Lectionary Calendar
Thursday, November 21st, 2024
the Week of Proper 28 / Ordinary 33
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Bible Commentaries
Commentaire concis de Henry sur la Bible Commentaire Concis de Henry
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques
Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Psalms 116". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://www.studylight.org/commentaries/fre/mhn/psalms-116.html. 1706.
Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Psalms 116". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://www.studylight.org/
Whole Bible (3)
versets 1-19
Psaumes 116:1
* Le psalmiste annonce son amour pour le Seigneur. (1-9)
Il désire être reconnaissant. (10-19)
(1-9)
Nous avons de nombreuses raisons d’aimer le Seigneur, surtout quand Celui-ci nous délivre d’une grande détresse.
Quand un pauvre pécheur est sensibilisé par la réalité de son état, et qu’il considère avec crainte le risque de tomber sous le coup de la colère divine, il prend peur. Que de tels appels du Seigneur délivrent cette âme et qu’elle puisse trouver la Grâce et la réalité de Sa récompense.
Ni l’ignorance, ni l’iniquité ne pourront masquer le salut. Il sera toujours possible de placer sa confiance dans le Seigneur. Sachons toujours témoigner sur la façon dont nous avons trouvé Dieu ; l’avons-nous trouvé sous un autre aspect que celui de la justice ou de la bonté ? C’est une grâce de Sa part de nous avoir préservés du châtiment. Que ceux qui portent un lourd fardeau viennent à Lui, ils trouveront du repos pour leur âme ; et si, une fois tirés d’affaires, ils éprouvent le désir de retourner d’où ils viennent, qu’ils songent à quel point le Seigneur a souffert pour eux, dans le but de les sauver.
Nous devrions toujours dans notre cheminement, rester en Sa présence. C’est une grande grâce d’être gardé de toute chute douloureuse qui outrepasse nos forces de résistance. C’est une grande miséricorde de se savoir guidé par la main divine, de savoir qu’aucune tentation au dessus de nos forces ne nous sera soumise. Quand nous entrerons dans le repos céleste, la délivrance du péché et de la souffrance sera alors complète ; nous contemplerons la gloire du Seigneur et nous marcherons en Sa présence avec une joie que nous ne pouvons même pas concevoir maintenant.
Psaumes 116:10
(10-19)
Quand nous traversons l’épreuve, nous faisons de notre mieux pour essayer de garder la paix au cœur ; nous pouvons même, parfois, tomber et parler inconsidérément. De plus, il faut persévérer dans la foi quand les doutes nous assaillent ; dans de tels cas, c’est la foi qui prévaut ; en restant humble, face à notre manque de confiance en la Parole de Dieu, nous pouvons expérimenter Sa véracité. Que peut faire le pécheur pardonné, que peuvent faire ceux qui ont été délivrés de l’épreuve ou de la détresse ? Peuvent-ils rendre au Seigneur une part du bien qu’ils ont reçu ? Nous ne pouvons d’aucune manière lui rembourser quoi que ce soit. Le meilleur que nous puissions tirer de nous-mêmes ne l’intéresse pas ; en fait nous devrions nous consacrer entièrement à Son service. Aussi il nous faut plutôt dire : « je veux bénéficier du salut, je veux suivre Sa loi, pour Le remercier et me réjouir ensuite en Sa bonté. Je boirai aussi éventuellement de la coupe de l’affliction, cette coupe amère qui est réservée aux saints, celle qui est aussi une coupe salutaire ; tout cela représente les critères d’une bonne santé spirituelle. C’est aussi une coupe de consolation ; je veux recevoir les bienfaits que Dieu m’a réservés, directement de Sa main ; je veux constater, par leur intermédiaire, Son amour, en tant que part de l’héritage qui m’est réservé dans les cieux ».
Laissez les autres servir leurs maîtres, dites plutôt : « je veux être réellement ton serviteur ». Deux chemins de service possibles sont offerts aux hommes à leur naissance. « Seigneur, je suis né dans Ta maison ; je suis Ton œuvre, je suis à Toi ».
C’est une grande grâce d’avoir des parents chrétiens. « Seigneur, tu as brisé mon joug, Tu m’as déchargé de mon fardeau et je deviens, de ce fait, ton serviteur. Les liens qui me retenaient sont ôtés, de façon à ce que je puisse me rapprocher de Toi ».
Faire le bien représente un sacrifice qui plait à Dieu ; et cela doit nous amener en final à Le remercier. Pourquoi offririons-nous au Seigneur ce qui ne nous coûterait rien ?
Le psalmiste veut s’engager vis à vis de Dieu maintenant ; il ne veut pas différer ses vœux : il le fait publiquement, non pour se vanter, mais pour montrer qu’il n’éprouve aucune honte à servir Dieu et pour inviter les autres à se joindre à lui. Il en est ainsi pour ceux qui sont réellement sanctifiés ; leur vie et leur mort ne seront qu’un témoignage de la gloire divine.