Lectionary Calendar
Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
video advertismenet
advertisement
advertisement
advertisement
Attention!
For 10¢ a day you can enjoy StudyLight.org ads
free while helping to build churches and support pastors in Uganda.
Click here to learn more!
free while helping to build churches and support pastors in Uganda.
Click here to learn more!
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-32
Plan
3>Le fils cadet
a) Le départ. Un homme avait deux fils. Le plus jeune demande sa part dâhéritage et sâen va dans un pays éloigné, où il dépense, en vivant dans la débauche, tout ce quâil a (11-13).
b) La détresse. Une famine survient ; il manque de tout. Il sâattache à un étranger, qui lâemploie à garder les pourceaux, et ne lui donne pas même des gousses, dont ceux-ci se nourrissaient (14-16).
c) Regrets et résolution. Il rentre en lui-même, compare sa position à celle des mercenaires de son père, et se décide à aller vers son père, et à lui confesser sa culpabilité et son indignité (17-19).
d) Le retour. Il se lève, et retourne vers son père. Celui-ci le voit venir de loin, court à sa rencontre, se jette à son cou et lâembrasse. Le fils confesse son péché (20, 21).
e) La réhabilitation. Le père ordonne à ses serviteurs dâapporter ce quâil faut pour revêtir son fils, et de préparer un festin en lâhonneur de ce fils quâil a recouvré. Ils commencent à se réjouir (22-24).
Le fils aîné
a) Son entretien avec le serviteur. Revenant des champs, il entend le bruit de la fête et demande des explications à un serviteur. Celui-ci lui annonce le retour de son frère et le festin ordonné par son père. Il se met en colère et refuse dâentrer (25-28a).
b) Son entretien avec le père. Le père sort et le prie dâentrer. Il rappelle les longs services quâil a rendus à son père, et se plaint de nâavoir jamais reçu de lui la plus petite récompense, tandis quâau retour de son frère débauché, le père tue le veau gras. Le père lui répond que sa récompense était de demeurer avec lui et de disposer à son gré de tous les biens paternels ; quâil fallait bien faire une fête et se livrer à la joie, puisque son frère qui était mort est revenu à la vie (28b-32).
11 Ã 32 parabole de lâenfant prodigue
Les deux paraboles qui précèdent suffisaient, semble-t-il, pour confondre les murmures des pharisiens (verset 2), dâautant plus que Jésus en avait lui-même clairement indiqué la signification (versets 7, 10).
Mais il avait à cÅur de peindre dans leur profondeur, leur complexité et leurs tragiques alternatives, ces rapports de lâhomme avec Dieu qui constituent toute la religion. Il le fait dans un tableau saisissant emprunté à la vie de tous les jours. Il montre comment lâhomme se perd par le péché, comment il se retrouve par la repentance, et quelle est la miséricorde infinie de Dieu qui le reçoit et le sauve. Il met enfin lâhomme de la légalité dans une opposition frappante avec le pécheur repentant.
Jésus peint ainsi au vif les deux portions de son auditoire : les péagers et les pécheurs repentants qui viennent à lui, et les pharisiens qui en murmurent (versets 1, 2).
Ces deux fils, la description de leur vie et de leur caractère, sont le sujet des deux parties de la parabole.
Plusieurs Pères de lâÃglise ont voulu voir dans lâaîné le peuple juif et dans le plus jeune les païens. Les théologiens de lâécole de Tubingue se sont empressés de saisir cette interprétation, pour en appuyer leurs idées sur lâépoque tardive de la rédaction des évangiles et sur les tendances quâils attribuent spécialement à celui de Luc.
Câest là méconnaître absolument la situation. Jésus nâavait dâautre but que de répondre aux besoins divers de son auditoire.
Le plus jeune est dans lââge des passions, particulièrement exposé aux séductions du monde.
La part du bien qui devait un jour lui échoir en héritage était, dâaprès le droit mosaïque (Deutéronome 21:17), la moitié de ce qui revenait au fils aîné, soit le tiers de la fortune paternelle. Il demande à son père de lui remettre, par avance, en argent, lâéquivalent de ce tiers. Le verset suivant va dire quelle était son intention.
Il leur partagea son bien, câest-à -dire que le père fit la part de lâun et de lâautre, quâil remit au fils cadet la sienne et conserva par devers lui celle du fils aîné (verset 31).
Le père nâavait aucune obligation à faire ce partage; il aurait pu sây refuser et contraindre ainsi son fils de rester auprès de lui. Il ne le fait pas, car cette contrainte nâaurait en rien changé les sentiments de ce fils. Dieu de même respecte la liberté de lâhomme et lui laisse toute sa responsabilité; car il sait que la confiance et lâamour doivent être libres.
Câest par les expériences de la vie, si bien décrites dans cette histoire, que lâhomme est ramené à Dieu. Aucun autre moyen nây suffirait.
Tel était le but du jeune homme en demandant sa part de biens. Le manque dâamour pour son père, la passion de lâindépendance, lui rendent intolérable la discipline de la maison paternelle et lui ôtent tout sentiment du bonheur dont il aurait pu y jouir.
Impatient de posséder sa liberté (peu de jours après), il part, sans songer au chagrin quâil va causer à son père. Le pays éloigné où il se rend est lâimage de lâétat de lâhomme sans Dieu. Lâéloignement de Dieu est lâessence même du péché. Tout ce qui va suivre nâest que lâinévitable conséquence du départ de lâenfant prodigue.
Son histoire, au sens propre, est celle dâune foule de jeunes fils de famille qui, vivant dans la dissolution, arrivent promptement à dissiper leur fortune. Au sens figuré, elle est celle de lâhomme sans Dieu, qui se voit promptement privé par dâamères déceptions, par le dégoût, par le remords, de ce bonheur imaginaire quâil demandait aux jouissances plus ou moins grossières du monde.
Le mot grec que nous traduisons par : vivre dans la dissolution, est un adverbe qui signifie lâopposé de salutairement; or, lâopposé du salut, câest la ruine. Le substantif, qui est formé de la même racine, se trouve dans Ãphésiens 5:18; Ãphésiens 1:6; 1 Pierre 4:4.
Grec : et lui-même (indépendamment de la famine) commença à manquer (de tout).
Ce mot : il commença, marque un moment terrible dans lâexpérience du jeune insensé. Il voit quâil nâa plus aucune ressource, et autour de lui règne une grande famine qui lui ôte tout espoir.
Il nâest pas dâétat plus affreux que celui dâune âme sans Dieu, vide de toute paix et de toute espérance, remplie dâagitation et dâamertume, et à laquelle le monde, dont elle a épuisé les jouissances, nâa plus rien à offrir. Nâavoir rien en soi, rien au ciel, rien sur la terre, câest le désespoir.
Le jeune homme de la parabole reconnaîtrait-il maintenant sa folie ? Songera-t-il à revenir à son père ? Non, pas encore. Il faut quâil descende encore plus bas dans lâabîme où lâa conduit son péché et quâil en savoure toutes les amertumes.
Ce jeune homme riche et libre dans la maison paternelle, le voilà dans lâindigence et la servitude; ce fils dâune famille honorable, le voilà faisant paître des pourceaux, ce qui, outre lâabjection du métier, était un objet dâhorreur pour un Juif.
Le verbe de lâoriginal : il sâattacha (littéralement il se colla), que nos versions affaiblissent en le traduisant par : il se mit au service de, relève encore ce quâil y avait dâabject dans cette dépendance à lâégard dâun maître païen.
Il y a, dans le monde moral, des suites du péché plus dégradantes encore.
Se remplir le ventre est la leçon du texte reçu avec A et la plupart des majuscules Codex Sinaiticus, B, D lisent se rassasier, ce qui parait une correction.
Quand, après avoir fait paître les pourceaux toute la journée, il les ramenait le soir au logis on les nourrissait ensuite de gousses (espèce de fèves grossières, servant à lâalimentation des animaux); mais à lui, personne ne lui en donnait.
Le mépris quâon lui témoigne ainsi en lâoubliant, la faim qui le dévore et que rien nâapaise, tel est le dernier degré dâun abaissement, dâune souffrance à laquelle on ne saurait rien ajouter.
Ãtant donc rentré en lui-même, tel est le premier pas vers le relèvement. Jusquâalors, il avait vécu hors de lui-même, entraîné par le tourbillon des passions, du monde extérieur.
Maintenant, il revient à lui; il voit toute lâhorreur de sa situation et il découvre dans son cÅur un abîme de maux, sur lesquels il avait volontairement fermé les yeux.
Dès ce moment, une pensée quâil avait tenue éloignée vient émouvoir son cÅur profondément malheureux : son père, la maison de son père. Là , il sâen souvient, même les mercenaires, des ouvriers qui sont engagés pour un temps seulement et que le maître nâa pas intérêt à soigner dâune manière spéciale, ont du pain (grec des pains) en abondance; et lui, il meurt de faim (grec : vrai texte : mais moi je péris ici de famine).
Il serait superflu de montrer la profonde vérité de tous ces traits dans lâexpérience morale de lââme.
Du sentiment de sa misère naît dans le cÅur du fils repentant une ferme résolution; câest le second pas dans son relèvement.
Malgré le trouble de sa conscience et le sentiment quâil a de son indignité, il appelle encore son père, ce père quâil a tant offensé. Jésus nous donne dans ce trait délicat toute une révélation de la miséricorde de Dieu, dont le sentiment persiste dans le cÅur du pécheur repentant, et sans lequel il ne lui resterait que le désespoir.
Ceci encore appartient à sa résolution. Il nâira pas, devant son père, invoquer comme excuses sa jeunesse, ses passions, ou les entraînements du monde; non : jâai péché, voilà le mot qui brise dans lâhomme toutes les résistances de lâorgueil, et quâil nâarrive à prononcer quâaprès une lutte terrible contre cet orgueil.
Les deux termes : contre le ciel et contre toi, nâont de sens distinct que dans la parabole. Ils se confondent dans lâapplication.
Grec : fais-moi comme lâun de tes mercenaires.
Amener le pécheur à sentir quâil a perdu tous ses titres à être un enfant de Dieu, tel est lâeffet de la vraie repentance.
Mais lâamour, qui renaît dans son cÅur avec la repentance, lui inspire en même temps le désir de rentrer en grâce auprès de Dieu, dâêtre admis dans sa famille, fût-ce à la dernière place.
Et sâétant levé; la résolution prise est aussitôt exécutée. Quand on dit que «â¯lâenfer est pavé de bonnes résolutionsâ¯Â», cela nâest vrai que de celles qui ont été prises sans un sentiment profond du péché.
Quel tableau émouvant ! Quelle révélation de lâamour de Dieu ! Chaque mot en porte lâenseignement touchant et profond. Comme il était encore loin, bien avant quâil eût pu atteindre cette maison paternelle dont il ne sâapprochait quâen tremblant, son père le vit.
Ãvidemment le père lâattendait, sa tendresse était aux aguets pour surprendre le retour de son enfant. En se rappelant les deux paraboles précédentes, on peut même dire que câest Dieu qui toujours prévient le pécheur; il le cherche, il lui inspire le premier mouvement de repentance, de foi, dâamour, sans lequel ce pécheur ne reviendrait jamais à lui.
Puis le père court au-devant de son enfant, il lui facilite cette rencontre encore redoutée; enfin, il le presse sur son cÅur, ému de compassion (grec ému dans ses entrailles), et lui donne, sans paroles, ce baiser de réconciliation qui efface pour jamais tout le passé et fait pénétrer dans le cÅur du fils lâassurance de lâamour inaltéré de son père (le verbe grec est composé dâune préposition qui renforce lâidée. M. Stapfer traduit : il le baisa longuement).
Tout ce tableau est infiniment plus beau, plus complet, plus émouvant, que si le père avait exprimé par des paroles le pardon quâil accordait à son fils.
Voir versets 18, 19, note.
Les derniers mots de la réponse projetée : traite-moi comme lâun de tes mercenaires, manquent.
On a expliqué leur absence en supposant que le père interrompt son fils.
Il est peut-être plus naturel de penser que câest le fils lui-même qui, en présence de lâaccueil du père, se sent incapable dâaller jusquâau bout. La tendre compassion que le père lui témoigne lui montre quâil est pardonné et ne lui permet pas dâajouter : traite-moi comme lâun de tes mercenaires.
Crainte, regrets amers, angoisse de la conscience, tout disparaît de son cÅur maintenant comblé de paix et dâamour.
Plusieurs manuscrits (Sin, B, D, etc.) renferment cette demande copiée du verset 19.
Honorez-le comme fils et fils bien-aimé dâun père riche et puissant.
Un anneau au doigt et des souliers ou des sandales aux pieds étaient le signe de lâhomme libre; les esclaves allaient nupieds.
La réhabilitation du fils est complète; il reçoit le pardon de ses fautes gratuitement et tout de suite, sans conditions ni délais; il est réintégré dans la maison et dans lâamour de son père comme si rien ne sâétait passé.
Tel est le sens général de ces traits de la parabole. Une saine exégèse ne doit pas se perdre dans des allégories imitées des Pères de lâÃglise et dâaprès lesquelles la robe signifierait la justice de Christ (Ãsaïe 61:10), lâanneau, le sceau du Saint-Esprit, les souliers, la facilité de marcher dans une vie nouvelle (Ãphésiens 6:15).
Les mêmes interprètes nâont-ils pas vu aussi le diable dans le possesseur des pourceaux, dans les pourceaux eux-mêmes des démons (versets 15, 16), et dans lâimmolation du veau gras le sacrifice de Christ ? !
Notre parabole peint sous lâimage dâun banquet de famille cette joie que les deux similitudes précédentes nâavaient fait quâindiquer (versets 7, 10). Cette joie succède aussi, dans lââme du pécheur sauvé, aux profondes douleurs de la repentance.
Mort et perdu, tel est lâétat moral de tout homme qui ne vit pas en Dieu (comparer Matthieu 8:22; Ãphésiens 2:1; Ãphésiens 5:14).
Dieu seul, en effet, est la source de la vie et la destination suprême de tout être intelligent. Revenir à Dieu, câest donc revenir à la vie et retrouver sa destination éternelle.
Jésus décrit dans cette parabole le péché et ses suites amères, la repentance et le bonheur ineffable de la réconciliation avec Dieu; mais il ne se présente pas comme le médiateur de cette réconciliation.
Dans dâautres déclarations, il indique nettement lâÅuvre de la rédemption qui seule permettra à lâhomme de rentrer en grâce auprès de Dieu et de recevoir lâesprit dâadoption (Matthieu 20:28; Matthieu 26:28, et souvent dans lâÃvangile de saint Jean).
Quand cette Åuvre aura été accomplie, elle pourra être exposée avec des développements proportionnés à son importance. On aurait donc bien tort dâopposer les enseignements de Jésus-Christ à ceux des apôtres et, en particulier, de sâappuyer sur notre parabole pour nier la nécessité de la rédemption. Tout le christianisme ne saurait être renfermé dans une parabole.
Mais, cette particule marque le contraste entre ce qui précède et ce qui va suivre.
Ce fils aîné (grec plus âgé) était donc occupé au service de son père (aux champs), employé à une Åuvre bonne en soi. Et pourtant, les sentiments de son cÅur, quâil va nous révéler, nâont rien de filial. Jésus, après avoir retracé le tableau du pécheur repentant et réconcilié avec Dieu, nous présente maintenant lâimage des pharisiens mécontents (verset 2; comparez avec versets 28-30).
Dans tous les grands banquets, des morceaux de musique et des danses étaient exécutés le plus souvent par des gens engagés à cet effet.
Ce serviteur, un simple esclave sans doute, ne mentionne que le veau gras tué, parce que câétait là , à ses yeux, la principale marque dâun joyeux banquet.
De même, il ne sait rien dire de celui qui est lâobjet de cette fête, sinon quâil est venu et cela en bonne santé, terme quâil faut entendre à la lettre, et non dans un sens moral.
Cet esclave parle selon sa portée; ce quâil y a de plus profond dans la situation lui échappe. Admirable justesse de chaque trait de la parabole !
Lâexhortait à entrer et à montrer de meilleurs sentiments envers son père et son frère.
Câest ce que Jésus faisait constamment à lâégard des pharisiens.
Ce langage de la propre justice est pris sur le fait.
Pour le fils aîné, être dans la maison de son père nâest pas un bonheur, mais un service (le mot grec signifie lâÅuvre dâun esclave), service dont il compte les années.
Il se vante de nâavoir jamais violé les commandements de son père. Cela est possible, mais, pour un père, quelle est la valeur dâune obéissance sans amour ?
Enfin, comme sâil nâavait pas eu la jouissance de toute la maison paternelle, il reproche à son père de ne lui avoir jamais donné de récompense, pas même un chevreau, peu de chose comparé au veau gras (B porte même un petit chevreau).
La récompense de lâenfant de Dieu, câest le bonheur de la communion de son père (Genèse 15:1). La propre Justice ignore cette vérité.
Sans amour pour son père, le fils aîné nâéprouve pour son frère que haine et mépris : celui-ci, ton fils (il se garde bien de lâappeler mon frère), qui a dévoré ton bien (terme choisi à dessein) avec des femmes de mauvaise vie.
Ce dernier trait
Si la première partie de cette parabole devait être un touchant encouragement pour les péagers et les pécheurs repentants qui écoutaient le Sauveur, de quelle confusion ces paroles du fils aîné nâauraient-elles pas dû remplir les pharisiens dont elles traduisaient fidèlement les murmures ? (versets 1, 2)
Ces paroles pleines dâamour (mon enfant) ont inspiré à quelques interprètes la pensée quâil faut envisager le fils aîné, malgré ses défauts, comme un véritable enfant de Dieu. Mais elles sont destinées seulement à peindre la situation du fils aîné envers son père telle quâelle est donnée dans la parabole. Il était toujours avec son père et en aurait senti le bonheur, sâil avait su lâaimer. Lâhéritage des biens de son père lui était assuré.
Telle était la position de tout le peuple de lâalliance. Il était auprès de Dieu, qui le cherchait même alors dâune manière spéciale par la présence du Sauveur, et toutes les richesses de sa miséricorde lui étaient offertes (Romains 3:1; Romains 9:1-5).
Mais ce peuple, semblable au fils aîné, imbu dâune propre justice pharisaïque, ne savait pas jouir de ces immenses privilèges, parce quâil fermait son cÅur à lâamour de Dieu et méprisait les pauvres pécheurs repentants qui venaient à Jésus.
Grec : il fallait être dans lâallégresse (qui se manifeste par ce festin) et se réjouir; il le fallait, car cette joie nâest que lâeffusion de mon amour (versets 7, 10). Et lâobjet de cette joie, câest ton frère, qui était perdu et qui est sauvé (verset 24, note).
Quel contraste entre ces paroles et les sentiments du fils aîné ! Or ces sentiments étaient ceux des pharisiens qui écoutaient le Sauveur.