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Sunday, November 24th, 2024
the Week of Christ the King / Proper 29 / Ordinary 34
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Bible Commentaries
Commentaire concis de Henry sur la Bible Commentaire Concis de Henry
Déclaration de droit d'auteur
Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques
Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 2 Samuel 23". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://www.studylight.org/commentaries/fre/mhn/2-samuel-23.html. 1706.
Henry, Matthew. "Commentaire concis sur 2 Samuel 23". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://www.studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-39
2 Samuel 23:1
Les dernières paroles de David. (1-7)
Les hommes forts qui entourent David. (8-39)
(1-7)
Ces paroles de David sont vraiment dignes de respect.
Que ceux qui, au terme de leur vie, ont longuement goûté la bonté divine, et l’agrément de la Sagesse que le ciel communique, puissent témoigner sur la véracité des promesses du Seigneur. David reconnaît que durant son existence, il a été dirigé par Dieu et que Son Esprit le conduisait journellement. Le roi, ainsi que d’autres piliers spirituels de la Parole, ont « parlé et écrit », alors qu’ils étaient conduits par l’Esprit saint. Sur de nombreux points de sa conduite, David était blâmable, ayant été, pour sa propre part, coupable de négligence. Mais il était réconforté par la Promesse du soutien éternel, que Dieu lui avait annoncée. S’appuyant sur cette dernière, il a surtout bénéficié de la Miséricorde et de la Paix, que seul l’Éternel peut donner au pécheur qui Le considère comme son Sauveur et qui sait bénéficier de la bénédiction promise, afin de devenir un humble serviteur, en tant que racheté.
Les croyants sauront apprécier éternellement les bénédictions divines ; et Dieu le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, seront à jamais glorifiés pour le salut offert aux âmes. Ainsi le pardon, la droiture, la grâce, et la vie éternelle, étant des dons divins, sont assurés par Jésus-Christ. En Lui, se trouve la plénitude infinie de la Grâce et de toutes les bénédictions célestes, du moins, pour ceux qui recherchent Son salut.
Cette promesse divine faite à David, était à la base de son salut ; le roi connaissait si bien, d’une part, la Parole de Dieu et d’autre part, l’ampleur de son propre péché, qu’il perçut ce qui était nécessaire pour obtenir le salut. Tel était donc son seul désir. Par rapport à cette perspective spirituelle, aux yeux du roi, tous les attraits terrestres n’avaient que bien peu d’éclat. David était disposé à les abandonner, à les faire « mourir », dans le but de goûter au vrai bonheur, Psaumes 73:24-28.
Cependant, l’envergure de sa cruauté, la faiblesse de sa foi, de son espérance et de son amour, étaient pour le roi une affliction et un fardeau. Sans aucun doute il aurait admis que sa propre négligence et son manque de générosité en étaient la cause ; mais l’espérance qu’il serait bientôt rendu parfait, dans la félicité céleste, l’a encouragé lors de ces instants de dépression.
2 Samuel 23:8
(8-39)
David désirait bien ardemment, avoir de l’eau de Bethlehem. Il pourrait s’agir d’une faiblesse. Il avait soif ; combien de fois, durant sa jeunesse, il s’était désaltéré à l’eau de ce puits, sans penser que plus tard il la rechercherait avidement ! Ses hommes vaillants étaient-ils si téméraires, pour s’exposer, au moindre désir de leur roi, ne cherchant qu’à le satisfaire ?
Pour notre part, ne devons-nous pas également désirer ardemment plaire à notre Seigneur, en se conformant à Sa volonté, à Sa Parole, à l’Esprit, et à la Providence ?
David versa cette eau de Bethlehem, en tant qu’offrande à l’Éternel. Il voulait ainsi « couper court » à sa propre convoitise stupide, et prouver qu’il était capable d’avoir de nobles pensées, pour corriger cet acte, sans le nier. De la même manière que David, qui considérait que cette eau, obtenue au prix du sang de ses hommes, avait une grande valeur, ne devons-nous pas évaluer les bénéfices que nous avons obtenus par le rachat de notre âme, grâce au sang béni de notre Sauveur ?
Ne négligeons-pas un si grand salut !