
Matthieu ne jouissait pas dâune excellente réputation : en tant que Juif, il était inconvenant dâêtre un publicain, à savoir, un collecteur dâimpôts, au service des Romains. Cependant, Christ lâappela, pour quâil Le suive.
Avec Dieu, au travers de Christ, il y a suffisamment de Miséricorde pour pardonner les plus grands pécheurs et autant de Grâce pour changer leur cÅur et les rendre saints.
Il était rare de rencontrer un publicain honnête et fidèle. Les juifs éprouvaient une haine particulière envers une fonction qui prouvait quâils étaient assujettis aux Romains, ils nâavaient donc, envers ces collecteurs dâimpôts, quâune piètre opinion. Mais notre Seigneur béni nâhésita pas à converser avec une telle personne, ayant revêtu Lui-même, lâapparence dâun homme pécheur.
Le fait dâêtre calomnié et assailli de reproches par les plus sages et les meilleurs des hommes, nâest pas vraiment nouveau. Christ est resté parmi ces pécheurs, bien que les pharisiens en soient offensés. Il est un fait bien établi : si le monde était juste, il nây aurait eu aucune raison pour que Jésus vienne prêcher la repentance, et la nécessité de recevoir le pardon !
Nous ne devons pas tenir compagnie aux impies, ni aimer leurs vaines conversations ; nous devons par contre, éprouver de lâamour pour leur âme, nous rappelant que notre bon Médecin a le pouvoir de guérir le péché, sans courir le moindre danger dâen être infecté. Il nâen est pas ainsi pour nous : en essayant de faire du bien aux autres, faisons attention à ne pas tomber dans les pièges du malin.
Marc 2:18
(18-22)
Des enseignants intégristes sont aptes à blâmer tout ce qui nâadhère pas à leur propre point de vue.
Christ nâa pas échappé aux calomnies ; nous-mêmes devrions apprendre à les supporter, autant quâêtre vigilants pour ne pas les mériter ! Veillons en tous temps, au bon accomplissement de notre devoir.
Marc 2:23
(23-28)
Le Sabbat est une institution divine sacrée : il sâagit en fait dâun privilège, voire dâun avantage ; il ne doit pas être perçu comme un devoir ni une corvée. Dieu ne désigne jamais ce jour particulier comme un fardeau, et nous ne devons donc pas le considérer ainsi.
Le Sabbat fut institué pour le bien de lâhomme, vivant en société, confronté à différents besoins et soucis, face aux diverses situations de bonheur ou de misère. Lâhomme nâa pas été créé pour le Sabbat. Le fait de respecter ce dernier nâest dâaucune utilité pour Dieu : ne commandait Il pas à Son peuple de garder cette pratique, sous peine de correction divine ?
à chaque fois que nous respectons le Sabbat, nous devons le considérer comme « résultat » de la Miséricorde divine.