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Sunday, July 20th, 2025
the Week of Proper 11 / Ordinary 16
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Whole Bible (6)
versets 1-22
Si on lie les premiers mots de ce verset au chapitre précédent, ils signifient que les révélations de Dieu, reproduites par Samuel, parvenaient ainsi au peuple entier. Si on les lie à ce qui suit, le sens paraît être que ce fut Samuel qui provoqua le soulèvement dâIsraël contre les Philistins. Dans ce second sens lâissue défavorable de la lutte étonne; cependant il ne faut pas oublier que les crimes des fils dâÃli et la faiblesse de leur père réclamaient un châtiment (1 Samuel 2:30-34). Mais peut-être aussi le texte signifie-t-il simplement que le peuple vit dans la parole prophétique de Samuel un signe du retour de la faveur divine et un gage de victoire, et que ce fut là ce qui lâengagea à se soulever.
Ebénézer. Ce nom se trouve ici par anticipation; il ne fut donné que plus tard (1 Samuel 7:12). La situation de cet endroit est incertaine : dâaprès 1 Samuel 7:5, 1 Samuel 7:11, près de Mitspa de Benjamin à 8 km au nord-ouest de Jérusalem.
Battu par les Philistins. Il est probable que câest le temps où ceux-ci occupaient encore une partie du territoire dâIsraël, comme dans toute la dernière partie du temps des Juges.
Les Anciens. Il nây avait pas de chef unique.
Pourquoi lâÃternelâ¦? Ils ont assez de foi en lâÃternel pour lui attribuer ce coup, mais cette foi est tellement mêlée de superstition quâau lieu de chercher lâÃternel lui-même, ils font dépendre son secours du symbole matériel de sa présence (Jérémie 7:4).
Entre les chérubins : Exode 25:22; Nombres 7:89.
Ces dieux puissants. Ce pluriel provient peut-être de la forme plurielle du mot hébreu Elohim.
Au désert. Le bruit des miracles accomplis lors de la sortie dâÃgypte sâétait répandu chez les peuples dâalentour (Josué 2:10). LâÃgypte est confondue ici avec le désert auquel elle est adjacente.
à côté du chemin. Les Septante traduisent, peut-être dâaprès une autre leçon : Ãli était assis sur son siège près de la route (du sanctuaire), les yeux fixés sur la route.
à cause de lâarche : quâil avait permis au peuple dâemporter, sans avoir consulté Dieu.
Le sanctuaire se trouvait du côté de la ville opposé à celui par où le messager était arrivé.
Nouvelle preuve de la piété dâEli.
Elle suit le fil de sa pensée, verset 20.
Icabod, littéralement : Plus de gloire ! La gloire dâIsraël est la présence de Jéhova, qui semble avoir pris fin avec lâenlèvement de lâarche. Câétait une vraie Israélite que cette femme qui, entre ces deux événements, la naissance dâun fils et sa propre mort, ne pense quâau malheur qui frappe son peuple. Il nây a pas de satisfaction pour elle à mettre au monde un fils dans de telles circonstances.
Et à cause de son beau-père et⦠Par ces mots, lâauteur complète la parole de la mère en ajoutant que la perte simultanée de trois membres de sa famille a aussi contribué à sa mort.
Ici nous avons la citation exacte de la parole de la mourante , la prise de lâarche était sa pensée dominante. Cette parole suppose que le peuple était habitué dès longtemps à voir dans lâarche le centre de sa vie religieuse et nationale.