Lectionary Calendar
Thursday, November 21st, 2024
the Week of Proper 28 / Ordinary 33
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Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-24
3>1 à 9 Devoirs qui incombent aux enfants et aux parents, aux esclaves et aux maîtres
Dans le Seigneur Jésus-Christ, dans le même sens et par les mêmes motifs que Éphésiens 5:21; Éphésiens 5:24, notes (comparer Colossiens 3:20).
Juste, et selon la nature, et selon la loi divine, et selon l’Évangile dans le Seigneur.
Le premier commandement de la seconde table de la loi, se rapportant aux devoirs envers les hommes; car l’apôtre n’ignorait pas que le second commandement de la première table a aussi une promesse; à moins qu’il ne la considérât pas comme une promesse faite spécialement à l’observation du second commandement, mais plutôt comme une déclaration générale de la miséricorde de Dieu, s’appliquant à toute obéissance (Exode 20:6).
Deutéronome 5:16. La terre est celle « que l’Éternel ton Dieu te donne », Canaan (Exode 20:12).
Dans ce sens, qui est évidemment celui de la citation, l’apôtre ne pouvait pas restreindre la promesse à sa signification littérale, mais il l’entend d’une manière spirituelle, Canaan étant pour tout Israélite éclairé l’image d’une meilleure patrie (Hébreux 11:14-16; Hébreux 4:8; Hébreux 4:9; Matthieu 5:5).
Comparer Colossiens 3:21, où l’apôtre ajoute, comme motif de ne pas irriter les enfants (Grec : « exciter à la colère ») : « afin qu’ils ne perdent pas courage ».
Dans notre passage se trouve le côté positif aussi bien que négatif de l’exhortation : Ne pas les irriter, mais les élever dans la discipline, etc.
Voir sur cette expression de profond respect 2 Corinthiens 7:15, note.
Il s’agit ici d’esclaves en présence de leurs possesseurs; mais cette obéissance ne doit pas être moins respectueuse lorsque les serviteurs voient des frères dans leurs maîtres (1 Timothée 6:1; 1 Timothée 6:2).
Ce dernier passage indique aussi le motif pour lequel l’apôtre revient si souvent sur cette obéissance des esclaves (Colossiens 3:22; Colossiens 2:9; comparez 1 Pierre 2:18) : c’est « afin qu’on ne blasphème point le nom de Dieu et sa doctrine », ce qui aurait eu lieu si les esclaves convertis à l’Évangile avaient montré un esprit de révolte.
Sans doute le christianisme devait nécessairement amener l’abolition de l’esclavage, mais par son influence spirituelle, du dedans au dehors, et non par la violence (voir l’épître à Philémon Philémon 1:1 et comparez 1 Corinthiens 7:21, note).
Le chrétien, même dans la position la plus humble, a toujours ce sublime motif d’obéissance, c’est qu’il peut oublier les hommes et se souvenir qu’il sert le Seigneur, qui a fait sa position et dont il voit la volonté dans la tâche qui lui est donnée à accomplir.
L’apôtre, parlant ici à la classe la plus malheureuse des hommes, revient quatre fois sur cette pensée : Obéissez comme à Christ (Éphésiens 6:5); faisant la volonté de Dieu; comme serviteurs de Dieu (Éphésiens 6:6); servant le Seigneur, avec bonne volonté (Éphésiens 6:7).
Enfin, eussentils même des maîtres qui ne reconnaîtraient point leur bonne conduite, ce qui n’arrive que trop souvent, ils n’y perdraient rien auprès du Seigneur à qui ils regardent (Éphésiens 6:8).
L’apôtre n’ordonne pas non plus aux maîtres de libérer leurs esclaves; mais, s’ils se pénètrent de ses injonctions selon l’esprit de l’Évangile, cette conséquence sera inévitable.
Quel maître chrétien pourra posséder ou vendre son frère, racheté comme lui au prix du sang de Jésus, héritier avec lui de la vie éternelle !
Le christianisme suppose l’égalité devant Dieu et la liberté de tous ceux qui croient; il devait tôt ou tard faire régner la liberté et l’égalité dans la société; mais ces fruits, qui n’étaient guère prévus dans l’origine, ont mûri plus tard, comme tant d’autres.
Ils étaient déjà renfermés en principe dans ces deux raisons données ici aux maîtres de bien traiter leurs esclaves : ils ont eux-mêmes leur Maître (Grec : « Seigneur ») dans le ciel, et devant lui maîtres et esclaves sont égaux.
Une variante porte : « leur Maître et le vôtre… »
Ces exhortations, du reste, malgré les différences de position, sont parfaitement applicables aux rapports actuels des maîtres et des serviteurs.
Plan
3>III. Conclusion
Tychique est envoyé aux Ephésiens afin que, connaissant l’état de l’apôtre, ils soient consolés (21, 22).
Vœux et prière de Paul pour ses frères (23, 24).
21 à 24 conclusion
Vous aussi, c’est-à-dire aussi bien que les Colossiens, auxquels il écrivait en même temps (voir l’introduction).
Sur Tychique, qui se trouvait près de l’apôtre, voir : Actes 20:4; Colossiens 4:7; Colossiens 4:8; 2 Timothée 4:12; 2 Timothée 3:12.
En vous apportant de mes nouvelles, et en général, qu’il vous console par sa présence, par les dons de sa foi.
La paix, qui ne subsiste que dans une communion habituelle avec Dieu, augmente l’amour pour lui dans le cœur du fidèle.
L’une et l’autre sont produits par la foi, don de Dieu, que l’on peut et doit toujours souhaiter, même à ceux qui croient déjà, car il faut que tous les éléments de la vie intérieure soient constamment en progrès.
La source inépuisable de toutes ces grâces, c’est Dieu le Père et Jésus-Christ le Seigneur.
La prière s’adresse à Christ aussi bien qu’à Dieu, preuve de son éternelle divinité (comparer 2 Corinthiens 13:13, note).
Grec : « en incorruptibilité », dans cette puissance de vie divine et impérissable que Christ a mise au jour par son Évangile (2 Timothée 1:10)
L’amour du vrai chrétien pour son Sauveur participe pleinement de cette vertu, fruit de l’Esprit de Dieu, et ne saurait jamais cesser. À ceux qui aiment ainsi Jésus, Paul souhaite la grâce :