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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
La Bible Annotée de Neuchâtel La Bible Annotée de Neuchâtel
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Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Proverbs 30". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/commentaries/fre/neu/proverbs-30.html.
bibliography-text="Commentaire sur Proverbs 30". "La Bible Annotée de Neuchâtel". https://studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-33
Plan du commentaire biblique de Proverbes 30
Proverbes 30
Paroles dâAgur
Cette collection, attribuée à un sage dont nous ne connaissons que le nom, diffère sensiblement de ce que nous avons vu jusquâici. Voir Introduction. à côté de rares maximes isolées (versets 10, 17) rappelant le genre des collections déjà étudiées, à côté de doubles distiques (versets 5-6â¯; 32-33) et de groupes plus considérables de versets développant telle ou telle idée spéciale (versets 2-4â¯; 7-9), notre chapitre est en majeure partie composé de proverbes à nombres dont nous nâavons rencontré jusquâici quâun seul exemple (Proverbes 6.16-19).
Verset 1
Nous nous sommes astreints à traduire le texte hébreu tel quel. Mais il présente un sens peu satisfaisant et beaucoup de difficultés.
Paroles dâAgur, fils de Jaké. Dès les plus anciens temps, on a cru devoir prendre ces deux noms pour des désignations figurées. Pas plus que le livre de lâEcclésiaste (Kohéleth) nâa pour auteur un homme qui portât véritablement ce nom, pas plus, pensait-on, il ne faut songer ici à un personnage du nom dâAgur fils dâun nommé Jaké. Ãtymologiquement, Agur signifie le collecteur et Jaké lâhomme pieuxâ¯; notre chapitre aurait donc pour auteur lâun des pieux collecteurs des chapitres précédents.
Câest là de beaucoup la plus raisonnable des explications quâaient données de ces mots les partisans de lâexégèse symbolique. Nous ne voulons point sans nécessité les suivre sur ce terrain. Nous pensons quâAgur, fils de Jaké, était tout simplement un sage israélite, bien probablement, puisquâil semble citer lâAncien Testament (comparez. par exemple, verset 5 et Psaumes 18.31), mais qui ne nous est pas autrement connu.
La sentence (hammassa). Cette expression fait partie du vocabulaire prophétique (2 Rois 9.25â¯; Ãsaïe 13.1â¯; Ãsaïe 15.1â¯; Habakuk 1.1, etc.), et, en tête dâune série de proverbes, résultat de la réflexion dâun sage, paraît suspecte, bien que, dans Proverbes 31.1, les Massorètes semblent lâavoir admise, dans le sens général de sentence. Voir à ce passage. En outre, le mot de sentence, immédiatement avant celui de déclarationâ¯: néoum, a quelque chose de pléonastique. Plusieurs prennent donc le mot de massa comme une désignation géographique. Agur aurait été originaire de Massa, localité du Hauran oriental dâaprès quelques voyageurs, ou plutôt province de lâArabie dâaprès Genèse 25.14, qui cite un Massa parmi les fils dâIsmaël, dâaprès les inscriptions assyriennes, qui parlent dâun pays de Masaï dans lâArabie septentrionale et enfin dâaprès Ptolémée, qui mentionne dans ces mêmes parages des Masanoï. Mais contre la valeur géographique de ce nom, on fait observer que hammassa ne peut point signifier de Massaâ¯; il faudrait pour cela mimmassa ou bien hammassaï, le Massaïte. Pour toutes ces raisons, quelques interprètes se sont demandé, si ce mot embarrassant ne sâétait pas glissé ici par erreur (de Proverbes 31.1).
à notre sens, la seule manière de justifier cette expression, serait dây voir lâindication quâavec la deuxième partie du verset commence déjà la citation de lâouvrage dâAgur et que les motsâ¯: Déclaration de lâhomme, ne sont pas lâapposition des motsâ¯: Paroles dâAgur, mais le titre particulier, du chapitre dâAgur qui va être cité en tout ou en partie. Ce chapitre se serait appelé la sentence, parce quâil aurait renfermé en quelque sorte le programme de tout lâouvrage.
Déclaration de lâhomme à Ithiel, à Ithiel et Ukal. Ceci est ordinairement considéré comme faisant aussi partie de la suscription. Lâhomme serait Agur et Ithiel et Ukal seraient deux de ses disciples, disciples réels qui auraient vraiment porté ces noms (voir pour Ithiel Néhémie 11.7), ou disciples fictifs, dont il faudrait prendre les noms dans leur sens étymologique, Ithiel signifiantâ¯: Dieu est avec moi et Ukalâ¯: Jâai pu (comprendre)â¯; Ithiel, le type des philosophes croyantsâ¯; Ukal, celui des esprits forts (Mais pourquoi répéter Ithiel et en revanche ne pas répéter la préposition à devant Ukalâ¯?). On a aussi quelquefois pris ces deux noms comme sâappliquant à un seul et même personnage, dont le nom complet aurait été Dieu est avec moi et jâai puâ¯! Mais pourquoi ce disciple unique commencerait-il par sâappeler Dieu est avec moi tout courtâ¯? Et surtout, avec, ces diverses interprétations du verset 1, comment rendre compte du car du verset 2â¯? Voilà de quoi rendre cette manière de lire le texte sérieusement suspecte. Il convient, bien probablement, de prendre lâhommeâ¯: hagguéver dans un sens général, au lieu de le rapporter à Agurâ¯: voilà ce que doit déclarer tout homme. Et pour ce qui suit, il suffit de changer quelques voyelles, sans toucher aux consonnes et de lireâ¯: Laïthi, Elâ¯; laïthi, El, va ékel, au lieu deâ¯: Leithiel leïthiel ve Ukal, pour arriver au sens deâ¯: je me suis fatigué, ô Dieuâ¯; je me suis fatigué, ô Dieu et je me suis épuisé, qui prépare très naturellement le verset 2. Avec le deuxième membre du verset 1 commencerait donc déjà la citation de lâouvrage dâAgur. Après bien des recherches infructueuses, ce sage a constaté que lâon ne peut pas arriver par soi-même à la sagesse et que, pour lâhomme, la première chose à faire est de reconnaître les bornes étroites de ses lumières naturelles.
Verset 2
Car je suis plus stupide que personne, littéralementâ¯: Je suis une brute, de façon à nâêtre pas un homme. Agur est sincèrement préoccupé du désir de connaître la vérité, mais il déplore de nâavoir pas une raison capable de déchirer le voile qui lui dérobe la vue des choses cachées en Dieu (Job 11.7-9â¯; Romains 11.33). Voir aussi Socrate disant quâil nâétait sage quâà proportion quâil savait ne rien savoir (Diogène Laërte II, 5-7).
Verset 3
Non seulement je suis dénué de moyens naturels, mais je nâai pas fait dâétudes.
Du Très-Saint. Voir Proverbes 9.10, note.
Verset 4
Ce verset renferme la suite de la déclaration précédente de lâhomme sincère qui nâa pu trouver Dieu aussi pleinement quâil lâaurait désiré. Lâhomme est limité dans ses investigations par sa nature créée elle-mêmeâ¯; et il prétendrait parvenir à une connaissance parfaite de son Créateurâ¯!
La réponse à ces cinq questions est facile à donnerâ¯; aussi celui qui les pose ne la donne-t-il pas. Dieu seul peut monter aux cieux et, de là , descendre pour communiquer avec sa créature (Genèse 28.12), pour juger (Genèse 11.7), pour secourir (Psaumes 18.10)â¯; Dieu seul peut faire souffler et arrêter la vent (Psaumes 104.7)â¯; enfermer lâeau dans les nuages dont il se revêt (Job 26.8) ou la répandre à son gré (Job 38.37). Lui seul a fixé les limites de cette terre qui nous paraît immense (Job 26.7).
Dans ses mains, littéralementâ¯: dans ses deux poings.
Son nomâ¯: le nom qui pourrait faire connaître dans son essence un Ãtre dont les Åuvres elles-mêmes dépassent tellement notre entendement.
Le nom de son fils. Proverbes 8.30, nous avons vu la Sagesse personnifiée collaborer avec Dieu dans lâÅuvre de la création. Ce même ouvrier (dans Proverbes 8.30, le mot amôn, que nous avons rendu par ouvrière, est masculin) est présenté ici comme un fils du Créateur pour bien marquer lâintimité de la relation qui existe entre Dieu et cette puissance médiatrice. Comparez le passage du Rig-Védaâ¯: Qui a vu le Premier-néâ¯? Où était le sang, la vie, lââme du mondeâ¯? Qui est parvenu à demander cela à quelquâun qui lâaurait suâ¯?
Verset 5
Heureusement Dieu a parléâ¯! Il y a un livre de la Loi qui, tout entier, est une révélation aussi certaine que sont incertaines les opinions humaines.
Ãprouvée au feu. Citation de Psaumes 18.31.
Nâajoute rienâ¯: Deutéronome 4.2. Avertissement à lâadresse de la tradition qui chercha et réussit à acquérir en Israël une autorité égale et parfois supérieure à la Loi (Marc 7.13).
Jusquâici probablement sâétend la sentence (verset 1), la déclaration initiale du livre dâAgur. à partir du verset 7, ce sont des proverbes détachés du corps même de son ouvrage.
Verset 7
Deux demandes adressées à Dieu (7-9)
Comparez Job 13.20-21. Câest peut-être lâobjet de la première (fausseté, paroles mensongères, verset 8) qui a fait placer, ce proverbe à la suite du verset 6 (menteur).
Verset 8
Fausseté, littéralementâ¯: chose de néant, vanité. Ce sont les pensées vaines qui naissent dans le cÅur naturel.
Peut-être dans les paroles mensongères faut-il voir celles que lâauteur serait exposé à entendre et auxquelles il pourrait être tenté de prêter lâoreille.
Cette première demande, de nature spirituelle, nâest point motivée, comme le sera la seconde par le verset 9.
Le pain de mon ordinaireâ¯: la nourriture de ma portion, ma ration quotidienne de nourriture (Genèse 47.22).
Verset 9
Renie. Une vie facile favorise lâincrédulité. Comparez Deutéronome 8.14-15â¯; Job 21.14-16.
Et ne porte atteinte au nom de mon Dieu. La pauvreté a aussi ses dangers, mais plutôt pratiques.
Verset 10
Ce distique renferme une pensée unique et sa justification.
Ne calomnie pas. La position dâun esclave est, en elle-même déjà , assez pénibleâ¯: ne lâaggrave pas par des rapports faux ou exagérés. Ce malheureux lancerait contre toi une malédiction méritée et qui, par conséquent, ne serait pas sans effet (Proverbes 26.2). Dans le livre égyptien du Rituel (C. 125) un individu qui plaide devant Osiris, le juge des morts, dit dans sa défenseâ¯: Je nâai pas calomnié un esclave auprès de son maître.
Verset 11
Nous verrons bientôt quatre choses insatiables (verset 15), insondables (verset 18), intolérables (verset 21), petites et prudentes (verset 24), belles à voir (verset 29). Ici, sans que leur nombre soit indiqué, nous avons aussi quatre choses juxtaposées. Leur caractère commun nâest pas non plus expriméâ¯; il est facile à devinerâ¯: ce sont là des sentiments éminemment odieux à lâÃternel.
Cette priamèle se rattache à la sentence précédente par le mot maudit (débuts des versets 10 et 11).
Il est une race⦠Sont-ce les compatriotes et les contemporains de lâauteurâ¯? à chacun de sâexaminer pour voir sâil fait partie dâune société pareille.
Qui maudit son père. Comparez Proverbes 20.20.
Et qui ne bénit pas. Espèce de litote. Dans toute lâÃcriture ne pas faire le bien, câest faire le mal.
Verset 12
Point lavée de sa souillure. Plusieurs pensent que cette souillure consiste à se croire pur (début du verset). Il est plus naturel dây voir en général des péchés, sur lesquels on est aveuglé, en sorte quâon se croit en règle avec Dieu, lors même quâon ne les a pas abandonnés.
Verset 13
Comparez Proverbes 6.17â¯; Ãsaïe 2.11.
La phrase est brisée. On est stupéfait en face de tant dâorgueilâ¯!
Verset 14
Comparez Psaumes 57.5â¯; Psaumes 58.7.
Rapacité qui ne recule devant aucun moyen pour sâemparer du bien dâautrui. Lâcheté qui sâattaque aux gens qui ne peuvent pas se défendre.
Verset 15
La sangsue. Le mot alouka ne se rencontre quâici dans tout lâAncien Testamentâ¯; mais le sens en est suffisamment garanti par lâemploi quâen fait le Talmud, qui dit dans le traité de lâIdolatrieâ¯: Il ne faut boire de lâeau des fleuves ou des étangs ni avec la main, ni directement avec la bouche, par crainte de la alouka.
Deux filles. Ces deux filles ne sont pas indiquées. Le texte ne donne que le mot quâelles sont censées répéter sans cesse. Que chacun indique à son gré deux choses insatiablesâ¯; avec la sangsue, cela fera trois. Moi, semble dire lâauteur, jâen dirai bien quatre, tant il y en aâ¯!
Verset 16
Cette pensée se retrouve, avec plusieurs termes analogues, dans un proverbe hindouâ¯: Le feu nâest jamais rassasié de bois, ni de fleuves lâocéan, ni de vivants la mort, ni dâhommes les femmes aux beaux yeux.
Pour le sépulcre, comparez Proverbes 27.20.
Verset 17
Les yeux sont choisis de préférence à toute autre partie du corps parce que, dâune part, ils sont dâune manière toute particulière le miroir de lââme et que, de lâautre, ils offrent aux becs des corbeaux la proie la plus facile.
Ceci suppose, non pas tant lâexécution sur ce fils dénaturé de la peine édictée Exode 21.17, car dans ce cas il y aurait sépulture, que bien plutôt quelque mort tragique à la fin dâune vie maudite. Lâabsence de sépulture était aux yeux de toute lâantiquité lâinfortune suprême.
Verset 18
Ce proverbe à nombre met en présence quatre actes qui ne laissent pas de traces après eux et qui ne sont pas constatables au premier coup dâÅil par lâhomme. Le vol de lâaigle dans les airs se produit sans que rien nâindique par où a passé ce puissant oiseauâ¯; il en, est de même du serpent qui glisse sur la surface polie dâune roche, du navire dont le sillage disparaît si promptement et du quatrième exemple cité. Et pourtant, que de mystères dans ces mouvements, quâils aient pour théâtre lâair, la terre ou lâeauâ¯! Que de mystères surtout dans la naissance de lâenfantâ¯! Voir Psaumes 139.13-15, où se trouve sur le même sujet la même expression quâici (choses merveilleuses).
Verset 20
Application spéciale à la femme adultère du cas indiqué dans 19. Elle se livre au mal et peut nier la chose. On pense assez généralement que ce verset est une adjonction postérieure destinée à illustrer la ligne précédente.
Verset 21
Quatre choses, intolérables quatre bouleversements qui mettent tout sens dessus dessous là où ils se produisent.
Verset 22
Un esclave qui devint roi commettra des maladresses, ou, pour se venger de son long abaissement, des cruautés.
Un insensé. Quel mal ne fera pas un nabal, un sot, sâil nâest pas obligé de travailler et si une grande fortune lui permet de satisfaire ses goûts vulgairesâ¯?
Verset 23
Qui devient lâépouse préférée et qui peut tout à coup faire expier à ses rivales détrônées ses déceptions et ses amertumes.
Qui supplante sa maîtresseâ¯: hautaine, égoïste, provocante par les grands airs quâelle se donne.
Verset 24
Après quatre créatures humaines, que le succès et la puissance rendent insupportables, quatre animaux qui se distinguent par leur petitesse et leur grande prudence.
Verset 25
Peuple. Les anciens aimaient à se représenter les diverses catégories dâanimaux comme formant des Ãtats distincts (Joël 1.6).
Les fourmis sont engourdies pendant lâhiver, mais il nâen est pas moins vrai que durant lâété elles recueillent des provisions pour la mauvaise saison. Et elles le font avec un ensemble étonnant (Proverbes 6.7-8).
Verset 26
Les gerboises. Voir Lévitique 11.5, note.
Qui placent leur demeure dans le rocher, comme les Kéniens (Nombres 24.21)â¯!
Verset 27
Les sauterelles frappent toujours par leur marche imperturbable (Joël 2.7). On les dirait commandées par un chef redouté.
Sans avoir de roi. Cause de faiblesse, qui correspond aux derniers mots de 25 et de 26.
Verset 28
Que tu prends avec la main. Le lézard aussi est faible et inoffensif, mais, grâce à ce fait, on le laisse profiter de sa souplesse et sâintroduire dans les plus belles demeures.
Verset 29
Dernier proverbe à nombre (29-31)
Quatre choses belles à voir marcher. Ici comme au verset 19, quatre se décompose en 3 + 1.
Verset 30
Le lion, aussi fort que courageux. Voir Ãsaïe 31.4.
Le cheval aux reins bien troussés, élégants et vigoureux. Littéralementâ¯: le solidement ceint quant aux reins, expression qui dépeint très heureusement la courbe souple et forte des flancs dâun cheval de race. On a aussi songé au lévrier, ou en général au chien de chasse. Mais lâAncien Testament, en fait de chien domestique, ne parle que du chien de berger (Job 30.1). Partout ailleurs on ne parle du chien quâavec mépris (Proverbes 26.11â¯; Ãsaïe 66.3).
Ou le bouc. Il semble que par ce ou lâauteur veuille laisser au lecteur la liberté de choisir entre ces divers animaux celui qui lui paraît répondre le mieux à lâidée de la force et de la majesté. Quâon se représente un bouc marchant fièrement à la tête du troupeau.
Et le roi, alkoum immô. On a souvent traduit en faisant de alkoum deux motsâ¯: al koum immôâ¯: Ne pas se lever pour lutter avec luiâ¯; le roi auquel nul ne peut résister. Mais ce serait là une tournure peu conforme aux usages de la langue. Le mieux est de songer, à propos de ce mot qui ne se rencontre quâici, mais qui existe en arabe où il signifie peuple, à une armée en marche.
La morale, si lâon en réclame une, est aisée à tirer, tant pour le peuple que pour le roi.
Verset 32
Dernière parole dâAgur (32-33)
Par folieâ¯: sans avoir à lâavance pensé de quelle manière tu pourrais te faire valoir.
Avec réflexionâ¯: de propos délibéré.
Mets la main sur la boucheâ¯! (Job 21.5). Ne continue pas à parler dans ce sensâ¯! Tu ne manquerais pas de déplaire, dâirriter, de provoquer des contestations, des disputes. Tu en a déjà trop ditâ¯; nâinsiste pas, car la pressionâ¦
Verset 33
Il y a ici entre aph, nez et appaïm, colère, littéralementâ¯: les deux narines, un jeu de mots quâon ne peut rendre en français.