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Sunday, December 22nd, 2024
the Fourth Week of Advent
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Bible Commentaries
Commentaire biblique avancé Commentaire biblique avancé
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Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Deuteronomy 25". "Commentaire biblique avancé". https://www.studylight.org/commentaries/fre/cba/deuteronomy-25.html.
bibliography-text="Commentaire sur Deuteronomy 25". "Commentaire biblique avancé". https://www.studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-19
Ch. 25 v. 1-16 — Suite des ordonnances pour la vie du peuple
Le chap. 25 ajoute des ordonnances qui font suite à ce que nous avons déjà lu. [25:3] Les membres du peuple doivent prendre garde qu’aucun de leurs frères ne soit rendu méprisable à leurs yeux, [25:6] qu’aucune famille ne périsse du milieu de son peuple, [25:11-16] et que la pureté et la droiture soient maintenues.
Ch. 25 v. 17-19 — Pas de paix avec Amalek, ennemi de Dieu
[25:19] Quant aux ennemis invétérés de Dieu et de son peuple, Israël ne devait jamais chercher la paix avec eux. L’amabilité humaine est souvent inimitié contre Dieu [(Jac. 4:4)]. Cette ordonnance est d’autant plus remarquable (v. 17-19), qu’elle vient à la suite de tant d’autres qui veillaient à ce qu’on eût des égards même pour un oiseau [(22:6-7)]. L’Éternel avait pris soin qu’un Égyptien pût trouver entrée dans l’assemblée de Dieu (chap. 23:7-8); mais ces affections devaient être en exercice envers les Égyptiens pour le bien de l’âme des Israélites eux-mêmes. [23:7] Ils ne devaient pas s’endurcir contre ceux au milieu desquels ils avaient séjourné. [25:19] Mais épargner les Amalékites, [25:18] qui étaient venus à la rencontre des fils d’Israël pour leur barrer le chemin, et détruire les faibles d’entre eux, c’était oublier ce qui était dû à Dieu qui ramenait son peuple. Quant au peuple, les épargner aurait été l’indifférence du cœur au mal, et non l’épanchement d’une affection naturelle; ce n’était pas non plus céder à des souvenirs dont la charité pouvait user pour le bien, en poussant à l’oubli des maux subis autrefois. Quand il y a quelque noblesse de sentiments, des hommes qui se connaissent, tout en s’étant fait du mal, tiendront à renouer leurs relations lorsque le mal est passé. Mais il y a un esprit qui ne soulève que le dégoût : le tolérer n’est que s’épargner soi-même et admettre ce même esprit dans son cœur, en sorte qu’on y participe. Il n’est pas ici question de juger, mais il s’agit de l’état de notre propre cœur. L’éloignement de Dieu d’un Égyptien était reconnu; [23:8] mais s’il avait été en relation avec Lui pendant trois générations, pourquoi serait-il tenu à distance, pourquoi resterait-il un étranger ? Amalek, lui, ne craignait pas Dieu, ne le reconnaissait pas. Que pouvait-on donc reconnaître dans un pareil peuple ? Il nous faut introduire Dieu dans nos affaires, dans nos relations : la charité, la fermeté, la justesse dans nos jugements, se trouveront toutes à leur place et se reproduiront dans toutes nos voies.