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Sunday, December 22nd, 2024
the Fourth Week of Advent
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Whole Bible (6)
versets 1-39
Joab redoutait d’avoir en Abner un puissant rival auprès de David.
Sira : d’après Josèphe, à moins de quatre kilomètres au nord d’Hébron.
Dans l’intérieur de la porte : voir à 1 Samuel 9:18.
Ensuite : plus tard seulement; car il n’avait pas pris part au complot.
Innocent du sang… L’acte de Joab n’était pas un acte légitime de vendetta, même au point de vue oriental; car Abner avait tué Asaël pour se défendre en plein combat.
Par cette imprécation David voulait se laver de tout soupçon de participation à l’assassinat d’Abner.
Flux : Lévitique 15:2.
Cinq malheurs : impureté, maladie incurable, infirmité, assassinat, indigence.
Et Abisaï : il avait, parait-il, concerté cette vengeance avec son frère.
31 à 39 deuil au sujet d’Abner
Toujours même intention de David de se mettre à l’abri du soupçon d’avoir lui-même provoqué ce meurtre.
Pour le moment, David ne punit pas Joab autrement que par l’obligation humiliante qu’il lui impose de prendre part au deuil.
Cercueil : proprement couche, civière.
En général les rois n’assistaient pas aux funérailles.
Comme meurt un insensé : par surprise, et non de la mort honorable d’un guerrier sur le champ de bataille. On traduit aussi : comme meurt un impie, un méchant.
Tu étais en état de te défendre; tu avais pieds et mains libres !
Devant les assassins. Que dut éprouver Joab en entendant qualifier ainsi son action devant tout le peuple ?
David refuse de prendre part au repas funèbre.
Tout le peuple : rassemblé pour la cérémonie.
Et tout Israël : même les tribus éloignées qui avaient jusqu’alors obéi à Abner. Ainsi David avait atteint son but : on voyait qu’il n’était pour rien dans ce meurtre, bien qu’il eût eu lieu en quelque sorte sous ses yeux et par les mains d’un de ses parents, et qu’il semblât à certains égards conforme à son intérêt politique.
38 et 39
Cette douleur était sincère, car cette mort d’Abner, qui venait de se déclarer pour lui et qui lui ramenait en ce moment même les tribus hostiles, pouvait irriter ces mêmes tribus et les éloigner de nouveau de lui.
Encore faible : son règne n’était point encore affermi en dehors de Juda. On pouvait lui reprocher, s’il était vraiment si affligé de ce meurtre, de ne pas en punir sévèrement les auteurs. David s’excuse en alléguant que, quoique roi, il n’a pas encore le pouvoir d’agir contre des hommes aussi puissants que les chefs de son armée, et en remettant à Dieu le soin de les punir quand et comme il le trouvera bon, peut-être par lui, David, si jamais il peut exécuter cet acte de justice; comparez 1 Rois 2:5-6.