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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Whole Bible (6)
versets 1-24
1 Ã 4 condamnation du culte hypocrite
3>1 Ã 2
La vraie explication a déjà été donnée par Calvin. Le prophète sâélève avec indignation, comme au chapitre 1 (verset 11 et suivants; comparez Ãsaïe 58:1 et suivants), contre lâidée si répandue chez les Juifs dâun mérite attaché aux cérémonies du culte. Israël croit avoir assez fait pour son Dieu, et même lui avoir rendu service, en lui bâtissant un temple et en lui offrant les sacrifices prescrits. à des gens qui pensent être en règle quand ils sont allés au temple et y ont sacrifié, Ãsaïe rappelle que le vrai culte est de nature spirituelle comme Dieu lui-même, et que câest même dégrader lâÃternel, insulter à sa majesté et faire de lui une idole, que de prétendre lâenfermer dans un temple et sâacquitter envers lui par des offrandes, comme si celui qui a fait toutes choses avait besoin de quelque chose (Actes 17:24-25; comparez Psaumes 50:8-13) ! Sans doute, le temple est le lieu de repos de lâÃternel (Psaumes 132:5-8), mais parce que, dans sa condescendance, il lâa choisi pour sây laisser invoquer et sây manifester, non pour sây renfermer; câest ce quâavait bien compris Salomon, lorsquâà la dédicace du temple il exaltait la majesté du Dieu que les cieux des cieux ne peuvent contenir, combien moins cette maison ! (1 Rois 7:27). Ãsaïe fait allusion à cette parole. Croyez-vous, veut-il dire, que Dieu ait besoin dâune demeure, et que ce temple, ou tout autre que vous pourriez bâtir, en fût une digne de lui ? Le seul sanctuaire où il puisse habiter réellement sur la terre, câest le cÅur de lâhomme qui sâhumilie et obéit à sa parole (Ãsaïe 57:15; comparez Psaumes 51:18-19). Ces versets 1 et 2 sont cités par Ãtienne (Actes 7:49-50).
Pour les images du trône et du marchepied, voir Ãsaïe 6:1 et Ãsaïe 60:13. LâÃternel a sans doute aussi une demeure dans la création visible; mais ce sanctuaire, ce nâest pas le temple de Jérusalem, câest lâunivers entier, qui seul convient à sa grandeur. Comparez Ãsaïe 57:15.
On a donné de ce passage plusieurs explications différentes de celle que nous venons dâexposer. Dâaprès les uns, le prophète, sâadressant au peuple exilé, condamnerait à lâavance la pensée de rebâtir un temple après le retour, ou du moins le formalisme quâil craindrait déjà de voir sây renouveler. Mais il déclare lui-même ailleurs que le temple doit être rebâti (Ãsaïe 44:28; comparez Esdras 1:1-4 et Aggée); et sâil parlait ici en vue de lâépoque du retour, il nâaurait pu le faire que dans les tout derniers temps qui précédèrent, ou dans ceux qui suivirent cet événement. Ce chapitre appartiendrait donc à une autre époque que le reste de la prophétie chapitres 40 à 66; ce qui nâest guère admissible. Selon dâautres, le but du prophète serait de sâopposer au projet formé par les exilés de bâtir un temple en Babylonie. Mais ni dans notre texte ni dans lâhistoire on ne trouve la moindre trace dâun semblable dessein. Enfin, selon quelques-uns, Ãsaïe voudrait dire que dans la nouvelle économie il nây aura plus de temple, et condamnerait comme une profanation toute espèce de culte rituel qui pourrait sây produire. Mais si dans quelques tableaux des temps messianiques, le prophète ne parle pas du temple (Ãsaïe 2:4; Ãsaïe 4:5-6), dans plusieurs autres il suppose lâexistence dâun temple et dâun culte dans la nouvelle Jérusalem (versets 21 à 24; Ãsaïe 56:7; Ãsaïe 60:7).
Le sens est que celui qui offre à Dieu un culte de pure forme, lâoutrage aussi gravement que celui qui commet un crime et viole audacieusement la loi. Le rite sans lâadoration du cÅur, le sacrifice sans lâobéissance, lui est insupportable. Comparez Ãsaïe 1:13-14.
Leurs abominations : lâidolâtrie (Jérémie 7:30), à laquelle ils se livrent, en dépit de leur piété apparente. Le chien et le porc : deux animaux impurs, quâon nâoffrait jamais en sacrifice, chez les Israélites (Ãsaïe 65:4).
Comparez Ãsaïe 65:2; Ãsaïe 65:12.
5 à 14 le châtiment des impies; le salut glorieux de Sion
Le prophète adresse aux fidèles une parole de consolation. Leurs frères (des Israélites, non des païens) les méprisent, les haïssent, les repoussent même (voyez Ãsaïe 65:5), à cause de leur fidélité à Jéhova, et se moquent des promesses qui font leur espérance (Ãsaïe 5:19). Comparez Luc 6:22. Quâils se consolent ! Ce nâest pas pour les opprimés, mais pour les oppresseurs que sera la confusion
Comparez Ãsaïe 1:29; Ãsaïe 26:14; Ãsaïe 65:13.
Le prophète assiste en esprit au jugement quâil vient dâannoncer. Il entend un fracas pareil à celui du tonnerre : lâÃternel sort de sa résidence (la ville, le temple) pour foudroyer ses ennemis; câest sa réponse au défi des moqueurs (verset 5; comparez le jugement des profanateurs en Sion Ãsaïe 33:14). Joël parle également de lâÃternel qui rugira de Sion (Joël 3:16).
Pendant quâIsraël infidèle est frappé, Sion (le reste fidèle) voit se multiplier sa population. Ãsaïe la compare à une femme qui va devenir mère (comme Ãsaïe 54:1). Il insiste sur le caractère merveilleux de cet enfantement : au lieu dâêtre lent et douloureux, il sâaccomplit en un instant et sans souffrance; au lieu de ne naître quâà de longs intervalles, les enfants viennent au monde soudain en grand nombre : câest chose inouïe, tout un pays (tout le peuple dâun pays) qui naît en un jour ! Comparez Ãsaïe 26:4-5.
Ce verset oblige à donner un sens collectif au terme : un enfant mâle (verset 7) (grand et fort); câest la personnification de tout le peuple nouveau.
Cet enfantement miraculeux est lâÅuvre de Dieu lui-même. Après avoir préparé et conduit cette Åuvre de grâce jusquâau point où le nouvel Israël est prêt à sortir du sein de lâancien, se pourrait-il quâil ne voulût pas lâachever ?
Les fidèles (verset 5), qui ont si longtemps gémi sur Sion, peuvent et doivent se réjouir de sa prospérité, qui sera le partage de tous ceux qui ont pour elle des sentiments de fils (verset 11 et suivants). Comparez Ãsaïe 51:3; Ãsaïe 65:18.
Après la naissance, lâallaitement; et après ce dernier, les caresses et les consolations (versets 12 et 13).
Comparez Ãsaïe 48:18; Ãsaïe 60:17-18; Ãsaïe 61:6.
Portés sur le côté. Voir Ãsaïe 60:4, note.
Lâimage des nouveau-nés est remplacée par une autre, plus touchante encore : celle dâun homme fort, accablé par la souffrance, et que lâamour maternel relève et console. Dieu, prenant lui-même le rôle dâune mère, console son peuple des peines de lâexil (comparez Ãsaïe 49:13-15).
Comparez Ãsaïe 60:5.
Lâimage est pareille à celles de Ãsaïe 44:4; Ãsaïe 48:2 : la grâce divine leur rendra la vie comme la pluie à lâherbe desséchée (contraste : Ãsaïe 1:30).
Les derniers mots forment la transition à la strophe suivante; par les ennemis il faut entendre non seulement Israël infidèle, mais les rebelles dans tous les peuples; car câest un jugement tout à fait général qui va être décrit (verset 16).
15 à 24 le jugement universel et le rassemblement des fidèles de tout peuple en Sion
Un triage final sâopère parmi les Gentils comme en Israël.
LâÃternel est un guerrier (Ãsaïe 42:13; Ãsaïe 59:17). Son apparition est semblable à lâorage (Ãsaïe 30:27; Ãsaïe 30:30; Ãsaïe 29:6; comparez Psaumes 18:8-16). Les nuées sont son char; lâouragan et le feu (la foudre), les armes avec lesquelles il détruit ses ennemis. Cette description est imitée en partie Jérémie 4:13. Déverser : littéralement rendre ; il paie les idolâtres en feu (Reuss).
Lâépée : trait emprunté à lâimage du guerrier; comparez Ãsaïe 34:5. Ce jugement universel (toute chair) est présenté sous lâimage dâune bataille; les tués de Jéhova jonchent le sol sans nombre. Imitation dans Jérémie 25:31; Jérémie 25:33.
Ce verset fait un effet étrange au milieu de la description du jugement, versets 15 à 18 : on serait tenté avec quelques-uns dây voir une adjonction au texte du prophète. En tous cas, lâidolâtrie ici dépeinte est plutôt celle des Juifs infidèles de lâexil que celle des contemporains dâÃsaïe.
Se sanctifient⦠: pour être initiés aux mystères des idoles (Ãsaïe 65:5).
En imitant celui qui les conduit. Le texte hébreu dit littéralement : après un qui est au milieu. Il sâagit sans doute du hiérophante ou prêtre qui présidait aux rites et conduisait la procession. Dâautres pensent à lâidole, placée au milieu du sanctuaire.
Pour les animaux impurs indiqués ici, voir Ãsaïe 65:4; Lévitique 11:41; Lévitique 11:29. Certaine espèce de souris passait chez les Arabes et chez les Romains pour un mets fort délicat.
Il est nécessaire de suppléer une idée au commencement du verset : Mais moi⦠[je vais juger, ou je connais] â¦leurs Åuvres. Lâémotion de lâauteur, en présence du terrible spectacle du jugement, explique lâomission du verbe; et les deux termes qui se heurtent : moiâ¦leurs Åuvres⦠! sont dâun effet saisissant.
Rassembler toutes les nations: Dieu rassemble des gens de toute nation, afin dâaccomplir son jugement (versets 15 et 16) et de faire éclater ainsi sa gloire au milieu dâelles. Le prophète a devant les yeux le tableau de Joël 3:2; Joël 3:9-17). Zacharie 14:12-14 développe à son tour ces tableaux de Joël et dâÃsaïe et dit expressément que les nations sâassemblent pour combattre contre Jérusalem : elles préparent ainsi elles-mêmes lâaccomplissement du dessein de Dieu, qui est de les frapper sous les murs de la ville sainte (voir au verset 24 et Apocalypse 20:8-9). Comparez aussi Ãsaïe 29:5-7; Ãzéchiel 38:1-23.
Le prodige fait au milieu des peuples est lâacte par lequel Dieu anéantit leurs armées et manifeste sa gloire. Ceux qui échappent au désastre vont en porter la nouvelle et proclamer la puissance de Jéhova parmi les nations, câest-à -dire parmi tous les habitants de la terre qui nâétaient point montés contre Jérusalem. Plusieurs entendent par les réchappés les Israélites sauvés. Ce sens est inadmissible; au milieu dâeux se rapporte évidemment aux peuples rassemblés; leurs ne peut se rapporter à un sujet différent. Au verset 20 ce sont les païens qui ramènent les Juifs; pourquoi ne seraient-ce pas eux aussi qui sâen iraient par tout le monde donner le signal du retour ?
Le prophète mentionne, à titre dâexemples, quelques peuples éloignés : Tarsis, lâEspagne (Ãsaïe 2:16, note).
Pul et Lud : il faut lire plutôt Put et Lud (comme Ãzéchiel 27:10 et ailleurs); comparez Genèse 10:6; Genèse 10:13. Ces noms désignent deux peuples de lâAfrique, voisins de lâÃgypte et habiles tireurs dâarc (Ãzéchiel 30:5; Jérémie 46:9). Put est probablement la Lybie; le nom paraît signifier arc et se présente dans les hiéroglyphes égyptiens sous la forme Phet.
Tubal : les Tybaréniens habitant la côte sud-est de la mer Noire, souvent nommés dans Ãzéchiel.
Javan : les Grecs dâAsie (Ioniens) et dâEurope. Voir Genèse 10:2.
Les îles : lâOccident.
à la nouvelle de cette manifestation de la gloire de Jéhova sous les murs de Jérusalem, tous les peuples y affluent pour lâadorer (Ãsaïe 2:2-4; Ãsaïe 60:4 et suivants); et ils ramènent, avec toute sorte dâhonneurs et par les moyens de locomotion connus du temps dâÃsaïe, les Israélites dispersés parmi eux (vos frères; voyez verset 5). Le plus bel hommage quâils puissent offrir à Jéhova, nâest-ce pas de lui rendre son peuple ? Par une image dâune grande beauté, les Israélites sont comparés à lâoffrande, et les païens aux vases dâhonneur dans lesquelles elle est présentée. Comparez, pour lâimage, lâoffrande que saint Paul fait à Dieu des Gentils sauvés (Romains 15:16).
Il semblait, dâaprès Ãsaïe 61:6, quâIsraël seul dût exercer la sacrificature dans la nouvelle économie. Mais ici le prophète va plus loin. Tout Israël sera prêtre; mais Dieu se choisira en outre des prêtres et des lévites parmi ces païens qui viennent de remplir un office vraiment sacerdotal en lui offrant les restes dâIsraël. On sait que dans lâAncien Testament nul Israélite, sinon les descendants de Lévi et à plus forte raison nul païen ne pouvait être appelé au sacerdoce. Câest donc une ère toute nouvelle quâannonce Ãsaïe : le mur de séparation entre Israël et les Gentils est tombé (Ãphésiens 2:14). Comparez Ãsaïe 56:7; Malachie 1:11.
Quelle sorte de sacrifice seront offerts par ce sacerdoce renouvelé ? Des offrandes spirituelles telles que celles mentionnées Hébreux 13:15; Romains 15:16, des dons en faveur du règne de Dieu (chapitre 60); lâoffrande que chacun fera de sa personne à son service (Romains 12:1).
Lâadmission des païens au sacerdoce suppose que toutes choses ont été faites nouvelles (Ãsaïe 65:16-17). Cet ordre de choses nouveau ne périra pas comme lâancien, non plus que ceux qui y auront part.
Votre postérité et votre nom : il était dit de Babel (Ãsaïe 14:22) : Jâanéantirai le nom et le reste. Comparez Ãsaïe 48:19.
Ãsaïe décrit le culte nouveau dans la nouvelle Jérusalem sous les formes du culte de lâancienne alliance. De même quâIsraël se rassemblait à Jérusalem aux grandes fêtes, toute lâhumanité sây rendra à chaque sabbat et à chaque nouvelle lune (jour sabbatique selon la loi) (Contraste : Ãsaïe 1:13). Comparez lâassemblée sur la montagne de Sion Ãsaïe 4:5-6.
Toute chair : non chacun à chaque sabbat, mais chaque fois des représentants de tous les peuples. Comparez Zacharie 14:16-19; Sophonie 3:9-10. Lâidée dégagée de lâimage, est celle dâun culte permanent offert à Dieu par lâhumanité entière (Ãsaïe 2:2-3). Chaque dimanche qui réunit les croyants autour du trône invisible de leur Père céleste, est un accomplissement de cette prophétie.
La multitude des adorateurs, en sortant de la ville sainte sâen va contempler le champ de bataille, voisin de Jérusalem, où gisent sans sépulture, comme un éternel monument de la justice de Dieu les cadavres des impies (versets 16 et 18). Le prophète fait certainement allusion à lâodieuse vallée de Hinnom (Ãsaïe 30:33). La nouvelle Jérusalem lui apparaît comme lâancienne renouvelée et glorifiée. De même quâil y avait près de celle-ci un lieu maudit, où lâon jetait pour être brûlés les cadavres des malfaiteurs, il place le lieu du supplice éternel aux portes même de la nouvelle Sion. Ce tableau ne peut être pris à la lettre, non plus que les images qui suivent. Le ver qui ne meurt pas (châtiment intérieur) et le feu qui ne sâéteint pas (châtiment extérieur), sont les symboles dâune souffrance sans terme, qui consume le pécheur sans le détruire. Jésus sâapproprie ces images (Marc 9:43-48; comparez Apocalypse 20:10; Apocalypse 20:15; Apocalypse 21:8), tout en dégageant lâidée éternelle de la forme matérielle dont la revêt Ãsaïe. Le nom de géhenne, par lequel il désigne lâenfer, provient de celui de cette vallée de Hinnom (Gué-Hinnom) qui en est le type dans lâAncien Testament.
Ce verset est la reproduction développée du refrain menaçant par lequel le prophète a terminé les deux premiers cycles de cette dernière partie (Ãsaïe 48:22; Ãsaïe 57:21). Comparez aussi le dernier verset du chapitre 1. Câest par cet effrayant tableau que se termine le livre des consolations (Ãsaïe 40:1) : lâÃternel ne cesse pas dâoffrir à tous et surabondamment sa grâce; mais il faut que ceux qui la méprisent sachent à quoi ils sâexposent en la repoussant.
Conclusion
Après avoir étudié en détail le livre dâÃsaïe, essayons dâen résumer les vues principales.
Ces vues, dont lâhistoire a, jusquâici, pleinement confirmé la vérité, seraient-elles le produit de la réflexion dâun pieux israélite, plusieurs siècles avant Jésus-Christ ? Comment méconnaître dans le tableau de la personne du Messie et surtout dans celui de ses souffrances, de sa mort et de son activité royale et sacerdotale après quâil est revenu à la vie, le fruit dâune révélation de Dieu ? Un trait surtout dans ce tableau est inexplicable sans une communication supérieure : câest lâétonnante prévision de lâincrédulité dâIsraël et de la mort du Messie, victime de cette incrédulité. On nâéchappe à la force démonstrative de ce fait que par une exégèse qui détourne les textes de leur sens naturel (voir entre autres le chapitre 53).
Ce phénomène de lâinspiration prophétique atteint évidemment, dans certains moments, un degré particulier dâintensité. Soudain une vue nouvelle, communiquée le plus souvent sous forme de vision, sâempare de lâesprit du prophète; puis elle devient le point de départ de développements plus réfléchis et plus oratoires. Câest comme une illumination subite qui se répand sur un point quelconque de lâavenir, pour se résoudre ensuite en une lumière continue. Il suffit de comparer certains points culminants de la prophétie (comme les chapitres 7, 9, 42, 50, 53, 61, 63), avec ce qui précède et ce qui suit, pour sentir que de tels passages sont le produit immédiat de ces actes dâinspiration les plus absolument divins.