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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique intermédiaire Commentaire biblique intermédiaire
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Revelation 12". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/commentaries/fre/cbi/revelation-12.html.
bibliography-text="Commentaire sur Revelation 12". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/
Whole Bible (5)New Testament (1)
versets 1-18
«Et un grand signe apparut dans le ciel: une femme revêtue du soleil, et la lune sous ses pieds». Il ne faut pas sâimaginer que lors de lâaccomplissement de la prophétie, on voit cela littéralement. Un tel système dâinterprétation est une source féconde en erreurs. La femme est vue dans le ciel, pour montrer que ce nâest pas simplement lâhistoire de ce qui va se passer sur la terre qui nous est présentée, mais que tout est contemplé dans la pensée de Dieu; en haut, par conséquent. La femme représente ce que sera Israël sur la terre; elle est le symbole du peuple élu, considéré comme corps, dans lâétat de choses futur que Dieu a le dessein dâétablir ici-bas.
Elle est «revêtue du soleil»: au lieu dâêtre, comme actuellement, dans un état de désolation, foulé aux pieds par les nations, Israël sera revêtu de lâautorité suprême. «Et la lune sous ses pieds»; câest, je le pense, une allusion à lâancienne condition de ce peuple, lorsquâil était sous le joug des ordonnances légales, qui ne le régiront plus, mais lui seront assujetties. On voit aisément combien la lune est une image propre à représenter le système mosaïque, qui, consistant en ombres et figures, ne faisait que réfléchir la lumière dâun état de choses bien autrement glorieux. Or, pendant le millénium, ce système ne sera pas entièrement mis de côté, comme il lâest maintenant dans le christianisme; il réapparaîtra, mais en occupant une place subordonnée, ainsi que le montre la prophétie dâÃzéchiel. «Et sur la tête une couronne de douze étoiles», symbole qui indique avec évidence que lâautorité humaine en matière dâadministration lui appartiendra ici-bas. Ainsi nous voyons lâautorité suprême, aussi bien que lâautorité dérivée ou subordonnée, attachées à la femme, câest-à -dire à Israël selon la pensée de Dieu. Israël est donc clairement lâinstrument dont Dieu se servira pour accomplir ses magnifiques desseins à lâégard de la terre. Câest ainsi que Dieu lâenvisage et nous le présente ici. Quel complet et merveilleux changement pour ce peuple!
Mais ce nâest pas tout. «Et étant enceinte, elle crie étant en mal dâenfant et en grand tourment pour enfanter». Le jour de joie et de triomphe où sâaccompliront les desseins de Dieu nâest pas encore arrivé; ce jour où, selon Ãsaïe, Sion a enfanté avant quâelle ait été en travail et «avant que les douleurs lui soient venues, elle a donné le jour a un enfant mâle». La faiblesse et la souffrance existent encore pour elle, mais la délivrance est assurée, et la fin des tribulations est garantie par la parole de lâÃternel.
«Et il apparut un autre signe dans le ciel: et voici, un grand dragon roux, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes». Câest Satan, comme nous le voyons plus loin, revêtu des attributs qui caractérisent lâennemi le plus acharné quâIsraël ait jamais rencontré, et qui a remporté le plus dâavantages sur lui; car, quelle quâait pu être la tyrannie de Nebucadnetsar, il est certain que la puissance romaine a foulé sous ses pieds et écrasé Jérusalem avec une cruauté bien autrement terrible et prolongée. La signification de ce double symbole est ainsi rendue dâautant plus frappante. Israël nâest pas encore délivré, mais le prophète montre ce quâil est dans la pensée de Dieu, et quelle sera un jour sa position. Puissant encouragement quand lâon considère par où il doit passer avant que tout ne soit réalisé! Mais avant que cela ne sâeffectue, nous voyons lâennemi sous son caractère de pouvoir rebelle et apostat.
Le dragon a sept têtes: câest la plénitude de lâautorité en matière de gouvernement. Il a dix cornes; ce nâest pas quelque chose de complet, mais qui en approche; câest une très grande somme de puissance dans les instruments mis en Åuvre en Occident. Ce qui est humain nâest jamais complet. Dieu donne à la femme douze étoiles, tandis que le dragon nâa que dix cornes. Les sept têtes nous offrent, comme je le suppose, une succession complète des diverses formes de gouvernement; mais Dieu ne permet pas quâil y ait là cette plénitude du pouvoir administratif que nous voyons appartenir à la femme. Lâordre sera parfait quand, dans le siècle à venir, le Seigneur Jésus prendre en main le gouvernement de la terre. Lui-même dit à ses apôtres: «En vérité, je vous dis, que vous qui mâavez suivi, â dans la régénération, quand le fils de lâhomme se sera assis sur le trône de la gloire, vous aussi vous serez assis sur douze trônes, jugeant les douze tribus dâIsraël» (Matt. 19:28). Telle est la place spéciale dâhonneur et de confiance destinée aux douze apôtres de lâAgneau.
«Et sa queue entraîne le tiers des étoiles du ciel». Câest là ce qui semble indiquer que la troisième partie, dont il a été question aux chapitres 8 et 9, se rapporte à lâempire romain. Par là , il faut entendre ce qui est proprement romain, câest-à -dire la partie occidentale de lâEurope et non ce que les Romains possédèrent de plus, la Grèce, par exemple, et ce quâils conquirent de la Babylonie, de la Perse et de la Médie. Ces dernières contrées sont lâOrient. Câest dans la partie occidentale de lâEurope que la puissance du dragon se fait particulièrement sentir.
«Et sa queue entraîne le tiers des étoiles du ciel, et elle les jeta sur la terre. Et le dragon se tenait devant la femme qui allait enfanter, afin que, lorsquâelle aurait enfanté, il dévorât son enfant. Et elle enfanta un fils mâle, qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer; et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers son trône». Il y a ici plusieurs points qui demandent une explication. En premier lieu, la pensée qui prévaut généralement est que la femme représente lâÃglise. Une simple remarque suffit pour renverser cette fausse notion. LâÃglise nâest jamais présentée dans lâÃcriture comme une mère; bien moins encore pourrait-elle être la mère de Christ qui, évidemment, est le fils mâle. Sous lâimage dâune femme, lâÃglise est la fiancée de Christ, tandis quâIsraël, comme corps, peut en réalité être envisagé symboliquement comme ayant enfanté Christ; qui, en effet, est issu des Juifs selon la chair (Rom. 9:5). Que Christ soit le fils mâle, câest ce que prouvent clairement les Ãcritures. «Un enfant nous est né, un Fils nous a été donné», sâécrie Ãsaïe (chap. 9:6); et le Psaume 2 nous montre que Celui qui nâest pas seulement lâenfant dâIsraël, mais qui est aussi reconnu et honoré de Dieu comme le Fils, doit gouverner les nations avec une verge de fer.
La femme représente donc Israël selon la pensée de Dieu; Israël comme corps, comme ensemble complet; et le fils mâle est, sans nul doute, le Seigneur Jésus. Cela posé, nous pouvons comprendre la signification et la portée de la scène où nous sommes introduits.
Je ferai remarquer une autre chose. Bien quâil me paraisse évident que Christ est le fils mâle né dâIsraël, il peut y avoir, à première vue, pour quelques esprits, une certaine difficulté à comprendre comment la naissance de Christ est introduite dans ce chapitre. Pour résoudre la question, remarquons, comme je lâai déjà expliqué, que lâEsprit de Dieu ne continue pas ici à présenter le cours des événements à venir. Il retourne en arrière, et rien ne limite jusquâà quelle époque. Il nây a dans cette portion du livre aucune date qui puisse servir à fixer le moment où a lieu la naissance du fils mâle. Mais pourquoi, demandera-t-on encore, est-il question ici de cette naissance, puisque câétait un fait bien connu et proclamé depuis longtemps, par la prédication de lâévangile et lâenseignement chez les chrétiens, que notre Seigneur était né, avait vécu et était monté au ciel? Pourquoi la présenter dâune façon si extraordinaire dans la prophétie? La raison en est, me semble-t-il, que Dieu voulait, sans la mentionner distinctement, rappeler, mystiquement et dâune manière frappante, la naissance de Christ, en la rattachant à son enlèvement au ciel et vers son trône. Cela se lie avec la réouverture des voies de Dieu envers les Juifs et leur restauration définitive comme nation.
Il est donc clair que Dieu ne dispose pas ici les sujets relativement au temps, mais selon leur relation avec Christ leur centre. Jean va bientôt après entrer dans la description des scènes finales: auparavant, il nous montre le conseil de Dieu à lâégard dâIsraël. Câest ce qui conduit à faire voir lâopposition acharnée du diable quant à lâaccomplissement de ce conseil, car câest ce que lâadversaire redoute le plus. Satan met dans sa résistance à Christ toute la ténacité possible, toute la haine et lâorgueil imaginables. Il reconnaît en Christ celui qui lâa écrasé, et qui est le libérateur de lâhomme et de la création; de là lâantagonisme constant qui existe entre lui et le Fils de Dieu. Il y a plus: Satan sâélève contre la relation de Christ, avec le pauvre peuple dâIsraël, voué au mépris.
Néanmoins, avant que Dieu ne prenne ouvertement en main la cause dâIsraël, nous trouvons ce fait remarquable, que Christ est enlevé vers Dieu et vers son trône. Aucune mention nâest faite de sa vie, ni même de sa mort et de sa résurrection; il semblerait, dâaprès ce passage, que le Seigneur est monté au ciel aussitôt après sa naissance. Tout est présenté ici à un point de vue entièrement mystique. Ce nâest en aucune manière de lâhistoire, ni anticipée, ni en fait. Si câeût été un sommaire historique, nous y aurions vu indiqués les grands événements de la vie du Seigneur, que nous avons mentionnés, et sur lesquels repose toute espérance pour lâunivers. Tout cela est entièrement passé sous silence, et à mon sens, pour nous apprendre, comme le fait aussi la prophétie de lâAncien Testament, comment le Seigneur et son peuple sont enveloppés, pour ainsi dire, dans le même symbole. De même aussi, mais dâune manière encore plus intime, ce qui est dit de Christ sâapplique-t-il au chrétien.
Dâaprès ce principe, je considère lâenlèvement du fils mâle vers Dieu et vers son trône, comme comprenant en soi lâenlèvement de lâÃglise. La raison pour laquelle cela est introduit ici, dépend de cette vérité que Christ et lâÃglise sont un, et ont une destinée commune. Puisquâil est monté au ciel, lâÃglise aussi doit y être ravie. «Ainsi aussi est le Christ», dit lâapôtre Paul, en parlant de lâÃglise, car, dans ce passage, il sâagit du corps plutôt que de la tête, et Paul ne dit pas: «Ainsi aussi est lâÃglise», mais «ainsi aussi est le Christ». Câest suivant la même ligne de pensées que Jean, dans la prophétie, nous montre le fils mâle placé au ciel dans un lieu complètement en dehors des atteintes de Satan. Sâil en est ainsi, ce fait se rapporte dâune manière remarquable à ce qui a déjà été affirmé quant à la structure du livre: il y a un nouveau commencement, en rapport avec lâobjet spécial que le Saint Esprit a en vue dans cette dernière partie.
Avant tout, Jean a montré le dessein général de Dieu quant aux Juifs. En cela lâordre est strictement gardé. Nous aurions pu penser que la voie la plus naturelle était dâétablir dâabord le fait que le fils mâle avait été enlevé; mais non: Dieu produit et décrit toujours les choses suivant la méthode la plus sage et la meilleure. Christ étant issu dâIsraël, il fallait dâabord montrer sa relation avec Israël. Le second fait est lâopposition du diable aux conseils de Dieu; lâobstacle qui est mis pour un temps à leur accomplissement, fournit au Seigneur lui-même lâoccasion de prendre sa place dans le ciel, et plus tard à lâÃglise de lây suivre. Ensuite revient sur la scène lâintention du Seigneur dâagir pour lâexécution de ses desseins quant à Israël et à la terre. En résumé donc, la première partie de ce chapitre est une représentation mystique de la relation du Seigneur avec Israël, et de sa translation en dehors de la scène, ceci étant lâeffet de lâantagonisme de Satan; mais cela donne, pour ainsi dire, occasion à Dieu, de lier à cette disparition de Christ dans le ciel, le fait que lâÃglise lây suit au temps convenable; car lâÃglise est unie à Christ. On voit ainsi que lâenlèvement du fils mâle nâest pas un simple fait historique. Lâascension de Christ est introduite ici, parce quâelle renferme comme conséquence lâenlèvement subséquent de lâÃglise, pour quâelle soit où il est, son corps formant avec lui un seul et même homme mystique devant Dieu, «la plénitude de celui qui remplit tout en tous».
Ce qui précède étant bien compris, le sujet tout entier se trouve considérablement éclairci. «Elle enfanta un fils mâle qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer». Il nây a pas la moindre difficulté à appliquer ces paroles au fils mâle, envisagé non personnellement et seul, mais mystiquement; dâautant que cette même promesse est faite à lâéglise de Thyatire, ou plutôt aux fidèles qui sây trouvent. Le Seigneur dit expressément quâà celui qui vaincra, il donnera autorité sur les nations, et quâil les paîtra avec une verge de fer, selon que lui-même lâa reçu de son Père (Apocalypse 2). Cela ne confirme-t-il pas pleinement ce que nous avons avancé? «Et la femme sâenfuit dans le désert, où elle a un lieu préparé par Dieu, afin quâon la nourrisse là mille deux cent soixante jours».
Au v. 7 sâouvre une nouvelle scène. Ce ne sont plus les conseils de Dieu ou des principes vus dans sa pensée; nous en venons à des faits positifs, dâabord dans le ciel, puis, plus tard, nous voyons les effets et les changements qui en résultent sur la terre.
«Il y eut un combat dans le ciel: Michel et ses anges combattaient contre le dragon. Et le dragon combattait, et ses anges; et il ne fut pas le plus fort, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et le grand dragon fut précipité, le serpent ancien, celui qui est appelé diable et Satan, celui qui séduit la terre habitée tout entière, â il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Et jâouïs une grande voix dans le ciel, disant: Maintenant est venu le salut et la puissance et le royaume de notre Dieu et le pouvoir de son Christ, car lâaccusateur de nos frères, qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit, a été précipité; et eux lâont vaincu à cause du sang de lâAgneau et à cause de la parole de leur témoignage; et ils lâont pas aimé leur vie, même jusquâà la mort. Câest pourquoi réjouissez-vous, cieux et vous qui y habitez». Dâaprès ces paroles, il est évident quâil se trouve, à ce moment, dans le ciel, des personnes qui y habitent et qui sympathisent profondément avec leurs frères qui souffrent sur la terre. Câest un fait incontestable; et, bientôt après, Satan perd cette faculté quâil avait eue précédemment de se présenter devant Dieu comme lâaccusateur des frères. Plus jamais il ne doit recouvrer cette haute position de puissance, et ne remplira plus le ciel de ses amers reproches et de ses accusations contre les saints de Dieu.
«Malheur», est-il ajouté, «malheur à la terre et à la mer, car le diable est descendu vers vous, étant en grande fureur, sachant quâil a peu de temps». Cela lie clairement lâexpulsion de Satan de sa place dans les lieux célestes, avec la dernière crise par laquelle doivent passer les Juifs et les gentils à la fin du siècle; et nous en donne la raison cachée. Pourquoi cet extraordinaire déchaînement de persécutions? Pourquoi cette action effrayante de Satan ici-bas, pour une courte période, durant trois ans et demi avant la fin? Câest que Satan ne peut plus accuser en haut; en conséquence, il fait ici-bas tout le mal quâil lui est possible. Il est précipité sur la terre et ne rentrera plus jamais dans les cieux. Bientôt après, il sera banni de la terre, comme nous le verrons, et renfermé dans lâabîme, et enfin, quoiquâil doive être «délié pour un peu de temps», sa ruine finale et irrémédiable arrivera, car alors il sera précipité, non dans lâabîme, mais dans lâétang de feu, dâoù nul ne revient jamais.
Voilà ce que Dieu nous révèle quant à ses voies envers celui qui, du commencement à la fin, se montre le grand ennemi des hommes.
Depuis le v. 13, lâhistoire se poursuit sur la terre: «Et quand le dragon vit quâil avait été précipité sur la terre, il persécuta la femme qui avait enfanté le fils mâle. Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin quâelle sâenvolât dans le désert, en son lieu, où elle est nourrie un temps, et des temps, et la moitié dâun temps, loin de la face du serpent». Ainsi la femme reçoit, non la puissance pour résister à Satan et combattre contre lui, mais les moyens de fuir rapidement sa violence, et de se mettre à lâabri de sa persécution. Câest ce qui est figuré par les deux ailes du grand aigle, dont le vol énergique présente une image vivante dâune fuite procurée par des instruments puissants.
Nous voyons alors lâennemi, dont Dieu a déjoué les desseins, faire dâautres efforts. «Et le serpent lança de sa bouche de lâeau, comme un fleuve, après la femme, afin de la faire emporter par le fleuve». Il tente de soulever celles des nations qui sont dans un état de désorganisation, pour accabler les Juifs, mais câest en vain; «la terre», ce qui, à cette époque, se trouve sous un gouvernement stable, «vint en aide à la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche. Et le dragon fut irrité contre la femme, et sâen alla faire la guerre contre le résidu de la semence de la femme, ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus». Par ces derniers, il faut entendre ceux des Juifs qui seront remarquables par la puissance de leur témoignage. La femme représente ce peuple sous lâidée la plus générale. Le résidu de la semence est la portion qui rend témoignage. Tous les Juifs de cette époque, comprenons-le bien, nâauront pas la même puissance spirituelle: il y aura des différences. Quelques-uns seront plus énergiques et plus intelligents que les autres. Satan les haïra dâautant plus, et sâefforcera de détruire ceux qui maintiendront plus particulièrement le témoignage de Jésus.