Lectionary Calendar
Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
video advertismenet
advertisement
advertisement
advertisement
Attention!
StudyLight.org has pledged to help build churches in Uganda. Help us with that pledge and support pastors in the heart of Africa.
Click here to join the effort!
Click here to join the effort!
Whole Bible (6)
versets 1-47
Introduction
Et à Aaron : aux deux frères en même temps et non plus à lâun par lâautre, car Aaron est maintenant souverain sacrificateur. Il sâagit ici de lois que les sacrificateurs auront charge dâenseigner (Lévitique 10:10-12) et de cas sur lesquels ils seront appelés à statuer. En vertu de ces ordonnances, ils pourront même être suspendus de leurs fonctions et déclarés impurs; le ministère dâAaron en personne sera nécessaire pour faire propitiation en faveur de certaines des souillures qui seront mentionnées.
2 à 8 Les mammifères
Animaux, littéralement : grands quadrupèdes.
Littéralement : Tous ceux dâentre les grands quadrupèdes dont le sabot est partagé et présente une fissure et qui font remonter la trituration.
De ces trois caractères les deux premiers ne paraissent pas différer; le second sert uniquement à préciser le premier : le sabot partagé par une fissure complète, allant jusquâà la base. Câest par cette raison que dans ce qui suit ces caractères sont ramenés à deux : voir en particulier le verset 4. Ces deux traits ne sont pas de simples signes au moyen desquels le législateur veut quâon reconnaisse les quadrupèdes dont il est permis ou interdit de manger; ils ont tous deux une signification et une valeur intrinsèque. Pour le premier (le mode de locomotion), voir note verset 4. Quant au second (le mode de digestion), il est permis de penser que les ruminants, qui ne se nourrissent pas de la chair dâautres animaux et qui sâassimilent, par une trituration plus complète, la nourriture végétale, appartiennent à un domaine de vie plus élevé que les non ruminants.
Les animaux qui réunissent les deux caractères mentionnés et qui ne sont pas nommés ici, sont, dâaprès Deutéronome 14:4, au nombre de dix : le bÅuf, la brebis, la chèvre, le cerf et la gazelle; le daim, le bouquetin, lâantilope, le bÅuf sauvage et la chèvre sauvage (Pour la détermination de ces cinq dernières espèces, voir Deutéronome 14:5).
4 Ã 7
Le texte interdit de manger de quatre espèces de quadrupèdes, qui ne présentent que lâun des deux caractères voulus :
qui ruminent, mais nâont pas lâongle divisé,
et verset 7 le porc, qui a lâongle divisé, mais ne rumine pas.
Le chameau a bien deux ongles, mais il marche sur un gros bourrelet élastique et charnu que ses deux ongles ne font que recouvrir. Les Arabes mangent le chameau, mais les Hindous et les Sabéens en regardent la chair comme impure.
La gerboise, hyrax syriacus, en hébreu schaphan (non pas, comme plusieurs ont traduit, le lapin, qui ne se trouve pas en Palestine), est un rongeur à pattes de devant très courtes, à longs poils gris ou bruns sur le dos, blancs sous le ventre, qui tient du lapin et de la marmotte et qui est à peu près de la taille dâun chat domestique. Incapable de creuser le sol, la gerboise habite dans les anfractuosités des rochers (Psaumes 104:18; Proverbes 30:26); elle se nourrit de racines et de verdure. Les Arabes en mangent, mais nâen servent pas à leurs hôtes.
Le lièvre est aux yeux des Parses le plus impur des animaux; les Arméniens et les Syriens ne le mangent pas non plus. Ni la gerboise, ni le lièvre nâa les quatre estomacs qui constituent les ruminants; mais ils ont un mouvement particulier de la bouche qui a longtemps fait croire quâils ruminaient. Moïse se conforme à la manière de voir et de parler de son temps.
Un grand nombre de peuples de lâantiquité, Ãgyptiens, Arabes, Phéniciens, Syriens, habitants du Pont, regardaient le porc comme un animal impur, parce quâil se complaît dans la fange, quâil se repaît des plus dégoûtantes ordures et que sa chair favorise les maladies de la peau. Encore aujourdâhui, les chrétiens coptes et druses sâabstiennent de la viande de porc, et Mahomet lâa interdite à ses sectateurs.
Il ne faut ni égorger ces animaux et en manger la chair, ni en toucher les cadavres au cas où ils seraient morts de mort naturelle.
9 Ã 12 Les animaux aquatiques
La règle est simple; elle repose sur un sentiment instinctif : Ils vous sont abominables; abomination ils vous doivent rester. La loi ne fait que de confirmer lâimpression naturelle. Tout poisson dâeau douce ou dâeau salée pouvait être mangé sâil avait nageoires et écailles. Les nageoires seules ne sont pas une marque suffisante; ainsi lâanguille a des nageoires; mais comme elle nâa pas dâécailles, elle est exclue; ainsi encore le silure, autre poisson sans écailles, qui se trouve aussi dans la mer de Galilée. Il y a peut-être dans Matthieu 13:48 une allusion à ce triage à opérer entre les poissons. Par là même aussi se trouvent exclus coquillages, mollusques, crustacés, cétacés, qui nâont pas de nageoires ni dâécailles.
Les Ãgyptiens modernes regardent comme malsain tout poisson sans écailles, et les Romains nâen offraient jamais en sacrifice.
13 Ã 19 Les oiseaux
Ici pas de règle ni de caractères généraux, mais une simple énumération des espèces immondes; car ce sont les moins nombreuses. Il y en a dix-neuf; ce sont tous des oiseaux carnassiers, dont plusieurs se nourrissent de corps morts et dâimmondices.
Lâaigle, le roi des animaux, ouvre la liste. Quoi quâen disent Aristote et Pline, lâaigle dévore les corps morts encore frais (Job 39:33; Proverbes 30:17; Matthieu 24:28). Il y a en Orient des peuplades à qui la chair de lâaigle nâinspire aucune répugnance. Les Abyssins la regardent même comme une friandise.
Lâorfraie, littéralement : celui qui brise (probablement les os); à moitié aigle, à moitié vautour, cet oiseau est bien placé dans cette liste. Il mérite son nom, car il a lâhabitude dâemporter dans les airs les os dâanimaux que dâautres oiseaux de proie ont dépouillés de leur chair et de les laisser retomber sur des rochers où ils se brisent. Il peut alors en dévorer la moelle dont il est très friand.
Le vautour très commun en Palestine; son nom oznija, signifie, sâil vient dâune racine hébraïque, le fort, le vainqueur (en latin : valeria, nom donné par Pline à une espèce dâaigle) et, sâil vient dâune racine arabe, le barbu, ce qui ferait penser au lÅmmergeier, qui a une touffe de poils à la partie inférieure du bec.
Le milan, littéralement : qui fond les ailes étendues, qui plane. Il y en a en foule en Syrie; ils se nourrissaient de cadavres, même en décomposition. Ils satisferont leur voracité à la ruine dâÃdom (Ãsaïe 34:15, en hébreu).
Toute espèce de faucons, proprement : le faucon selon son espèce; câest-à -dire : selon ses diverses espèces. Cette expression montre quâil sâagit dâun genre nombreux; et, en effet, le faucon est représenté en Syrie par de nombreuses variétés. Sa chair y est estimée comme très haute en goût.
Toute espèce de corbeaux, comprenant corneilles, choucas, geais, etc., tous très nombreux en Syrie. Ils sâattaquent aux morts (Proverbes 30:17).
Lâautruche : connue pour sa voracité, qui lui fait avaler même des pierres et des morceaux de métal; câest un animal hybride, à la fois marchant et volant.
Le chat-huant, ou le hibou, selon les anciennes versions. Cependant lâétymologie du mot, qui signifie : le violent, ne fait guère songer à cet oiseau. On a pensé à lâautruche mâle, que les Arabes appellent lâinique, mais pourquoi cette distinction des sexes, qui serait unique ? Ou au coucou, à cause de la violence avec laquelle il sâempare de nids étrangers, mais il est bien petit; ou enfin à lâhirondelle, mais elle porte un autre nom. Reconnaissons notre ignorance sur ce point.
La mouette : elle abonde sur les côtes de Syrie et se nourrit, à lâoccasion, de corps morts.
Toute espèce dâéperviers. Les éperviers abondent dans toute lâAsie antérieure; ils sont très belliqueux, attaquant même leurs semblables et leurs propres petits.
Le hibou : câest un oiseau nocturne et solitaire (Psaumes 102:7). Cet animal et les autres de cette sorte étaient particulièrement odieux aux Israélites.
Le plongeon, ou peut-être le cormoran; littéralement : le trait. Il se lance du haut des falaises sur sa proie et pénètre comme un trait dans les eaux.
Lâibis (LXX et Vulgate) : lâoiseau sacré des Ãgyptiens, qui, bien quâinconnu en Palestine, doit avoir été familier aux Israélites, à cause de leur séjour en Ãgypte et de leurs relations avec ce pays. Dâautres voient plutôt un grand hibou, habitant des ruines (Ãsaïe 34:11), célèbre pour ses cris sinistres, dâoù son nom qui signifie : souffleur.
La chouette. Nous avons ici le même mot quâau verset 30, où il semble désigner le caméléon. Lâétymologie indique un animal qui se gonfle, ce qui conviendrait à une chouette fréquente en Ãgypte, qui fait un bruit pareil au ronflement de lâhomme et tantôt étend les ailes et se dilate, tantôt se ramasse et se pelotonne sur elle-même.
Le pélican, littéralement : celui qui crache ou dégorge, parce quâil donne à ses petits les poissons quâil a pris et qui ont séjourné dans la poche de son bec.
Le gypaète : vautour très ordinaire en Orient, très repoussant, mangeant les corps morts, ayant une odeur infecte, tête chauve, tout blanc, sauf les grandes plumes des ailes qui sont noires. Il porte cependant un beau nom : le miséricordieux, à cause des soins quâil prodigue à ses petits et qui faisaient de lui chez les Ãgyptiens le type de lâamour maternel. Dâautres pensent que son nom lui vient de ce quâil nâattaque jamais les animaux vivants.
La cigogne, littéralement : la pieuse, en latin : lâoiseau pieux, à cause de son attachement pour ses petits.
Toute espèce de hérons. Les deux espèces précédentes sont nommées dâaprès leurs bonnes qualités; celle-ci lâest, dâaprès son caractère irritable. Le nom de anapha signifie : la colère, ce qui répond au nom latin de cet oiseau (ardea).
La huppe : oiseau sale qui fait entrer les excréments humains dans la construction de son nid.
La chauve-souris. Comme les Arabes, Moïse met cet animal volant au nombre des oiseaux, quoiquâil appartienne à une autre classe. Malgré son odeur repoussante, la chauve-souris était mangée par divers peuples de lâantiquité; voilà ce qui explique cette défense expresse.
20 à 23 Insectes ailés marchant sur quatre pattes
Toute bête ailée marchantâ¦; littéralement : Tout fourmillement dâailes marchant à quatre, câest-à -dire ayant plus de deux pattes. Câest une quatrième catégorie dâanimaux qui tient le milieu entre lâoiseau et lâinsecte proprement dit (insectes terrestres). Ces insectes hybrides sont tous déclarés impurs, excepté ceux qui, en dessus de leurs quatre pieds, ont deux jambes avec lesquelles ils peuvent sauter. Le seul qui réunisse ces caractères est la sauterelle. Il semble donc que Moïse, au lieu dâindiquer tout au long ces divers caractères, aurait pu dire simplement que les sauterelles pouvaient être mangées. Mais ce qui lâempêche de sâexprimer ainsi, câest quâelles ne pouvaient pas toutes lâêtre : quatre espèces de sauterelles seulement étaient pures (verset 22). La plupart des peuples de lâOrient mangent certaines espèces de sauterelles, mais ne touchent pas à certaines autres.
Le plus souvent on commence par sécher les sauterelles qui peuvent servir dâaliment, puis on les triture, on les frit dans du beurre, ou on les mêle avec de la farine pour en faire des gâteaux.
Sauterelles. Lâarbé (mot qui signifie innombrable) est la sauterelle ordinaire, connue par ses invasions, la sauterelle voyageuse. Le solam (dévorant) est une espèce plus petite, dont le nom ne se retrouve pas dans lâAncien Testament, non plus que celui du hargol (qui galoppe). Le hargol nâa pas dâailes; câest une des plus grosses espèces de sauterelles qui existe. Le hagab (qui saute) nâa pas dâailes non plus, mais se glisse à travers lâherbe en sautant, ce qui est conforme à Nombres 13:34 et Ãsaïe 40:22, où des hommes ordinaires, à côté des géants ou du Dieu des cieux, sont comparés au hagab.
Sur quatre pattes : sans appareil saltatoire.
24 Ã 28
Souillures provenant du contact avec les cadavres de certains animaux. Le simple toucher (versets 24 et 27) rend souillé jusquâau soir et oblige seulement à un bain, qui nâest pas indiqué ici parce que la chose va de soi; comparez verset 40; Lévitique 17:15 et plusieurs passages du chapitre 15; mais si lâon a porté lâun ou quelque chose de ces cadavres, on doit de plus laver ses vêtements (versets 25 et 28). Ceux qui négligeaient ces prescriptions avaient à offrir, pour réparer cette omission, un sacrifice pour le péché (Lévitique 5:2). Mais de quels cadavres est-il ici question ? Le terme : ceux-ci (littéralement : et ceux-ci), se rapporte-t-il aux animaux qui seront indiqués dans les versets 26 et suivants, ou bien à ceux qui viennent de lâêtre ? Dans le premier cas, il ne serait pas parlé expressément des cadavres des oiseaux et les versets 24 et 25 mettraient en garde uniquement contre lâattouchement des cadavres des gros animaux terrestres mentionnés aux versets 26 et 27. Dans le second cas, tout cadavre absolument souille qui le touche. Le texte permet les deux interprétations. Nous nous sommes décidés pour la première; nous pensons que les mots : et ceux-ci, annoncent les animaux qui vont être nommés au verset 26, mais en même temps, la particule et, qui a le sens de aussi implique que les cadavres des oiseaux souillent aussi, quoique la chose ne soit pas dite. Sâil nâest pas dit, expressément que les cadavres des oiseaux souillent, câest sans doute parce quâil est très rare quâon trouve dans les champs des cadavres dâoiseaux. Et si les versets 26 et 27 répètent encore une fois que les quadrupèdes souillent, câest pour quâil soit bien entendu que les cadavres même dâanimaux domestiques (comme le chat et le chien, qui rentrent dans la catégorie des animaux marchant sur leurs pattes et non sur des sabots) dont on aurait pu ne pas redouter lâattouchement, souillent par leur contact,
Les touchera : touchera leurs cadavres.
29 à 38 Les animaux qui se traînent sur la terre
Il nâest encore parlé ici que de la souillure qui résulte de leur attouchement. Au verset 41 seulement viendra la défense dâen manger, car lâidée de sâen nourrir est peu naturelle, tandis quâil peut arriver facilement de les toucher. Huit espèces de reptiles seulement sont indiquées comme impures, et ce sont les plus grosses. Car ici, comme pour les oiseaux, il est fait abstraction des espèces les plus petites; autrement la loi eût été inapplicable. Ces huit espèces sont déclarées spécialement souillées parmi les animaux de cette classe (verset 31). Au reste, la plupart des animaux dont il va être question ne sont pas des reptiles proprement dits, mais seulement des animaux à pieds courts, dont la marche ressemble à un rampement et qui occupent un degré inférieur dans lâanimalité. Les véritables reptiles sont désignés au verset 42.
Belette. Quelques-uns traduisent par taupe; mais lâétymologie (celle qui se glisse) fait plutôt penser à la belette, qui, dâailleurs, dans le Talmud, porte un nom très semblable à celui que nous avons ici.
Souris : voir 1 Samuel 6:5; Ãsaïe 66:17
Lézards, dâaprès toutes les anciennes versions. Le Talmud voit ici le crapaud, à cause de lâétymologie qui fait penser à un animal au ventre enflé.
Musaraigne, dâaprès les versions grecque et latine; dâaprès la tradition juive, ce serait le hérisson.
Taupe : dâaprès les mêmes versions, ce serait le caméléon; dâaprès dâautres, la grenouille, à cause du nom de koach, qui rappelle le nom grec de cet animal. Mais cette dernière supposition est erronée, car la grenouille a en hébreu un nom différent. Elle était dâailleurs un animal pur, et le mot koach, signifiant force, ne doit pas être pris pour une onomatopée imitant le cri de lâanimal. La notion de force convient bien à la taupe.
Salamandre. Ici encore, on en est réduit à des conjectures sur lâanimal désigné dans le texte et dont le nom ne se retrouve nulle part dans la Bible. La description quâen donne la tradition juive ne suffit pas à le déterminer; mais elle renferme un trait intéressant : câest un animal dans les Åufs duquel le blanc et le jaune ne sont pas bien distincts, ce qui, dans lâesprit de la loi, doit le faire envisager comme impur.
Colimaçon. On ne sait comment entendre le mot que nous rendons ainsi. Notre traduction a pour elle des autorités respectables, mais on est étonné de rencontrer ce mollusque au milieu de reptiles qui tous ont des pattes et marchent plutôt quâils ne rampent.
Caméléon : voir verset 18. Ici encore rien de certain. Lâincertitude que la tradition juive elle-même éprouve en face de la plupart des noms qui précèdent, est une preuve de leur haute antiquité.
Quand ils seront morts, ou au moment de leur mort.
Peau : on conservait souvent lâeau et le vin dans des outres de peau.
Pour les vases de terre, il ne suffisait pas de les laver. Voir note Lévitique 6:28
Il va de soi que le contenu était jeté, à moins quâil ne fût sec (voir versets 37 et 38).
Il faut naturellement sous-entendre sâil y tombe quelque chose de leurs cadavres. Lâeau elle-même, lâélément purificateur, au lieu dâannuler la souillure, sera souillée.
Four : voir Lévitique 2:4. Le mot ne se retrouve pas ailleurs; sa terminaison indique quâil sâagit dâun objet double, peut-être dâun potager à deux trous, ou bien des deux parties de lâustensile, la plaque et le couvercle.
Seront détruits. Telle est la rigueur de la règle que même des ustensiles considérables y sont soumis.
Quant à une source et un puits, dont lâeau se renouvelle sans cesse, cela se comprend sans peine. Et quant à une citerne, il faut se rappeler le prix de lâeau dans les pays chauds. On ne pouvait se priver de lâeau dâune citerne parce quâune de ces petites bêtes y était tombée. Toutefois, celui qui touche ce cadavre pour le sortir du puits ou de la source est souillé, (fin du verset).
Si la semence est sèche, lâimpureté est absorbée par la terre où elle est semée.
Si la semence a été humectée et amollie, la souillure a pénétré dans lâintérieur et la semence doit être jetée.
39 Ã 40 Souillures provenant des cadavres des animaux purs
Il sâagit ici du cadavre des animaux purs morts de mort naturelle ou accidentelle. Voir Lévitique 18:15
41 à 45 Récapitulation concernant les animaux terrestres et exhortation finale
Le mot ramper, qui revient si souvent dans ces versets, est caractéristique. Câest décidément le contact avec le sol qui rend ces êtres souillés, depuis le serpent qui le touche de toute la moitié inférieure de son corps jusquâaux reptiles qui marchent à quatre pieds.
Vos personnes, littéralement : vos âmes, vous-mêmes. Cette expression ne se retrouve plus que Lévitique 20:25
Voir 1 Pierre 1:15-16
Voir des appels pareils au droit de Dieu sur le peuple quâil a racheté : Exode 20:2; Deutéronome 8:14; Deutéronome 13:5; Josué 24:17
46 et 47
Conclusion de toute cette loi :
On voit par les derniers mots que le but principal de la loi était la pureté dans lâalimentation.