Lectionary Calendar
Thursday, November 21st, 2024
the Week of Proper 28 / Ordinary 33
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Whole Bible (3)
versets 1-20
Meurs pour le fils. C’étaient là probablement les premières paroles d’un chant à la mélodie duquel était adapté notre psaume.
4 à 11
La victoire remportée (versets 4 à 7); confiance pour l’avenir (versets 8 à 11).
Ils reculent…, trébuchent…, périssent : désastre toujours plus complet, ayant pour cause (verset 5) l’intervention de l’Éternel.
Tu t’es assis. Comparez Psaumes 7:8, note. La même idée reparaît au verset 8.
Les nations : les païens; voir Psaumes 2:1, note.
Il a dressé son trône. En opposition aux villes disparues (verset 7), le psalmiste voit un trône haut élevé pour toujours. C’est celui de l’Éternel, qui jugera à l’avenir, comme il a jugé autrefois.
Une haute retraite. Menaçant pour les méchants, ce trône est un asile pour l’opprimé.
12 à 19
Le ton devient celui d’une prédication adressée à tous les peuples. Partout il y a des opprimés et des oppresseurs. De Sion, l’Éternel exercera partout sa justice.
3>12 à 15 Encouragement adressé aux misérables
Qui habite en Sion. David n’ignore pas que la vraie résidence de l’Éternel est dans les hauts lieux (Psaumes 7:8). Mais il a plu à Dieu de choisir Sion comme le lieu terrestre d’où sa gloire doit rayonner sur tous les peuples. Comparez Psaumes 18:50.
Vengeur du sang, littéralement : celui qui réclame comme sa propriété le sang versé. L’Éternel apparaît ici comme le plus proche parent de la victime (Nombres 35:9-12).
Fais-moi grâce… Ce cri d’appel surprend, au milieu d’un psaume de louange. Remarquons cependant le lien étroit que les mots misérable état établissent avec le verset 13. Avec la vivacité qui lui est propre, David fait entendre ce cri des affligés qu’il a si souvent poussé lui-même, comme pour exhorter tous les malheureux à le faire monter vers Dieu.
Les portes de la mort, hébreu : du Schéol, séjour des morts (Psaumes 6:6, note). Le terme de portes représente ce séjour comme une forteresse d’où ne peuvent sortir les captifs qui y ont été enfermés (Job 38:17; Ésaïe 38:10). Ce sont ces portes, devenues le symbole de toute la puissance de l’ennemi, qui ne prévaudront pas contre l’Église (Matthieu 16:18).
Les portes de la fille de Sion forment ici contraste avec celles de l’enfer. C’est aux portes des villes que se trouvaient, en Orient, les places publiques, où l’on convoquait le peuple pour toutes les assemblées importantes.
16 à 19 Le sort des oppresseurs
L’idée du salut, par laquelle se termine la strophe précédente, devient de nouveau dominante. Tandis que Dieu retire du Schéol le misérable qui crie à lui, les païens, ennemis de l’Éternel, y descendent, par un acte de la justice divine, qui les prend dans leurs propres pièges. C’est ce que David à constaté dans la victoire remportée (versets 16 et 17) et ce qu’il annonce comme devant se reproduire à l’avenir (versets 18 et 19).
Ils s’en retourneront. Comparez Psaumes 90:3. Par la mort, le corps retourne à la terre, et l’âme, descendant au Schéol, rentre dans un état d’impuissance semblable, bien que non identique, au néant.
Oublié. Si Dieu est oublié des hommes (verset 18), le misérable ne l’est pas de Dieu.
20 et 21 Invocation finale
Lève-toi ! Expression fréquente dans les Psaumes, particulièrement dans ceux qui sont attribués à David (Psaumes 3:8; Psaumes 8:7; Psaumes 10:12; Psaumes 17:13, etc.).