Lectionary Calendar
Tuesday, November 5th, 2024
the Week of Proper 26 / Ordinary 31
the Week of Proper 26 / Ordinary 31
advertisement
advertisement
advertisement
Attention!
StudyLight.org has pledged to help build churches in Uganda. Help us with that pledge and support pastors in the heart of Africa.
Click here to join the effort!
Click here to join the effort!
Bible Commentaries
Commentaire biblique avancé Commentaire biblique avancé
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public.
Ces fichiers sont dans le domaine public.
Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Deuteronomy 25". "Commentaire biblique avancé". https://www.studylight.org/commentaries/fre/cba/deuteronomy-25.html.
bibliography-text="Commentaire sur Deuteronomy 25". "Commentaire biblique avancé". https://www.studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-19
Ch. 25 v. 1-16 — Suite des ordonnances pour la vie du peuple
Le chap. 25 ajoute des ordonnances qui font suite à ce que nous avons déjà lu. [25:3] Les membres du peuple doivent prendre garde qu’aucun de leurs frères ne soit rendu méprisable à leurs yeux, [25:6] qu’aucune famille ne périsse du milieu de son peuple, [25:11-16] et que la pureté et la droiture soient maintenues.
Ch. 25 v. 17-19 — Pas de paix avec Amalek, ennemi de Dieu
[25:19] Quant aux ennemis invétérés de Dieu et de son peuple, Israël ne devait jamais chercher la paix avec eux. L’amabilité humaine est souvent inimitié contre Dieu [(Jac. 4:4)]. Cette ordonnance est d’autant plus remarquable (v. 17-19), qu’elle vient à la suite de tant d’autres qui veillaient à ce qu’on eût des égards même pour un oiseau [(22:6-7)]. L’Éternel avait pris soin qu’un Égyptien pût trouver entrée dans l’assemblée de Dieu (chap. 23:7-8); mais ces affections devaient être en exercice envers les Égyptiens pour le bien de l’âme des Israélites eux-mêmes. [23:7] Ils ne devaient pas s’endurcir contre ceux au milieu desquels ils avaient séjourné. [25:19] Mais épargner les Amalékites, [25:18] qui étaient venus à la rencontre des fils d’Israël pour leur barrer le chemin, et détruire les faibles d’entre eux, c’était oublier ce qui était dû à Dieu qui ramenait son peuple. Quant au peuple, les épargner aurait été l’indifférence du cœur au mal, et non l’épanchement d’une affection naturelle; ce n’était pas non plus céder à des souvenirs dont la charité pouvait user pour le bien, en poussant à l’oubli des maux subis autrefois. Quand il y a quelque noblesse de sentiments, des hommes qui se connaissent, tout en s’étant fait du mal, tiendront à renouer leurs relations lorsque le mal est passé. Mais il y a un esprit qui ne soulève que le dégoût : le tolérer n’est que s’épargner soi-même et admettre ce même esprit dans son cœur, en sorte qu’on y participe. Il n’est pas ici question de juger, mais il s’agit de l’état de notre propre cœur. L’éloignement de Dieu d’un Égyptien était reconnu; [23:8] mais s’il avait été en relation avec Lui pendant trois générations, pourquoi serait-il tenu à distance, pourquoi resterait-il un étranger ? Amalek, lui, ne craignait pas Dieu, ne le reconnaissait pas. Que pouvait-on donc reconnaître dans un pareil peuple ? Il nous faut introduire Dieu dans nos affaires, dans nos relations : la charité, la fermeté, la justesse dans nos jugements, se trouveront toutes à leur place et se reproduiront dans toutes nos voies.