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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique intermédiaire Commentaire biblique intermédiaire
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur Song of Solomon 8". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/commentaries/fre/cbi/song-of-solomon-8.html.
bibliography-text="Commentaire sur Song of Solomon 8". "Commentaire biblique intermédiaire". https://studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-14
Chapitre 8:5-14
Triomphe de lâamour
Les filles de Jérusalem (v. 5)
Qui est celle-ci qui monte du désert, sâappuyant sur son bien-aimé? (v. 5).
Lâépouse désirait pouvoir exprimer ouvertement son amour. Dans cette dernière strophe, son espérance est satisfaite. Elle est vue montant du désert, appuyée sur son bien-aimé, et les filles de Jérusalem sâenquièrent: «Qui est celle-ci?»
Lâépouse avait cherché et trouvé lâépoux. Elle avait connu avec lui une douce mais secrète communion. Maintenant, enfin, elle est manifestée devant le monde en sa compagnie, mais appuyée sur lui. Les errances du désert ont pris fin, devant elle brille la gloire.
Il en sera ainsi dâIsraël, lâépouse terrestre. Le Seigneur lâattirera et lâamènera au désert. Là , il lui parlera au cÅur et quand elle sera restaurée, il dira: «Je te fiancerai à moi pour toujours» (Osée 2:14-23).
Quand le pèlerinage de lâÃglise dans le désert aura lui aussi pris fin, et que les noces de lâAgneau seront venues, elle sera manifestée comme associée avec Christ en gloire, telle une épouse ornée pour son mari. Nous lâexprimons avec joie dans le cantique:
Plus de nuit, plus de distance!
Ton épouse à ton côté,
Reflètera ta puissance
Et ta grâce, et ta beauté.
Fruit de ton amour suprême,
On la verra dans ce jour,
Environnée elle-même
De ton éternel amour.
Le Seigneur agit de la même manière vis-à -vis des croyants. Nous errons et nous tombons mais la grâce nous relève et nous rejette sur Christ, tout comme lâépouse est vue ici sâappuyant sur son bien-aimé. Nous faisons des chutes, comme Pierre, parce que nous comptons sur notre propre amour pour Christ; mais, dans sa grâce compatissante, il nous relève et nous amène à nous appuyer sur son grand amour pour nous.
Quelle heureuse expérience que celle de Jean dont il est dit: «lâun dâentre ses disciples, que Jésus aimait, était à table dans le sein de Jésus» (Jean 13:23). â Avec quelle lenteur nous apprenons la leçon de la dépendance! Reconnaître notre néant et Sa plénitude, notre faiblesse et Sa puissance, et trouver ainsi toutes nos sources en Lui, est une chose difficile à cause de notre orgueil. Ce nâest pas facile dâapprendre que, pécheurs, nous ne pouvons rien apporter à Christ; et que, croyants, nous devons tout recevoir de Lui. Ce sont ses propres paroles: «Séparés de moi, vous ne pouvez rien faire» (Jean 15:5). Sâappuyer, câest lâexpression de la faiblesse qui sâattache à la force. Se pencher sur le sein de Jésus, câest sâappuyer sur lâamour de Celui en qui habite toute la plénitude de la déité corporellement.
Lâépoux (v. 5)
Je tâai réveillée sous le pommier: là ta mère tâa enfantée dans les douleurs, là celle qui tâa enfantée a été en travail (v. 5).
Lâépouse a été amenée dans lâheureuse dépendance de lâamour de lâépoux. Il convient de lui rappeler que toutes ses bénédictions, depuis quâelle a été enfantée en infirmité, elle les doit au bien-aimé.
Nâoublions jamais que nous sommes débiteurs à la grâce de tout ce que nous sommes et de tout ce que nous possédons. Quâil sâagisse dâun croyant tombé qui retrouve la communion et un service public; dâIsraël tombé et rétabli dans une gloire terrestre; ou de lâÃglise ruinée et dispersée, manifestée dans la perfection de la gloire du ciel, tous devront leur position à la grâce souveraine du Seigneur qui nous a réveillés, fait sortir de notre avilissement et associés à lui-même.
Lâépouse (v. 6 à 8)
Mets-moi comme un cachet sur ton cÅur, comme un cachet sur ton bras (v.6).
Appuyée sur son bien-aimé, réalisant que câest à sa grâce quâelle doit son existence, et que plus jamais elle ne pourra se confier dans son propre amour pour lui, elle sâexclame: «Mets-moi comme un cachet sur ton cÅur, comme un cachet sur ton bras».
Le nom des enfants dâIsraël était gravé en ouvrage de lapidaire, en gravure de cachet sur les épaules et la poitrine du grand sacrificateur, figure de Christ (Ex. 28). Ils étaient ainsi constamment portés devant Dieu. Et la bien-aimée désire ici occuper cette place. Il a vraiment une place dans son cÅur, mais la sécurité de lâépouse câest dâen occuper une dans le sien.
Câest la place que Christ lui a donnée, quoique des âmes récemment converties puissent ne pas en être pleinement conscientes. Une âme restaurée peut dire: Je suis en sécurité. Mon nom est sur le cÅur de Christ, jâai une place dans ses affections, mon nom est gravé sur son bras, jâai la protection et lâappui de son bras puissant.
Nous pouvons avoir confiance dans son cÅur et dans son bras, si même nous ne pouvons en avoir aucune dans les nôtres. Nous nâépuiserons jamais lâamour de son cÅur et il nây a pas de limites à la puissance de son bras.
Car lâamour est fort comme la mort, la jalousie, cruelle comme le shéol (v. 6).
Sur lâamour de lâépoux se fonde lâassurance de lâépouse, tout comme lâamour de Christ est la base de notre assurance. Câest un amour éprouvé, fort comme la mort.
La mort tient lâhomme sous sa puissante étreinte; toute force humaine nâest quâun jouet pour elle! Depuis la chute, lâhomme et la mort ont soutenu un combat à outrance, mais la mort a toujours triomphé, jusquâà ce quâenfin lâamour, lâamour divin, soit descendu dans cette sombre vallée et soit entré en conflit avec la mort.
à la croix, lâamour est entré en lutte avec la mort et a triomphé! La mort nâa pu vaincre lâamour de Christ. On peut dire que la mort lui a ôté la vie, mais nâa pu lui ôter son amour. Lâamour a triomphé parce quâil a consenti à mourir, pour pouvoir lâemporter sur la mort. La mort sâest en quelque sorte blessée à mort quand elle lâa fait mourir.
La jalousie est cruelle comme le shéol. Le shéol est impitoyable. Il engloutit le jeune homme, lâêtre le plus cher, le plus aimable ou le plus intelligent. La jalousie est sans pitié contre tout ce qui viendrait sâinterposer entre lâépouse et son époux.
Le Seigneur doit passer avant qui que ce soit: «Celui qui aime père ou mère plus que moi, nâest pas digne de moi» (Matt. 10:37), dit-il. Son amour est si grand quâil ne peut supporter que les affections de son épouse sâaffaiblissent et quâelle sâéloigne de lui. «Moi, le reprends et je châtie tous ceux que jâaime; aie donc du zèle et repens-toi» (Apoc. 3:19). Câest le tendre appel quâil nous adresse tandis quâil nous discipline pour notre profit, afin que nous rejetions tout ce qui lui cause du déplaisir. Il sâest donné lui-même pour nous acquérir. Il est en droit dâattendre que nous lui appartenions sans réserve.
Lâapôtre portait les caractères de Christ et il écrit aux croyants: «je suis jaloux à votre égard dâune jalousie de Dieu; car je vous ai fiancés à un seul mari, pour vous présenter au Christ comme une vierge chaste» (2 Cor. 11:2). Son amour pour le Seigneur et son amour pour les saints lâavaient rendu jaloux à la pensée que quelquâun ou quelque chose pût venir sâinterposer entre Christ et eux. Il nâavait aucune pitié pour celui qui, par de fausses doctrines, aurait voulu séduire les saints, et les éloigner de lui. «Quand nous-mêmes, ou quand un ange venu du ciel vous évangéliserait outre ce que nous vous avons évangélisé, quâil soit anathème», dit-il par ailleurs (Gal. 1:8). Telle est la caractéristique dâun amour jaloux.
Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de Jah (v. 6).
Lâamour porte en lui un feu consumant. Tel était lâamour du Sauveur qui ne pouvait supporter aucun déshonneur jeté sur le nom du Père. Quand il chasse les changeurs du temple, les disciples se souviennent quâil est écrit de lui, «le zèle de ta maison mâa dévoré» (Ps. 69:10).
Nâest-ce pas aussi la flamme impétueuse de cet amour qui soutenait Paul tout au long de sa vie remarquable? Il se dépensait et il était entièrement dépensé pour les saints (2 Cor. 12:15), quittant maison et bien-être, affrontant faim et soif, froid et nudité, périls, persécution et mort, sous lâétreinte de lâamour de Christ (2 Cor. 5:14).
Ce zèle a dévoré la grande cohorte des martyrs et des saints persécutés. La flamme de lâamour qui brûlait dans leurs cÅurs triomphait de celle des bûchers qui consumait leurs corps.
Beaucoup dâeaux ne peuvent éteindre lâamour, et des fleuves ne le submergent pas (v. 7).
Rien ne peut éteindre lâamour divin. Le Seigneur Jésus a affronté beaucoup dâeaux, mais elles ne purent éteindre son amour. Il a bravé les fleuves, mais ils nâont pu submerger son amour. à la croix «les fleuves ont élevé leur voix» (Ps. 93:3), mais ce ne fut que pour démontrer que lâamour divin est plus puissant que le bruit de beaucoup dâeaux. Là «les cordeaux de la mort mâont environné, et les torrents de Bélial mâont fait peur» dit le Seigneur (Ps. 18:5). Ils ne purent faire céder son amour. «Les eaux me sont entrées jusque dans lââme» (Ps. 69:2) déclare-t-il, mais elles ne purent submerger lâamour qui était dans son cÅur.
Toutes les vagues et tous les flots de Dieu sont passés sur lui (Jonas 2:4) sans éteindre son amour pour son épouse.
Son amour a triomphé et demeure. Nous pouvons chanter à juste titre: «à celui qui nous aime, et qui nous a lavés de nos péchés dans son sang... à lui la gloire et la force aux siècles des siècles! Amen» (Apoc. 1:5-6).
Si un homme donnait tous les biens de sa maison pour lâamour, on lâaurait en profond mépris (v. 7).
Lâamour ne sâachète pas. Christ, il est vrai, a donné pour ainsi dire tous les biens de sa maison. Il a abandonné royaumes, trônes et couronnes, mais il a donné plus encore: «Jésus, qui sâest donné lui-même» (1 Tim. 2:6). Il a ainsi apporté la preuve de son immense amour, car «personne nâa un plus grand amour que celui-ci, quâil laisse sa vie pour ses amis» (Jean 15:13). Et en retour de cet amour, Il sâattend à être aimé. Rien ne peut satisfaire lâamour de son cÅur, sinon celui de nos cÅurs. Nous pouvons offrir le travail de nos mains, notre argent, nos Åuvres de charité et même nos corps pour être brûlés, mais si lâamour fait défaut, tout cela sera sans valeur, méprisable.
Lâamour de Christ fait naître lâamour. «Nous, nous lâaimons parce que lui nous a aimés le premier» (1 Jean 4:19).
Tel est lâamour dont nous sommes aimés:
Nous avons une petite sÅur, et elle nâa pas encore de seins. Que ferons-nous pour notre sÅur au jour quâon parlera dâelle? (v. 8).
Restaurée, heureuse dans lâamour de lâépoux, lâépouse est libre pour penser à la bénédiction des autres.
Si dâabord lâépouse représente le peuple terrestre de Dieu, les Juifs restaurés et amenés dans la bénédiction par Christ, la petite sÅur est une figure probable dâÃphraïm ou des dix tribus. Ils seront, nous le savons, amenés à goûter la même bénédiction, mais en passant par des expériences différentes. Leurs affections pour Christ ne se seront pas développées par les épreuves que les autres Juifs ont traversées et traversent encore. Mais pour Ãphraïm aussi, le jour favorable est proche, le jour où lâon parlera de cette «petite sÅur».
Que fera-t-on pour elle alors?
Lâépoux (v.9)
Si elle est une muraille, nous bâtirons sur elle une demeure dâargent; et si elle est une porte, nous la fermerons avec une planche de cèdre (v.9).
Nous avons ici la réponse. Quand Israël sera à nouveau établi sur un fondement solide, comme une muraille, il sera un monument de la grâce rédemptrice: «Nous bâtirons sur elle une demeure dâargent». Quand il deviendra une porte, câest-à -dire quand son cÅur sâouvrira à Christ, il sera lâobjet de sa protection et de sa sollicitude: «Nous la fermerons avec une planche de cèdre».
Ces principes ne peuvent-ils pas sâappliquer à bien des personnes dont les affections pour Christ, comme dans le cas dâÃphraïm (Jér. 31), nâont pas trouvé lâoccasion de se développer? Combien nombreux, hélas, sont ceux qui ressemblent à la petite sÅur du Cantique! Leur vie peut être, extérieurement, correcte. Aucun écart grave ne saurait leur être imputé. Ils nâont jamais erré comme lâépouse, les gardes ne leur ont jamais ôté leur voile, ne les ont jamais frappés. Ils nâont pas suivi quelque sombre vallée pour apprendre à se connaître et nâont pas gravi les sommets de lâAmana ou de lâHermon pour apprendre de quel amour est rempli le cÅur de Christ. Leurs affections se ressentent de ce manque de connaissance pratique de Christ.
Que doit-on faire pour eux? Ils ont besoin dâêtre fermement établis dans leurs relations avec le Seigneur et leurs cÅurs doivent sâouvrir à lui. Ils deviendront ainsi vraiment des témoins de sa grâce rédemptrice pour leur entourage, et leurs cÅurs seront un jardin clos pour Christ.
Lâépouse (v. 10 à 12)
Je suis une muraille, et mes seins sont des tours; je fus alors à ses yeux comme celle qui a trouvé la paix (v. 10).
Par grâce lâépouse peut dire: «je suis une muraille». Fermement établie dans ses relations avec lâépoux, son affection est le secret de sa force et la mesure de son témoignage devant les autres.
Une tour est un lieu de refuge et un point de repère pour dâautres. Le croyant, dont les affections ont été attirées vers Christ, est quelquâun qui a vraiment trouvé la paix. Marie, amenée par ses affections à se reposer aux pieds du Seigneur, était une personne qui à Ses yeux avait vraiment trouvé la paix, une paix quâil ne permettait pas que lâon trouble. «Marie a choisi la bonne part qui ne lui sera pas ôtée» (Luc 10:42).
Salomon avait une vigne à Baal-Hamon: il remit la vigne à des gardiens; chacun devait apporter pour son fruit mille pièces dâargent (v. 11).
Baal-Hamon signifie «maître dâune multitude». Ce passage anticipe le temps où Christ, le vrai Salomon, règnera sur toutes les nations. La terre deviendra une vigne féconde. Les rois sur la terre seront les gardiens de la vigne, ils jouiront des fruits mais ils seront soumis à Christ. Ils paieront le tribut, apportant pour ainsi dire mille pièces dâargent.
Ma vigne, qui est à moi, est devant moi. à toi, Salomon, les mille pièces; et deux cents pour ceux qui en gardent le fruit (v. 12).
Lâépouse a sa propre vigne. Israël restauré aura une place spéciale et ce peuple aussi, admettra joyeusement son assujettissement à Christ. Mais lorsquâil reconnaîtra que tout appartient à Christ, la bénédiction coulera aussi vers dâautres. Tandis que Salomon reçoit mille pièces, les autres en obtiennent deux cents. Le parfum de grand prix, contenu dans le vase de Marie, fut entièrement répandu sur Christ, mais dâautres aussi purent lâapprécier puisque «la maison fut remplie de lâodeur du parfum» (Jean 12:3).
Lââme qui a fait lâexpérience des sombres vallées et des sommets montagneux, des errances dans la ville et des délices du jardin, est amenée à se reposer sur lâamour éternel de Christ (v. 5). Elle en connaît un peu la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur (v. 6). Elle pense maintenant aux autres (v. 8, 9), reconnaît joyeusement que Christ aura lâautorité universelle (v. 10, 11) et elle tient en même temps tous ses biens à sa disposition (v. 12). Tel est le triomphe de lâamour de Christ.
Lâépoux (v. 13)
Habitante des jardins, les compagnons sont attentifs à ta voix! Fais que je lâentende! (v. 13).
Pour la dernière fois, lâépoux fait entendre sa voix. Il trouve ses délices à reconnaître ce que son amour a produit. Les égarements de lâépouse appartiennent au passé, lâamour lâa conduite à habiter les jardins.
Quel bonheur quand, attirés par lâamour de Jésus, nous trouvons notre portion loin du monde, dans la compagnie des siens, dans le jardin du Seigneur. Ce nâest que de cette heureuse place que nous pouvons rendre vraiment témoignage aux autres. Mais il ne suffit pas au Seigneur que dâautres puissent entendre notre voix, comme témoins dans le sentier du Témoignage. Il désire lui-même entendre notre voix, comme adorateurs.
Immédiatement lâépouse répond, exprimant son ardent désir.
Lâépouse (v. 14)
Fuis, mon bien-aimé, et sois semblable à une gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes des aromates (v. 14).
Le désir de lâépoux est satisfait. Il entend avec joie lâépouse dire: «Fuis, mon bien-aimé». De telles paroles montrent clairement que lâamour a fait son travail dans le cÅur de lâépouse. Il est rempli maintenant dâun amour que seule la présence de lâépoux peut satisfaire, que seul son retour peut combler.
Lâamour nous a aussi pris en charge, a supporté patiemment tous nos égarements, a restauré nos âmes, réveillé nos affections languissantes. Nous sommes dans la compagnie de Christ, dans son jardin, et là il nous ouvre les trésors de lâamour et nous fait savoir que notre Bien-aimé va venir nous prendre. Le travail de lâamour dans nos cÅurs est achevé quand, en réponse à Sa parole, «Oui, je viens bientôt», Il entend les siens répondre: «Amen; viens, Seigneur Jésus» (Apoc. 22:20)!
Mais à travers larmes et peines
Ta voix nous arrive dâen haut,
Prélude aux délices prochaines,
Nous redisant: «Je viens bientôt».
Et, cri dâamour et dâespérance,
La réponse de tes élus
Par lâEsprit Saint vers Toi sâélance:
«Amen, oh viens, Seigneur Jésus»!