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Sunday, December 22nd, 2024
the Fourth Week of Advent
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Bible Commentaries
Commentaire biblique simple Commentaire biblique simple
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Informations bibliographiques
"Commentaire sur 1 John 3". "Commentaire biblique simple". https://www.studylight.org/commentaries/fre/cbs/1-john-3.html.
"Commentaire sur 1 John 3". "Commentaire biblique simple". https://www.studylight.org/
Whole Bible (5)New Testament (1)
versets 1-24
1 Jean 3:1-12
Espérance et pureté des enfants de Dieu
3 Voyez de quel amour le Père nous a fait don, que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes. C'est pourquoi le monde ne nous connaît pas, parce qu'il ne l'a pas connu.
2 Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté. Nous savons que, lorsqu'il sera manifesté, nous lui serons semblables car nous le verrons tel qu'il est.
3 Et quiconque a cette espérance en lui1 se purifie comme lui est pur.
1 c.-à-d. : en Christ qui doit être manifesté.
4 Quiconque commet1 le péché commet1 aussi l'iniquité2; et le péché, c'est l'iniquité2.
1 littéralement : fait. 2 c.-à-d. : une marche sans loi, sans frein.
5 Et vous savez que lui a été manifesté afin qu'il ôte les1 péchés. Mais [le] péché n'est pas en lui.
1 plusieurs manuscrits portent : nos.
6 Quiconque demeure en lui ne pèche pas; quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu.
7 Enfants, que personne ne vous égare. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui est juste.
8 Celui qui commet1 le péché est du Diable, car le Diable pèche dès le commencement. C'est pour cela que le Fils de Dieu a été manifesté afin qu'il détruise les œuvres du Diable.
1 littéralement : fait.
9 Quiconque est né de Dieu ne commet1 pas [de] péché, car la semence de Dieu2 demeure en lui; et il ne peut pas pécher parce qu'il est né de Dieu.
1 littéralement : fait. 2 littéralement : sa semence.
10 À ceci sont [rendus] manifestes les enfants de Dieu et les enfants du Diable : quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, ni celui qui n'aime pas son frère.
S'aimer les uns les autres
11 Car voici le message que vous avez entendu dès le commencement : que nous nous aimions les uns les autres,
12 non comme Caïn qui était du Méchant et qui tua son frère. Et pour quelle raison le tua-t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises et que celles de son frère étaient justes.
Ce qui dans, une famille normale, constitue le lien entre ses membres, c'est l'amour. Les enfants le reçoivent et l'apprennent de leurs parents, puis le leur rendent et le réalisent entre eux. Faible image de l'amour dont le Père nous a fait don en nous appelant ses enfants! Cet amour, nous ne sommes pas appelés à le comprendre mais à le voir (v. 1), et, le constatant, à y répondre.
Du v. 9, certains croyants pourraient déduire qu'ils n'ont pas la vie de Dieu puisqu'il leur arrive de pécher (voir ch. 5 v. 18 1j 5.18-21). Comprenons bien que le vrai moi du chrétien, c'est le nouvel homme et que celui-ci ne peut pas pécher.
Le partage de l'humanité entre enfants de Dieu et enfants du Diable est établi de la façon la plus absolue par les v. 7 à 12 (comp. Jean 8:44 j 8.38-45). Aujourd'hui dans bien des milieux religieux on méconnaît cette différence. Qu'il y ait des chrétiens plus ou moins pratiquants, on en convient. Mais que certains se déclarent sauvés alors que d'autres seraient perdus, on les taxe d'orgueil et d'étroitesse. Eh bien! L'incompréhension du monde, qui peut aller jusqu'à la haine, nous donne l'occasion de ressembler un peu à Jésus ici-bas (v. 1 fin; Jean 16:1-3 j 16.1-6). Bientôt nous Lui serons faits semblables aussi dans la gloire, car nous Le verrons comme Il est (v. 2).
1 Jean 3:13-24
13 Et ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous déteste.
14 Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n'aime pas1 demeure dans la mort.
1 plusieurs manuscrits ajoutent : son frère.
15 Quiconque déteste son frère est un meurtrier; et vous savez qu'aucun meurtrier n'a la vie éternelle demeurant en lui.
16 À ceci nous avons connu1 l'amour, c'est que lui a laissé2 sa vie pour nous; et nous, nous devons laisser2 notre vie pour les frères.
1 nous avons connu et nous connaissons. 2 littéralement : déposer.
17 Mais celui qui a les biens1 de ce monde et qui voit son frère dans le besoin et qui lui ferme son cœur2, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ?
1 c.-à-d. : biens ou subsistance. 2 littéralement : qui ferme ses entrailles loin de lui.
L'assurance des enfants de Dieu
18 Enfants, n'aimons pas en paroles ni avec la langue, mais en action et en vérité.
19 Et par ceci nous saurons que nous sommes de la vérité et nous rassurerons1 nos cœurs devant lui,
1 littéralement : persuaderons.
20 c'est que, si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur et il sait toutes choses.
21 Bien-aimés, si notre cœur ne [nous] condamne pas, nous avons de l'assurance auprès de Dieu.
22 Et quoi que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons les choses qui sont agréables devant lui.
23 Or voici son commandement : que nous croyions au nom de son Fils Jésus Christ et que nous nous aimions les uns les autres, comme il nous en a donné le commandement.
24 Et celui qui garde ses commandements demeure en Dieu1 et Dieu1 en lui; et [c'est] à ceci que nous savons qu'il demeure en nous : par l'Esprit qu'il nous a donné.
1 littéralement : lui.
La haine du monde contre les enfants du Père ne devrait aucunement nous surprendre (v. 13; comp. Jean 15:18… j 15.18-25). Ce sont plutôt ses amabilités qui pourraient nous paraître suspectes. Quant à l'amour, le monde ne peut en concevoir que des contrefaçons; ses motifs ne sont jamais purs, jamais totalement désintéressés. Seul est véritable l'amour de Dieu qui trouve sa source en Lui-même et non dans celui qui en est l'objet. C'est d'un tel amour que nous avions besoin d'être aimés, puisqu'il n'y avait en nous rien d'aimable (Tite 3:3 tt 3.1-7). Et la croix est le lieu où nous apprenons à connaître l'infini de cet amour divin (v. 16).
Les v. 19 à 22 soulignent la nécessité d'une bonne conscience, d'un cœur qui ne nous condamne pas. Si nous ne pratiquions que ce qui est agréable au Seigneur, Il pourrait exaucer sans exception toutes nos prières. Des parents qui approuvent la conduite de leur enfant lui accorderont volontiers ce qu'il viendra leur demander (v. 22; comp. Jean 8:29 j 8.28-30; 11:42 j 11.39-44). Demeurer en Lui, c'est l'obéissance; Lui en nous, c'est la communion qui en résulte (v. 24; ch. 2 v. 4 à 6 1j 2.3-6; ch. 4 v. 16 1j 4.15-16; Jean 14:20 j 14.18-21; 15:5, 7 j 15.1-8). Plongez dans la mer un vase ouvert; il en sera à la fois baigné et rempli. Qu'il en soit ainsi de nos cœurs et de l'amour du Christ!