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Saturday, July 19th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique avancé Commentaire biblique avancé
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 1 Timothy 1". "Commentaire biblique avancé". https://studylight.org/commentaries/fre/cba/1-timothy-1.html.
bibliography-text="Commentaire sur 1 Timothy 1". "Commentaire biblique avancé". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-20
Chapitre 1er
Ch. 1 v. 1-2 â Présentation et vÅux de lâapôtre
Ch. 1 v. 1 â Dieu vu comme Dieu Sauveur, et Christ comme espérance
[1:1] Déjà , dès le commencement, lâapôtre désigne Dieu comme Dieu Sauveur. Paul est apôtre de Jésus Christ, selon le commandement de notre Dieu Sauveur. Le Seigneur Jésus Christ est la confiance et lâespoir de lââme.
Ch. 1 v. 2 â Miséricorde ajoutée comme souhait aux individus
On remarquera aussi que le souhait de lâapôtre, ici, est différent de celui quâil exprime quand il sâadresse à une assemblée : [1:2] Paul dit « grâce, Tite 1:4)]1.
, paix ! ». Il ne dit pas : « miséricorde », aux assemblées qui se maintiennent comme telles devant Dieu à la suite de la miséricorde que Dieu leur a faite, et qui (quelque mauvais que soit leur état) sont envisagées comme assemblées selon la nature dans laquelle elles subsistent par lâEsprit, et où il ne sâagit aucunement de miséricorde, parce que cette nature même est de Dieu. La grâce et la paix sont bien ce dont elles ont à jouir de la part de Dieu. Mais quand il sâagit dâun individu, quelles que soient sa piété et sa fidélité, il est là , chair et esprit, ayant encore sa carrière, en partie du moins, à fournir, et ayant toujours besoin de miséricorde. Câest aussi ce que lâapôtre souhaite à Timothée ainsi quâà Tite [(2 Tim. 1:2;1 Il y a toutefois quelque doute quant à la leçon dans Tite.
Ch. 1 v. 2 â Nécessité de la miséricorde ressentie pour les croyants
Dans lâadresse de sa lettre à Philémon, il ajoute : « et à lâassemblée qui se réunit dans ta maison » [(Philém. 2)], et ainsi son souhait nâa plus cette forme personnelle [(Philém. 3)] : mais dans les épîtres à Timothée et à Tite, on trouve lâintimité de lâapôtre avec ses chers collaborateurs. Il savait combien ils avaient besoin de la miséricorde; elle était sa ressource à lui, ce quâil avait expérimenté pour la consolation de sa propre âme
Ch. 1 v. 3-17 â Lâimagination de lâhomme, la loi et la grâce
Ch. 1 v. 3-4 â Timothée doit veiller sur la doctrine, garantissant des fables stériles
[1:3] Le but spécial pour lequel lâapôtre avait laissé Timothée à Ãphèse, lorsque lui-même il sâen était allé en Macédoine, câétait afin quâil veille sur la doctrine qui était enseignée; mais Timothée étant à Ãphèse, Paul lui donne des directions pour lâordre intérieur de lâassemblée. Pour ce qui regarde la doctrine, le mal que lâEnnemi cherchait à introduire avait un double caractère. [1:4] Dâun côté, on sâattachait à des fables de lâimagination humaine [1:7] et, de lâautre, on voulait introduire la loi dans le christianisme. [1:4] à lâégard des fables, le mal était simplement un mal et nâédifiait personne. Lâapôtre nâen dit pas ici grand-chose; il avertissait du mal à lâavance; et la foi de lâassemblée dâÃphèse était assez saine pour quâelle puisse juger tout ce système de pures fables et de généalogies. LâEsprit avertissait que, plus tard, ce genre dâerreur aurait de plus fâcheuses conséquences; mais dans ce moment-là , on nâavait quâà garantir les fidèles de ce qui ne valait rien. [1:3] Timothée avait le mandat de la part de lâapôtre dây veiller.
Ch. 1 v. 5-11 â Danger dâintroduire la loi, et place que Dieu lui donne
Tout service dans le christianisme est lié à ce quâest Dieu et nos relations avec Lui
Mais ce qui nous est confié dans le christianisme, comme service, est toujours, dans son but et dans son caractère, à la hauteur des principes éternels de Dieu, et tient au fond de nos relations morales avec lui.
Ch. 1 v. 5-7 â CÅur pur, bonne conscience et foi sincère, marques du christianisme
[1:5] Le but du mandat de Paul est lâamour procédant dâun cÅur pur, dâune bonne conscience et dâune foi sincère â jamais de curiosité, de raisonnement ou dâimagination humaine. Câest là , pour les âmes saines dans la foi et dirigées par lâEsprit de Dieu, une marque sûre de la source divine dâun enseignement. [1:4] Des questions spéculatives nâagissent pas sur la conscience et nâamènent pas dans la présence de Dieu. [1:6] Quelques-uns avaient abandonné lâamour provenant dâun cÅur pur et dâune foi sincère, ces grands jalons du christianisme, pour se jeter dans de vains discours. [1:7] Ici aussi nous retrouvons ces mêmes corrupteurs du christianisme, qui (après avoir rejeté le Sauveur) semaient dâépines le chemin de lâapôtre, savoir les judaïsants. Câest la loi quâils voulaient enseigner. Lâesprit de lâhomme est capable de sâoccuper des devoirs légaux.
Ch. 1 v. 8-11 â La loi selon Dieu est utile pour frapper la conscience, selon lâévangile
Or, nous voyons ici comment, quand on est à la hauteur de la vérité de Dieu, on peut mettre toutes choses à leur place. [1:4] Lâimagination des hommes, selon Paul, ne produit que des fables; [1:8] mais la loi est de Dieu et peut être un instrument utile si lâon sâen sert comme on doit le faire : [1:9-10] elle est très utile pour condamner, pour juger le mal, pour tuer â pour montrer le jugement de Dieu contre tout mal interdit par lâévangile; [1:11] évangile qui a révélé la gloire du Dieu bienheureux â gloire qui ne supporte aucun mal â et qui a été confié à lâapôtre. Pour frapper ainsi la conscience, on peut bien se servir de la loi, mais elle nâédifie pas le juste; et si lâon est sous la loi, on est sous la malédiction [(Gal. 3:10)]; se servir de la loi comme dâune épée pour la conscience, voilà ce quâon peut faire de la loi. La grâce seule est la source de nos prédications et lâappui de nos âmes.
Contraste entre la loi qui condamne et lâévangile lié à la gloire de Dieu
Ces deux systèmes, la loi et la grâce, et leurs places respectives, sont présentés dans les versets 5-17, qui forment une espèce de parenthèse, lâapôtre reprenant son discours à Timothée au verset 18. Le juste emploi de la loi est expliqué dans les versets 8 à 10. Lâapôtre, dans un certain sens, rabaisse ici la loi, [1:8] tout en reconnaissant son utilité quand elle est à sa place comme arme de justice pour condamner; [1:11] et il la met en contraste avec lâévangile qui a affaire avec la gloire de Dieu que cet évangile annonce, tandis que la loi a affaire avec la méchanceté que cette loi condamne.
Ch. 1 v. 12-17 â Grâce souveraine de Dieu manifestée en Paul
Grâce souveraine et son Åuvre, dont la gloire est lâaccomplissement
[1:11] Ayant parlé de lâévangile de la gloire qui lui avait été confié, [1:14] lâapôtre attire lâattention de Timothée vers la grâce souveraine; grâce qui lâavait introduit lui-même dans la connaissance de cette gloire, témoignage de lâaccomplissement de lâÅuvre de la grâce.
« Je rends grâces, dit-il, au christ Jésus, notre Seigneur,⦠de ce quâil mâa estimé fidèle, mâayant établi dans le service, moi qui auparavant étais un blasphémateur, et un persécuteur, et un outrageux » (vers. 12, 13). Câétait bien la grâce qui avait fait cela.
Ch. 1 v. 12-16 â Miséricorde envers Paul, ennemi actif de Dieu, comme modèle pour tous de l'Åuvre de la grâce
Lâapôtre parle de deux choses au sujet de sa conversion : [1:13] premièrement, comment Dieu avait pu avoir pitié de lui dans un tel état â il était dans lâignorance (vers. 13) â [1:16] il montre, en second lieu, le but de Dieu (vers. 16) : ce but était que lâapôtre fût un modèle de grâce pour tous. [1:13] Le fait que Paul était dans lâignorance et dans lâincrédulité nâexcusait pas son péché, bien que ce fût un état qui rendait la miséricorde possible (car si lâapôtre eût été ennemi, le sachant et le voulant, quand la grâce de lâévangile lui était déjà connue, sa délivrance nâeût pas été possible); [1:14] il met donc la pure et parfaite grâce en avant, comme ayant abondé pour lui : [1:15] il était le premier des pécheurs, et câétait bien le cas. Les souverains sacrificateurs avaient, jusquâau bout, résisté au Saint Esprit; Paul avait pris part à cette résistance; mais il ne sâétait pas contenté de cela : il voulait être partout lâennemi actif de la foi, et détruire le nom de Jésus. Il avait beaucoup fait à Jérusalem; mais il voulait assouvir sa haine, même dans des villes étrangères. Nous savons son histoire, telle quâelle nous est racontée dans les Actes [(Act. 9)]. Expression vivante de lâétat de résistance des Juifs à la grâce, Paul était, entre les hommes aussi, lâexpression de leur inimitié la plus active contre Celui que Dieu voulait glorifier. La grâce était plus grande que le péché, la patience de Dieu plus parfaite que la persévérance de lâhomme dans son hostilité. Celle-ci avait pour limite lâimpuissance de lâhomme; celle-là nâavait point de limite dans la nature de Dieu, si ce nâest sa propre et souveraine volonté. Tout coupable que fût lâhomme, son péché ne parvient pas jusquâà Dieu de manière à troubler lâaction indépendante de sa nature ou à changer ses desseins : [1:16] Dieu voulait donner en Paul un exemple de la souveraineté de cette grâce, de cette bonté parfaite pour les Juifs qui, à lâavenir, se trouveront comme nation dans lâétat où avait été Saul â puis, pour tous les hommes, ennemis de Dieu et par nature enfants de colère. Le premier, le plus actif, le plus acharné des ennemis est devenu le meilleur, le plus puissant des témoins de la grâce de Dieu qui est au-dessus du péché, de lâÅuvre de Christ parfaite pour abolir le péché.
Ch. 1 v. 17 â Ministère de Paul basé sur la révélation de la grâce de Dieu
[1:17] Câest à Dieu, tel dans sa nature, et qui dispose du déploiement de tous les siècles selon ses conseils, au seul Dieu invisible, incorruptible, que lâapôtre attribue toute louange et toute gloire (vers. 17). Telle était la base du ministère de Paul en contraste avec la loi. Ce ministère était fondé sur la révélation de la grâce â révélation qui sâappliquait à lâexpérience que lâapôtre lui-même en avait fait individuellement. Pierre, coupable dâavoir renié un Sauveur vivant, pouvait parler aux Juifs de la grâce qui sâadressait à leur propre position qui avait été la sienne. Paul, autrefois ennemi dâun Sauveur glorifié, et qui avait résisté au Saint Esprit, pouvait annoncer la grâce qui sâélève même au-dessus de cet état de péché, de tout ce qui vient de la nature de lâhomme. Cette grâce ouvrait la porte aux Gentils, selon les conseils de Dieu, même quand les Juifs avaient tout rejeté; elle leur substituait lâAssemblée céleste, et suffisait pour admettre plus tard cette nation coupable, à de meilleurs privilèges que ceux quâelle avait perdus.
Ch. 1 v. 18-20 â Mission de Timothée au milieu des Ãphésiens
Ministère de Paul, en opposition avec la loi
Tel était lâappel de lâapôtre, tel son ministère. Ayant montré lâopposition entre ce qui lui était confié et la loi (tout en confirmant lâutilité de celle-ci, non comme règle pour les justes ou comme guide pour le peuple de Dieu, mais comme jugeant le mal [(1:8-9)]), [1:18] lâapôtre reprend ses instructions à Timothée, quant aux détails de sa mission au milieu des Ãphésiens.
Ch. 1 v. 18-19 â Mandat confié à Timothée pour maintenir la vérité
[1:18] à la fin du chapitre 1, il lui confie la charge, lui envoie son mandat. Le mot grec que je traduis ici par « mandat », se rapporte au verset 3 et au verset 5. [1:3] Paul avait laissé Timothée à Ãphèse pour
à certaines personnes de ne pas enseigner dâautres doctrines que la vérité de lâÃvangile. [1:5] Or la fin de lâordonnance, de cette évangélique, était lâamour qui procède dâun cÅur pur et dâune bonne conscience, et dâune foi sincère; car lâévangile, tout en révélant les conseils merveilleux de Dieu, maintient les grands principes éternels de sa nature. Ce dernier trait est ce qui distingue la vérité dâavec les prétentions orgueilleuses des imaginations hérétiques. Dieu veut que lâhomme soit en relation avec Lui, réellement, de cÅur et en vérité, selon ces principes. [1:18] Or cette lâapôtre la confiait maintenant à Timothée, son véritable enfant dans la foi. Timothée devait la maintenir avec une autorité basée sur le témoignage divin, mais quâil tenait formellement de lâapôtre qui lâavait désigné pour ce service. Paul sâétait adjoint Timothée dans ce ministère, non seulement de son propre mouvement, mais dâaprès des prophéties qui lâavaient indiqué dans ce but. Ces prophéties étaient aussi un moyen de fortifier Timothée pour le combat qui lâattendait dans cette fonction. Les conditions de la victoire étaient pour lui, selon la nature de la commission quâil avait reçue : [1:19] il devait garder la foi et une bonne conscience. Or, la foi signifie ici la doctrine du christianisme, toutefois non pas seulement comme doctrine, mais comme la vérité que lââme tenait de Dieu, comme vérité venant de lui. Il sâagissait de maintenir la vérité, la doctrine chrétienne, mais de la garder comme révélée par Dieu lui-même, de sorte quâelle fût, pour lââme, . La lumière doit posséder, avec des limites bien dessinées, lâautorité divine.Câétait la foi, ce que Dieu avait révélé, reçu avec certitude comme tel, comme
.Ch. 1 v. 19 â Nécessité dâune bonne conscience, sous peine de pensées contraires à Dieu
[1:19] Or, pour être en communion avec Dieu, il faut que la conscience soit bonne, soit pure. Si nous ne sommes pas dans cette communion, nous ne pouvons avoir une force qui nous maintienne dans la foi, qui nous rende capables de persévérer dans la profession de la vérité comme Dieu nous la donne. Satan a alors prise sur nous. Si lâesprit dâun homme qui se trouve dans cet état est actif, il tombe dans lâhérésie. La perte dâune bonne conscience ouvre la porte à Satan, parce quâelle nous prive de la communion de Dieu; et lâesprit actif, sous lâinfluence de Satan, invente des pensées au lieu de confesser la vérité de Dieu. Lâapôtre traite de blasphèmes les pensées qui sont le fruit de cet état; la volonté de lâhomme est en activité; or, plus le sujet est grand, plus la volonté sans frein et possédée par lâEnnemi sâégare et sâélève contre Dieu et contre lâassujettissement de toute pensée à lâobéissance de Christ et Ã
de la révélation de Dieu.Ch. 1 v. 20 â Lâapôtre livre les blasphémateurs à Satan en discipline
Impuissance de Satan dans lâAssemblée et sur ses membres
[1:20] Lâapôtre avait livré deux personnes de cette catégorie à Satan : il sâagit de souffrances extérieures (v. 20). Ces personnes, quoique déjà trompées par Satan, nâétaient pas en sa puissance comme sâil avait le pouvoir de tourmenter et de faire souffrir; car dans lâAssemblée (quand elle est dans son état normal) il nâa aucune puissance de ce genre : lâAssemblée en est garantie comme demeure du Saint Esprit, protégée par Dieu et par la puissance de Christ. Satan peut tenter individuellement, mais il nâa aucun droit sur les membres de lâAssemblée comme tels. Ils sont et quelque faibles quâils soient, Satan ne peut entrer là . Ils peuvent lui être livrés pour leur bien; et cela peut arriver dans tous les temps, témoin le cas de Job [(Job 2:6)]. Mais lâAssemblée devait avoir la connaissance des voies de Dieu à lâégard des siens, et être la gardienne et lâinstrument de leur accomplissement. Le Saint Esprit habite en elle; Dieu demeure en elle comme dans sa maison, par lâEsprit; au-dehors dâelle est le monde, dont Satan est le prince.
Ãpreuve de ce quâest lâennemi, pour amener la soumission à Dieu
[1:20] Lâapôtre (par le pouvoir qui lui était communiqué1, car câest un acte de puissance positive) a livré ces deux hommes à la puissance de lâEnnemi, en les privant de lâabri dont ils jouissaient. Ils avaient écouté lâEnnemi, avaient été ses instruments; or cela ne devait pas se faire dans lâAssemblée au milieu de membres de Christ; il leur fallait éprouver ce quâétait celui à qui ils avaient prêté lâoreille. Dieu se servait ainsi de Satan lui-même comme dâune verge pour le bien de ses enfants rebelles. Satan allait les instruire par les peines quâil leur ferait souffrir, quel que fût le genre de celles-ci, angoisses dââme ou de corps, et ces dernières sont le résultat immédiat, afin que leur volonté fût brisée et amenée à se soumettre à Dieu. Solennelle discipline ! Merveilleux pouvoir entre les mains dâun homme ! Mais ce pouvoir fournissait la preuve que lâamour de Dieu peut disposer de tout pour délivrer une âme et pour lâamener à lui.
1 Il ne faut pas confondre cet acte de puissance avec la discipline qui est lâacte de lâAssemblée et son devoir formel. En 1 Corinthiens 5 [(v. 4)], lâapôtre sâadjoint lâassemblée dans cet acte; mais câest avec le pouvoir de Christ quâil livre à Satan. Le devoir de lâassemblée est exprimé au verset 13. Quant au rôle des saints ou de lâassemblée, lorsque Dieu a exercé la discipline, voir 1 Jean 5:16; Jacques 5:14, 15.