Lectionary Calendar
Sunday, July 20th, 2025
the Week of Proper 11 / Ordinary 16
the Week of Proper 11 / Ordinary 16
video advertismenet
advertisement
advertisement
advertisement
Attention!
For 10¢ a day you can enjoy StudyLight.org ads
free while helping to build churches and support pastors in Uganda.
Click here to learn more!
free while helping to build churches and support pastors in Uganda.
Click here to learn more!
Bible Commentaries
La Bible Annotée de Neuchâtel La Bible Annotée de Neuchâtel
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public.
Ces fichiers sont dans le domaine public.
Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 2 Kings 23". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/commentaries/fre/neu/2-kings-23.html.
bibliography-text="Commentaire sur 2 Kings 23". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-37
Plan du commentaire biblique de 2 Rois 23
Josias accepte avec soumission le sort qui lui est annoncé, mais, connaissant les compassions de lâÃternel, il fait encore un effort suprême pour obtenir en faveur de son peuple un changement de la volonté divineâ¯; et, comme toute vraie conversion commence par le sentiment du péché, il place le peuple en face de la loi qui le condamne, de même quâil y avait été placé lui-même par la lecture que lui en avait faite Saphan.
Verset 1
Lecture de la loi (1-3)
Les Anciens. Eux seuls furent convoqués, mais à eux se joignirent spontanément une grande partie du peuple de Jérusalem et même de tout Juda (verset 2).
Verset 2
Les prophètes. Nous ne connaissons comme tels que Jérémie, Sophonie et Hulda, mais il y en avait dâautres sans doute. Sur le terme les Lévites, qui dans 2 Chroniques 34.30 remplace celui de prophètes, voir à ce passage.
Verset 3
Lâestradeâ¯: voir à 2 Rois 11.14.
Verset 4
Destruction de lâidolâtrie (4-20)
Et dâabord, versets 4 à 14, à Jérusalem et en Juda.
Destruction des instruments du culte idolâtre.
Aux sacrificateurs de second rang. Si ce mot était au singulier, nous devrions penser au sacrificateur particulier qui remplissait le rôle de vice-grand sacrificateur dâaprès 2 Rois 25.18. Comme il y a le pluriel, il est naturel dâentendre les sacrificateurs en général, en tant que subordonnés au souverain sacrificateur.
Verset 5
Destitution des sacrificateurs qui avaient desservi les hauts-lieux en dehors de Jérusalem. Nous avons rendu par faux prêtres le mot camarim, sur lequel voyez Osée 10.5, note.
Ainsi que ceux qui offraient les parfums⦠Ceux-ci étaient les prêtres proprement idolâtres qui avaient été établis depuis que lâadoration des astres en général, importée dâAssyrie, était venue sâajouter à celle de Baal et dâAstarté (du soleil et de la lune).
Aux signes du zodiaque. Le mot hébreu peut désigner soit les cinq planètes connues alors et adorées chez les Assyriens, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter. Saturne, soit les douze signes du zodiaque que le soleil est censé parcourir dans le cours dâune année.
Verset 6
Destruction de lâidole principale.
Lâidole dâAstarté. Une statue semblable avait été érigée par Manassé dans le temple même (2 Rois 21.7). Il est dit que Manassé, après son retour de Babylone et sa repentance, lâavait fait enlever (2 Chroniques 33.15). Amon lâavait sans doute rétablie.
Sur la fosse du commun peuple. Il ne sâagit pas de souiller les cadavres, qui lâétaient déjà naturellement, mais dâimprimer une flétrissure à lâidole elle-même. Les sépulcres des riches étaient dans la propriété de chacun. La fosse commune du bas-peuple pouvait seule être employée à cet usage.
Verset 7
Abolition des pratiques impures qui souillaient le temple.
Des prostitués, littéralementâ¯: consacrés (1 Rois 14.24, note et Deutéronome 23.18). Dans ces mêmes maisons paraissaient avoir habité les femmes qui fabriquaient les tentes employées dans tout le pays à abriter les idoles dâAstarté.
Verset 8
Abolition des lieux de culte dans tout le pays et à Jérusalem. Les sacrificateurs qui sâétaient dégradés au point de pratiquer ces cultes, furent ramenés à Jérusalem où leur fut assignée une position inférieure à celle de leurs frères. Le service de lâautel des holocaustes leur fut interdit, mais ils recevaient une part des offrandes non sanglantes présentées par le peuple. Comparez Ãzéchiel 44.9-14.
Guéba, ville située près de la frontière septentrionale du royaume de Juda (Ãsaïe 10.29, note).
Béerséba, limite extrême de Juda du côté du sud.
Hauts-lieux des portesâ¯: à Jérusalem. Câétaient des autels élevés près des portes de la ville, où ceux qui entraient ou sortaient pouvaient faire leurs dévotions. Lâauteur désigne particulièrement une de ces portes, située près de la maison du commandant de la ville, nommé Josué. La seconde proposition en désigne probablement une seconde, située dans une autre partie de la ville, non nomméeâ¯; câétait sans doute la principale, vraisemblablement celle de Jaffa, par où passe la route qui conduit à la Méditerranée.
Verset 10
Thopheth. Voir Ãsaïe 30.33, note. Ce mot vient peut-être du verbe thouph, qui signifie brûler ou cracher.
Verset 11
Dâamener les chevaux⦠On voit par le contraste avec les chars, quâil fit brûler que câétaient des chevaux vivants, quâon employait probablement dans les processions où lâon représentait le soleil parcourant les douze stations du zodiaque. Chez tous les peuples de lâOrient le cheval est lâanimal consacré au soleil.
Néthan-Mélec. Est-ce le nom dâun individu ou le titre de lâemployé chargé du soin de ces chevauxâ¯? Le mot signifieâ¯: don du roi. Ce nom viendrait de ce que les chevaux étaient donnés par les rois. Ce personnage habitait une arrière-cour située à lâouest du temple, derrière le Lieu très saint, du côté de la ville haute et appelée Parvar, nom dont on ignore lâorigine. Câétait là quâétaient les écuries des chevaux consacrés.
Verset 12
Sur le toitâ¯: de manière à pouvoir observer les astres et leur offrir lâencens.
La chambre haute. On voit par Jérémie 35.4 (la chambre de Maaséïa, gardien du seuil) que les grands portiques des deux parvis renfermaient dâassez nombreuses chambres. Achaz en avait fait bâtir une exprès sur le toit dâun de ces édifices et les rois idolâtres de Juda (Achaz, Manassé, Amon) y avaient établi des autels.
Dans les deux parvis. Lâintérieur même de lâemplacement sacré était devenu un réceptacle dâidolâtrie.
Verset 13
De Jérusalem lâactivité réformatrice de Josias sâétend aux alentours de la ville.
La montagne de Perdition. Ce terme désigne la plus méridionale des trois cimes de la montagne des Oliviers, à droite pour celui qui regarde depuis Jérusalem dans la direction de lâorient (au moyen duquel les Hébreux sâorientaient). Cette sommité porte encore aujourdâhui le nom de mont du Scandaleâ¯; voir 1 Rois 11.7. Câest de la criminelle concession que Salomon fit à ses femmes que date lâintroduction de lâidolâtrie en Judaâ¯; de là le nom de cette montagne. Ces hauts-lieux, qui avaient sans doute été abattus par les rois pieux, avaient été relevés par les rois idolâtres.
Verset 14
Les statues.Voir 1 Rois 14.23, note.
Verset 15
Josias étend la réforme au pays même des dix tribus. 2 Chroniques 34.9 montre que les restes des Israélites demeurant dans lâancien territoire dâIsraël sâétaient rattachés au culte de Jérusalem et contribuaient même à son entretien. En sa qualité de chef religieux du peuple de Dieu tout entier, Josias étend son action jusquâà eux comme lâavait fait déjà précédemment Ãzéchias (2 Chroniques 31.1). Sans doute cette contrée septentrionale faisait encore partie de lâempire dâAssyrie, mais cet empire était alors sur son déclin et il ne sâagit que dâune réforme religieuse, sans conséquence politique. Il est probable que lâancien haut-lieu de Béthel était resté un lieu de culte pour les nouveaux habitants qui y avaient élevé une statue de Baal (2 Rois 17.28) et une aschère.
Brûla le haut-lieuâ¯: la maison qui sây trouvait (verset 19).
Verset 16
Récit dâun épisode qui a accompagné cette destruction (16-18)
Lâauteur veut montrer lâaccomplissement de la prédiction du prophète de Juda. 1 Rois 13.2. Certainement il nâinvente pas lui-même dans ce but le fait quâil raconteâ¯; car dans ce cas, il nâaurait pas manqué de faire ressortir expressément ce quâil indique dâune manière toute générale au verset 20, lâimmolation des sacrificateurs de ce haut-lieu de Béthel, si expressément annoncée dans la prophétie.
Dans la montagneâ¯: non pas celle sur laquelle se trouvait le haut-lieu, mais une colline que lâon voyait depuis celui-ci.
Verset 18
De Samarie. Voir 1 Rois 13.7â¯; 1 Rois 13.11 et la note 1 Rois 13.8.
Verset 19
Ici reprend le fil du récit interrompu au verset 15. Josias étend à tous les hauts-lieux du pays, qui étaient devenus sans doute très-nombreux depuis que la population païenne y habitait, le traitement appliqué au haut-lieu principal, celui de Béthel.
Verset 20
Ces sacrificateurs étaient des prêtres païens venus avec les nouvelles populations. Josias les traite plus sévèrement que ceux des hauts-lieux de Judaâ¯; il sâagissait ici de hauts-lieux décidément consacrés à lâidolâtrie.
Verset 21
Célébration de la Pâque (21-23)
Le pays une fois purifié de la souillure de lâidolâtrie, Josias, comme son ancêtre Ãzéchias (2 Chroniques 30.1), convoque le peuple entier à une Pâque solennelle. Nulle fête nâétait aussi propre que celle-là à solenniser la restauration du culte de Jéhova au sein de son peuple, car son institution avait marqué lâaffranchissement dâIsraël en Ãgypte et sa naissance à lâexistence nationale, sa création comme peuple de Dieu.
Selon ce qui est écrit. Par la découverte et la lecture publique du livre de la loi avaient été remis en pleine lumière les caractères et les traits particuliers de cette grande fête. Il serait faux de conclure de là , comme on lâa fait, que ce fut alors quâelle fut célébrée pour la première fois. Nous avons des preuves que depuis la sortie dâÃgypte elle avait été plusieurs fois célébréeâ¯; ainsi peu après lâentrée dans le pays de Canaan (Josué 5.10), puis sous Ãzéchiasâ¯; et nous nâavons aucun droit de supposer quâelle ne lâeût pas été dans lâintervalle. Comparez les expressionsâ¯: depuis le temps des Juges (verset 22), etâ¯: depuis le temps de Samuel (2 Chroniques 35.18). Lâhistoire ne mentionne quâoccasionnellement lâaccomplissement régulier des cérémonies religieuses, car il sâentend de lui-même.
Verset 22
Car jamais⦠Ce car porte sur les motsâ¯: Comme il est écrit. Même sous Ãzéchias la différence entre le mode de célébration et les prescriptions de la loi est nettement relevée dans tout le récitâ¯; ainsi on est obligé de renvoyer la célébration au second mois, ce qui prouve que lâon nâignorait point quâelle aurait dû avoir lieu au premier. Ce ne fut que sous Josias que la célébration répondit exactement à sa forme normale et que lâélan causé par la lecture récente de la loi amena, de la part du roi et du peuple, la joyeuse et complète célébration qui avait fait défaut jusquâalors.
On a prétendu aussi que jusquâà Josias la fête de Pâques avait bien existé, mais comme fête purement agraire. Il faudrait admettre dans ce cas quâil en était ainsi et même à plus forte raison des deux autres fêtes, ce qui conduirait à lâétrange conséquence quâIsraël, le peuple le plus religieux de lâantiquité, aurait été le seul qui nâaurait pas eu de fête religieuse. Nous croyons avoir démontré que les trois fêtes sacrées dâIsraël reposaient, il est vrai, sur des faits de la vie naturelle, mais quâelles avaient reçu une signification supérieure en rapport avec les circonstances de la vie nationale.
De Pâque pareille. Ces mots mêmes impliquent que cette fête avait été célébrée précédemment, mais non pas ainsi.
Verset 23
La dix-huitième annéeâ¯: ainsi moins dâun an après la découverte de la loi (2 Rois 22.8).
Verset 24
Mesures de Josias contre les arts occultes, dont lâexercice était en général lié au paganisme.
Les nécromanciens, les devinsâ¯: voir 2 Rois 21.6.
Théraphimâ¯: voir Genèse 31.19. Josias attaque lâidolâtrie non seulement dans ses formes publiques, mais jusque dans ses pratiques secrètes et domestiques.
Verset 25
Appréciation du règne de Josias (25-27)
Pas eu de roi qui, comme lui⦠Voir, sur cette parole, verset 2.
Verset 27
On est étonné de lâinflexibilité de lâÃternel dans ce cas-ci. Mais les discours de Jérémie et de Sophonie montrent bien que le retour du peuple, nâétait que superficiel et nâavait eu lieu que sous lâimpulsion de son roi. Le cÅur était resté le même. Le mal avait cette fois atteint sa pleine mesure. Il pouvait bien encore y avoir grâce individuelleâ¯; la condamnation nationale était prononcée sans retour.
Verset 28
Fin de Josias (28-30)
La position de ce verset avant lâévénement important qui doit encore être raconté, la mort tragique de Josias, est étrange. Peut-être le récit de cette mort a-t-il été placé ainsi comme transition à lâélection de son successeur.
Verset 29
Pharaon Nécoâ¯: le second roi de la vingt-sixième dynastieâ¯; prince célèbre qui travailla surtout à développer la marine égyptienne et fit exécuter pour la première fois le tour de lâAfrique par des vaisseaux qui, partis de la mer Rouge, revinrent en Ãgypte par le détroit de Gibraltar et la Méditerranée. Il est probable que ce fut par mer et au moyen de sa flotte quâil transporta son armée au nord de la Palestine, dâoù il voulait passer directement en Assyrie. Sâil était venu dâÃgypte par terre, ce ne serait pas au nord, dans la plaine de Méguiddo, que Josias serait allé à sa rencontre. Il débarqua sans doute dans la baie dâAcco, au pied du Carmel et ce fut tout naturellement dans la plaine dâEsdraélon, qui sâouvre là , que Josias le rencontra. Voir le récit plus détaillé 2 Chroniques 35.20 et suivants.
Monta contre le roi dâAssyrie. Cet empire, comme nous lâavons dit (2 Rois 23.15), était alors en pleine décadence. Peu de temps après la bataille de Méguiddo (610), Ninive tomba, après trois ans de siège, au pouvoir des Mèdes et des Babyloniens coalisés. Lâexpédition de Néco était probablement motivée par le désir de profiter de la chute prévue de cet empire pour étendre son pouvoir sur lâOrient.
Josias marcha à sa rencontre. Par quelle raison et dans quel butâ¯? Les historiens ne sont pas dâaccord sur ce point. Le royaume du nord nâétant pas en son pouvoir, il semble quâil eût pu laisser passer Néco sans sâopposer à lui. Il paraît probable que, depuis la grande réforme religieuse quâil avait accomplie dans cette contrée, il sâenvisageait plus ou moins comme le souverain du pays, succédant ainsi à ses ancêtres, David et Salomon qui avaient possédé toute la Terre Sainte. Mais même dans cette supposition, sa conduite reste difficile à expliquer. Il semble quâil ait été abandonné à un esprit dâaveuglement, qui devait servir à réaliser la prophétie de Hulda et le dessein de Dieu qui allait à la ruine de Juda. Hérodote mentionne la bataille de Méguiddo, ville quâil appelle Magdolon, probablement par corruption du nom hébreu.
Dès quâil le vitâ¯: pour ainsi dire sans combat. Josèphe raconte que ce fut en parcourant son armée pour la ranger en bataille, que Josias fut frappé dâune flèche.
Les lamentations populaires qui accompagnèrent immédiatement cette mort et qui se célébrèrent encore pendant des siècles (2 Chroniques 35.25), montrent que le peuple sentit profondément lâimportance de ce coup. Comme les règnes de David et de Salomon avaient été lâaurore et le glorieux lever de soleil de la royauté israélite, celui de Josias fut le dernier éclat jeté par le soleil couchant, qui allait sâéteindre dans une longue et sombre nuit.
Verset 30
Voir les détails 2 Chroniques 35.23 et suivants.
Dans son sépulcreâ¯; dans les Chroniquesâ¯: celui de ses pèresâ¯; probablement celui où avaient été enterrés Manassé et Amon (2 Rois 21.18â¯; 2 Rois 21.26).
Le peuple du pays prit Joachaz. Câétait le quatrième fils de Josias (1 Chroniques 3.15). Il paraît que celui-ci nâavait rien déterminé à lâégard de son successeurâ¯; câest pourquoi Joachaz fut élevé sur le trône par lâélection populaire. Peut-être est-ce par cette raison quâils lâoignirent, ce qui nâest dit dâaucun des rois de Juda depuis Salomon (1 Rois 1.34) qui, lui non plus, nâétait pas lâaîné. Le nom de Joachaz était proprement Sallum (Jérémie 22.11l). Il était de deux ans plus jeune que son frère Jéhojakim. Nous ignorons les raisons pour lesquelles le peuple le préféra à son aîné.
Verset 31
Derniers rois de Juda, destruction du royaume (23.31 Ã 25.30)
Versets 31 Ã 35 â Joachaz, en Juda (610)
Comparez 2 Chroniques 36.1-4.
Jérémie, de Libnaâ¯: non le prophète, qui était dâAnathoth.
Verset 33
Néco avait poursuivi sa marche vers le nord et travaillait à soumettre tous les Ãtats syriens en-deça de lâEuphrate. Il ordonna sans doute à Joachaz de venir lui rendre hommage, comme lâavait fait le roi dâAssyrie à lâégard de Manassé et le jeta dans les chaînes. Dâautres ont supposé quâil lâavait fait prendre à Jérusalem par un détachement de son armée qui se serait emparé de cette ville.
Ribla, aujourdâhui Kiblé un pauvre village de quarante et quelques maisons, en Célésyrie, sur la rive droite de lâOronte, à quelques journées au nord de Damas, dans une grande vallée large dâenviron 16 km, abondante en pâturages et que Nébucadnetsar choisit aussi pour son quartier général, après la prise de Jérusalem (2 Rois 25.6-21). De ce point, des routes commodes conduisaient dans toutes les directions.
Hamathâ¯; capitale de tout ce district, encore plus au nordâ¯; aujourdâhui une ville de trente mille habitants. Voir Ãsaïe 10.9, note.
Comparez avec notre verset le remarquable passage dans lequel Ãzéchiel 19.1-14) a décrit le traitement que Néco fit subir à Joachaz.
Une contribution de cent talents dâargentâ¯: près dâune demi-tonne dâargent.
Un talent dâorâ¯: 49 kg.
Verset 34
à la place de Josias. Joachaz, ayant été nommé sans son autorité, est compté pour rien par Néco.
Changea son nom. Quoique les deux noms aient à peu près le même sens (Eliakimâ¯: Dieu élèveâ¯; Jéhojakimâ¯: lâÃternel élève), ce changement avait cette portée de faire du nouveau roi la créature de Néco (2 Rois 24.17â¯; Genèse 41.45â¯; Daniel 1.7).
Verset 36
Jéhojakim (610-599) (23.36 à 24.7)
Comparez 2 Chroniques 36.5-8.
Huma, ville inconnueâ¯; peut-être Aruma, près de Sichem (Juges 9.41).