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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique intermédiaire Commentaire biblique intermédiaire
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Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Hosea 2". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/commentaries/fre/cbi/hosea-2.html.
bibliography-text="Commentaire sur Hosea 2". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-23
Dieu rejette Israël et lâintroduit par la repentance dans les bénédictions millénaires.
Le premier verset de ce chapitre: «Dites à vos frères: Ammi! et à vos sÅurs: Rukhama!» semble se rapporter à lâespérance donnée à Israël, à la fin du premier chapitre. Câest comme si le prophète disait: Dans le jour actuel il est possible de réaliser le caractère dâun Résidu. Mais il y aura, en un temps futur, non encore déterminé, des fidèles qui se reconnaîtront, les uns les autres, comme étant le peuple de Dieu et comme ayant obtenu miséricorde. Seulement ces fidèles, unis dans lâheureuse pensée dâappartenir à lâÃternel et dâêtre en faveur auprès de Lui, «plaideront contre leur mère» (v. 2), la femme prostituée, Israël apostat, «qui nâest pas la femme de lâÃternel et dont il nâest pas le mari». Eux sont issus de Dieu, puisque lâEsprit de prophétie (le prophète) les a engendrés, mais, obligés de reconnaître quâIsraël idolâtre est leur mère, ils entrent en procès avec elle pour revendiquer leur droit à la sainteté de Dieu. Une dernière fois ce pauvre peuple est sommé par ses enfants eux-mêmes qui appartiennent à lâÃternel, de revenir de sa mauvaise voie, sinon Dieu le mettra à nu, lui ôtera tous les privilèges quâil lui avait accordés et le laissera dans lâhorreur de sa prostitution, objet dâun jugement sans rémission (v. 3). Ses enfants même, en tant quâils ne prennent pas le caractère du Résidu, seront Lo-Rukhama (je ne ferai pas miséricorde), car ils sont le fruit de sa prostitution. Ainsi il y aura, comme descendant dâIsraël, des enfants nés de la prostitution et des enfants nés de Dieu, ceux dont il est dit: «Sortez du milieu dâelle, soyez purs, vous qui portez les vases de lâÃternel», et «vous me serez pour fils et pour filles, dit le Seigneur, le Tout-Puissant» (Ãsaïe 52:11; 2 Cor. 6:18).
Cet abandon de Dieu est, chez Israël, le fruit dâune volonté sans frein qui pousse le cÅur vers ses convoitises et le met en opposition avec Dieu: «Jâirai après mes amants qui mâont donné mon pain et mon eau, ma laine et mon lin, mon huile et ma boisson» (v. 5), comme si ces choses appartenaient au peuple infidèle, par la libéralité du monde dont il voulait les recevoir! â «Jâirai!» Combien cette propre volonté diffère de la volonté de Rebecca, interrogée par ses parents, et qui leur répond aussi: Jâirai. Quâimportent la fatigue, les privations, le désert sans pain, sans eau, sans huile et sans vin. Jâirai! Aucun avantage pour compenser ceux de la maison paternelle, rien qui réponde aux habitudes ou aux aspirations de son cÅur; dans ce désert tout est contre elle, et cependant elle dit: Jâirai! Câest quâelle a devant elle un personnage en qui elle a mis sa confiance, en qui elle croit, quoiquâelle ne le voie pas, et quâelle aime sans le voir: Isaac. Pour lâatteindre, sous la conduite du Saint Esprit qui ne lâabandonnera pas dans le désert, elle consent à laisser les affections les plus chères, le toit familial, à endurer toutes les privations. Elle veut arriver à lui, comme une vierge pure et chaste, digne objet de son affection. Remarquez cependant que ce nâest pas Rebecca qui choisit Isaac comme époux. Câest lui qui lâa choisie et qui, avant quâelle se voue tout entière à lui, lui a donné les arrhes de son propre amour. Tel est le premier amour, lâamour de lâÃpoux sâemparant du cÅur de lâÃpouse pour lâattirer au devant de lui. Israël avait trouvé cet amour au début de sa carrière, quand, racheté dâÃgypte, il marchait dans le désert après lâÃternel (Jér. 2:1-3). Il lâa perdu pour «aller après ses amants» (v. 5). Il ne le retrouvera plus tard que sur le chemin de la repentance (v. 14-17).
Combien Israël, la prostituée, diffère de Rebecca! Israël dit: «Jâirai après mes amants», lâAssyrie et lâÃgypte. Elle se donne à eux pour les avantages terrestres quâelle pense retirer de ce commerce. Elle ne voit pas que, même ces avantages temporels lui viennent de Dieu: «Elle ne sait pas que câest moi qui lui ai donné le blé, et le moût, et lâhuile». Et, chose pire encore, des richesses que Dieu lui donne elle se fait des idoles: «Je lui ai multiplié aussi lâargent et lâor: â ils lâont employé pour Baal» (v. 8). Mais le Créateur lui retirera ses dons, et elle verra sâils venaient de ses amants: «Câest pourquoi je reprendrai mon blé en son temps, et mon moût en sa saison; et jâôterai ma laine et mon lin qui devaient couvrir sa nudité». Dieu lui enlève les biens de la terre (v. 9); elle est humiliée aux yeux des nations (v. 10). Les fêtes solennelles, tous les dehors de son culte, lui sont ôtées (v. 11); les signes de la faveur de lâÃternel, la joie et lâabondance terrestres, lui sont retirés; elle devient la proie de ses ennemis (v. 12). Dieu se vengera de son idolâtrie, car «elle mâa oublié, dit lâÃternel!» (v. 13).
Ce tableau de lâétat dâIsraël est aussi celui de lâétat actuel de la profession chrétienne. On recherche le monde et ses avantages, ses richesses et sa prospérité, les douceurs de lâexistence quâil nous procure, sans sâenquérir du Dieu auquel ces choses appartiennent, et on les fait servir à la satisfaction de ses convoitises, au lieu de tout abandonner pour suivre Jésus.
Parfois, lââme désabusée, voyant que «ses amants» ne lui offrent plus ce quâelle désire, et après avoir poursuivi en vain les choses par lesquelles Satan lâa leurrée, sâécrie: «Jâirai et je mâen retournerai à mon premier mari; car alors jâétais mieux que maintenant» (v. 7). Ne nous y trompons pas, ce nâest pas la description de ce qui se passe dans le cÅur du fils prodigue: «Je me lèverai et mâen irai vers mon père». Heureux ceux qui, sous le poids de leurs désillusions et de leur misère, ont enfin senti quâil nây avait pour eux de ressource que dans les bras du Père quâils avaient déshonoré, et qui retournent à lui, repentants, et lui disant: «Jâai péché contre le ciel et devant Toi!» â Mais ici nous ne trouvons aucune repentance. La lassitude, le découragement, la nausée du péché, peuvent pousser les âmes vers la religion, et leur faire désirer un changement, mais il ne peut être obtenu que sur le chemin de la repentance.
Ici, lâhorreur des idoles ne remplit pas encore le cÅur dâIsraël. Il ne se doute pas quel personnage effroyable se cache derrière les Baals. En apparence une idole nâest rien; les hommes cherchent à se persuader quâil est bien indifférent de se livrer à ses convoitises, pourvu quâelles nâappartiennent pas au groupe des choses dégradantes, mais se doutent-ils que les démons sont cachés derrière chacun des objets de leurs désirs? (1 Cor. 10:20).
Nous lâavons dit: les paroles dâIsraël, au v. 7, ne sont pas réellement la repentance. Le dégoût, le vide que laissent les convoitises, jamais satisfaites par la possession des choses désirées, lâespoir de trouver mieux que cela en se tournant vers Dieu, la résolution dâen finir, ne sont pas encore le vrai «Jâirai» du fils prodigue. Il faut, comme lui, se lever et sâen aller vers son père. Israël ne le fait pas ici; il dit simplement: «Jâétais mieux que maintenant». La pensée dâavoir péché contre lâÃternel ne monte pas dans son cÅur, et, de fait, ce qui nous convertit, câest la conviction dâavoir offensé lâamour de Dieu au moment même où il avait tout fait pour nous. Mais il arrive un moment où Dieu ôte tout, même les formes religieuses (v. 11) quâIsraël accordait avec le culte des démons et lâimpureté. Il en sera de même de la chrétienté, ces formes y subsistent encore aujourdâhui, mais seront bientôt englouties dans lâapostasie générale et, dès lors, le Dieu auquel on a si légèrement tourné le dos sera introuvable!
Cependant, au milieu de toutes ces ruines, Dieu a des vues de grâce envers Israël et nous les trouvons dans les v. 14 à 17. «Câest pourquoi, voici, moi, je lâattirerai, et je la mènerai au désert, et je lui parlerai au cÅur; et de là je lui donnerai ses vignes, et la vallée dâAcor pour une porte dâespérance; et là elle chantera comme dans les jours de sa jeunesse et comme au jour où elle monta du pays dâÃgypte. Et il arrivera, en ce jour-là , dit lâÃternel, que tu mâappelleras: Mon mari, et tu ne mâappelleras plus: Mon maître (mon Baal). Et jâôterai de sa bouche les noms des Baals, et on ne se souviendra plus de leur nom». â Ce sera comme un renouveau, un recommencement de lâhistoire dâIsraël (câest-à -dire des dix tribus qui sont spécialement en vue dans ce passage). Dâabord Dieu lui-même lâattirera après Lui dans le désert pour le bénir. Le peuple retrouvera ce quâil avait eu autrefois quand la fraîcheur du premier amour lâattirait, à sa sortie dâÃgypte, après son Ãpoux dans une terre inhabitée (Jér. 2:1-3). Hélas! ce premier amour avait été abandonné pour la recherche des idoles, des Baals dont Israël avait fait ses maîtres. Nây avait-il donc plus aucun espoir de le retrouver? Aucun pour lâensemble du peuple, pas plus que pour lâensemble de lâÃglise professante de nos jours. Mais un Résidu pourra retrouver ce premier amour, cette bienheureuse communion avec le Mari dâIsraël. «Israël fût-il comme le sable de la mer, un résidu seulement reviendra». Ce Résidu sera éprouvé, jugé, purifié dans le désert, pour retrouver le chemin de la bénédiction et rentrer en possession de son pays (Ãsaïe 11:11-16; 27:12, 13; Ãz. 20:10-38; Zach. 10:7-12; Soph. 3:10). Dans cette épreuve un grand nombre de ceux qui sâétaient mis en route avec le Résidu sera jugé et ne verra jamais le pays de la promesse; ce sera la répétition de lâhistoire du peuple de jadis, dont les corps tombèrent dans le désert. Mais, de même quâautrefois, un Résidu sera sauvé; «lâÃternel parlera à son cÅur». Ãphraïm retrouvera ses vignes (v. 15), mais non plus comme au temps passé où il cherchait sa joie dans lâivresse; â et combien de fois lâivrognerie dâÃphraïm nâest-elle pas mentionnée par les prophètes? (Ãsaïe 28:1-4, etc.) â il retrouvera sa joie dans la communion avec son Dieu. «Je lui donnerai ses vignes», dit lâÃternel; cette restauration sera due entièrement à la grâce; le Seigneur se servira des souffrances du désert pour produire ce résultat. Mais, comme toute restauration, elle ne pourra avoir lieu sans un travail de repentance. Le premier amour perdu ne peut être retrouvé que par ce chemin-là . Il en a été, il en est, il en sera toujours ainsi pour toute conversion véritable; aussi trouvons-nous ici: «Je lui donnerai la vallée dâAcor pour une porte dâespérance». La vallée dâAcor (Josué 7:19-26), câest-à -dire la vallée du trouble, le jugement du mal, était le lieu où Acan qui avait amené, par lâinterdit, le trouble sur Israël, avait été lapidé, puis brûlé, lui, ses fils et ses filles, tout son bétail, ainsi que lâinterdit quâil sâétait approprié, afin de détourner dâIsraël lâardeur de la colère de lâÃternel. Cette vallée du trouble, dont la solennité atteint la conscience dâÃphraïm quand il assiste, pendant le voyage, au jugement terrible de lâÃternel sur le peuple dont il fait partie, devient pour le Résidu une porte dâespérance et ouvre lâissue à la délivrance finale. Alors, et seulement alors, lâheure dâune seconde jeunesse aura sonné pour les dix tribus. «Elle (lâÃpouse) chantera comme dans les jours de sa jeunesse et comme au jour où elle monta du pays dâÃgypte». Le Résidu dâIsraël comprendra de nouveau la douceur des liens dâamour qui lâunissent à lâÃternel, la douceur de pouvoir lâappeler: «Mon Mari», et de ne plus lâappeler «Mon Maître», nom que les dix tribus donnaient aux Baals, car Maître et Baal sont le même mot. Elles sâétaient livrées à Baal, au démon caché derrière lâidole, maintenant elles ont oublié jusquâà son nom (v. 17). Quelle grâce! Comme lâÃternel, en ce jour-là , ne se souviendra plus des iniquités dâIsraël, Israël ne se souviendra plus du nom de ses faux dieux! Le passé, lâesclavage de Satan, aura disparu pour faire place au renouvellement des heureuses relations avec Dieu, si longtemps méconnu, si longtemps méprisé. Cet avenir dâÃphraïm est pour nous, chrétiens, le présent. Dieu nous dit lui-même quâIl ne se souviendra plus jamais de nos péchés, ni de nos iniquités, et, en vertu du sang de Christ versé pour nous, nous pouvons nous présenter devant Lui, sans aucune conscience de péché. Ces heureuses certitudes attachent nos cÅurs à Celui auquel nous devons nos bénédictions. Le connaître, Lui, devient la source de toutes nos joies et de toute notre activité. Câest le premier amour. Lâavons-nous perdu? Retrouvons-le promptement par une libre repentance, sinon Dieu, pour nous le faire retrouver, produira dans nos cÅurs cette repentance sur le chemin de ses jugements!
Câest seulement après le travail de repentance que sâouvre devant Israël la scène merveilleuse des bénédictions du règne millénaire (v. 18-23). «En ce jour-là » (v. 18), lâÃternel apaisera tous les instruments de ses jugements contre son peuple: les bêtes sauvages, les oiseaux de proie, les serpents venimeux; il «ôtera, en les brisant, lâarc et lâépée, et la guerre», tous les ennemis divers que Dieu avait si souvent suscités pour châtier cette nation. Israël «reposera en sécurité». Ce peuple qui avait fermé lâoreille à son Messie quand il venait lui dire: «Je vous donnerai du repos», trouvera enfin le repos par la repentance, et à travers la tribulation.
«Et je te fiancerai à moi pour toujours; et je te fiancerai à moi en justice, et en jugement, et en bonté, et en miséricorde; et je te fiancerai à moi en vérité; et tu connaîtras lâÃternel» (v. 19, 20). Israël connaît désormais lâÃternel, car ses fiançailles dépendent entièrement de Sa grâce. La justice est désormais inséparable de la miséricorde. Le peuple entre en relation avec Dieu sur le pied dâune justice basée sur le jugement, et dâune miséricorde fondée sur lâamour. Câest ce que nous, chrétiens, nous avons trouvé à la croix de Christ; ce sera la part dâIsraël en un jour futur; ce sera le fondement du règne glorieux de Christ sur la terre: «La justice et le jugement sont les bases de ton trône; la bonté et la vérité marchent devant ta face» (Ps. 89:15).
«Et je te fiancerai à moi en vérité» (v. 20). La repentance dâIsraël lâamènera à des rapports avec Dieu, non seulement en justice et en grâce, mais aussi en vérité, câest-à -dire selon le caractère quâil donnera à son peuple pour quâil puisse entrer en relation avec Lui. Ce caractère dépend entièrement de la grâce, car câest dâelle seule que provient ce que nous sommes devant Dieu, et ce quâIsraël sera devant Lui. Et câest alors quâIsraël pourra dire: Je connais lâÃternel! (v. 20).
«Et il arrivera, en ce jour-là , que jâexaucerai, dit lâÃternel, jâexaucerai les cieux, et eux exauceront la terre, et la terre exaucera le froment et le moût et lâhuile, et eux exauceront Jizreël (Dieu sème). Et je la sèmerai pour moi dans le pays, et je ferai miséricorde à Lo-Rukhama, et je dirai à Lo-Ammi: Tu es mon peuple, et il me dira: Mon Dieu» (v. 21-23). Nous trouvons ici la plénitude des bénédictions de la terre millénaire. Remarquons dans tout ce passage, depuis le v. 18, trois choses: 1° Le mal, instrument extérieur du jugement, est supprimé; car, nous lâapprenons autre part, Satan qui le met en Åuvre est lié pour mille ans (Apoc. 20:1-3). 2° Le mal dans le cÅur du peuple est ôté, et remplacé par un cÅur nouveau et par la connaissance de Dieu. Câest la nouvelle alliance dont nous parle Jérémie, fondée entièrement sur la grâce (Jér. 31:31-34; Héb. 8:10-13). 3° La création, soumise autrefois à la «servitude de la corruption», est affranchie pour jouir de la liberté de la gloire des saints (Rom. 8:19-22).
Il y aura accord entre le ciel et la terre dans les semailles et dans les moissons. Jizreël ne sera plus le lieu du meurtre et du carnage, mais correspondra à son nom: «Dieu sème». Oui, Dieu sèmera dans ce qui était autrefois le lieu de la violence de lâhomme et des jugements de Dieu, et la semence tombant dans une terre préparée par Lui, portera du fruit au centuple. La bénédiction du froment, du moût et de lâhuile, quâIsraël avait dâabord cherchée auprès des nations (v. 5), puis que Dieu lui avait ôtée (v. 8, 9), il la retrouvera sous le règne du Médiateur, du vrai Melchisédec, qui bénira le peuple de la part de Dieu et Dieu de la part du peuple. Alors Israël sera revenu par la foi aux bénédictions dâAbraham; il sera semé par Dieu et pour Dieu dans son pays. Lo-Ammi deviendra: Mon peuple; Lo-Rukhama deviendra: Objet de miséricorde. Et Israël dira: Mon Dieu! Il y aura confiance réciproque, amour réciproque, joie débordant dans la communion avec Dieu. Toutes ces choses seront la part dâIsraël repentant et restauré. Elles appartiennent aujourdâhui aux chrétiens, en vertu de relations avec le Fils et avec le Père, bien plus intimes et plus précieuses que celles dâIsraël avec son Dieu (1 Pierre 2:10).