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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Bible Commentaries
Commentaire biblique avancé Commentaire biblique avancé
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 2 Corinthians 12". "Commentaire biblique avancé". https://studylight.org/commentaries/fre/cba/2-corinthians-12.html.
bibliography-text="Commentaire sur 2 Corinthians 12". "Commentaire biblique avancé". https://studylight.org/
Whole Bible (6)New Testament (1)
versets 1-21
Ch. 12 v. 1-6 â La gloire de Paul dans ce quâil a reçu spécialement dans le ciel
[12:1] Faut-il quâil se glorifie ?⦠â Il nây trouve aucun profit. Il en viendrait à parler de ce dont un homme â comme dans la chair â ne pouvait se glorifier. Câétait lâeffet de la puissance souveraine de Dieu, dans laquelle lâhomme nâentrait pour rien. [12:2] Câétait dâun homme en Christ quâil parlait. Un tel homme avait été ravi au troisième ciel, [12:4] dans le paradis; [12:2] était-ce dans le corps, ou hors du corps, Paul ne le savait pas. Le corps nâavait aucune part à ce quâil avait réalisé. [12:5] Dâêtre un tel homme, Paul pouvait se glorifier. Ce qui lâélevait sur la terre, il le laissait de côté; ce qui le faisait monter dans le ciel, ce qui lui donnait une part dans le ciel, ce quâil était « en Christ », était sa gloire, la joie de son coeur, la portion dont il se glorifiait volontiers. Heureux serviteur, dont la portion en Christ était telle quâen y pensant, il était content dâoublier tout ce qui pouvait lâexalter comme homme, comme il dit ailleurs à lâégard de son espérance, « afin que je gagne Christ » [(Phil. 3:8)]. [12:4] Lâhomme, le corps, nâentraient pour rien dans une puissance quâon ne pouvait goûter à moins dâêtre ravi dans le ciel; [12:5] mais câétait « dâun tel » que Paul voulait se glorifier : [12:4] là , où Dieu et sa gloire sont tout, [12:3] séparé de son corps quant à la conscience de son existence dans ce corps, [12:4] il a entendu des choses dans lesquelles les hommes dans le corps nâétaient pas capables dâentrer, et quâil ne convenait pas à un homme mortel dâénoncer, des choses que le mode dâexistence dâun homme dans le corps ne comportait pas. Ces choses avaient produit lâimpression la plus profonde sur lâapôtre; elles le fortifiaient pour le ministère, mais ne pouvaient pas être introduites dans la manière de comprendre et de communiquer qui tient à la condition de lâhomme ici-bas.
Ch. 12 v. 7 â Lâorgueil incorrigible de la chair doit être anéanti
La chair doit être bridée pour ne pas sâenorgueillir dâavoir été dans la présence de Dieu
Mais bien des leçons pratiques se rattachent à cette grâce merveilleuse qui a été faite à lâapôtre. Je dis une grâce merveilleuse, car en effet, on sent quel a dû être le ministère de celui qui tirait dâune telle position sa force et sa manière de voir et de juger. Quelle mission extraordinaire que celle de cet apôtre ! [4:7] Mais il avait le trésor dans un vase dâargile. [12:7] Rien ne corrige la chair. Une fois revenu à la conscience de son existence humaine sur la terre, la chair de lâapôtre aurait voulu tirer avantage de la faveur dont il avait joui, pour lâélever à ses propres yeux, pour dire : « Personne que toi, Paul, nâa été au troisième ciel ». Ãtre près de Dieu dans la gloire, comme hors du corps, nâélève pas. Tout est Christ et Christ est tout : le moi est oublié.
est une autre chose. La présence de Dieu nous fait sentir notre néant. La chair peut se prévaloir de ce que nous avons été là quand nous nây sommes plus. Hélas ! quâest-ce que lâhomme ? Mais Dieu veille; dans sa grâce, il pourvoit au danger où se trouve son pauvre serviteur. Lâavoir ravi jusquâà un quatrième ciel, pour parler ainsi, nâaurait fait quâaugmenter le danger. Impossible de corriger la chair. La présence de Dieu la fait taire; mais la chair se vantera dâavoir été dans cette présence lorsquâelle nây sera plus. Pour marcher en sûreté, il faut que la chair soit tenue en échec, telle quâelle est. Nous avons à nous tenir pour morts, mais la chair a souvent besoin dâêtre bridée pour que le coeur ne soit pas éloigné de Dieu par son moyen, et pour quâelle nâentrave pas notre marche, ni ne gâte notre témoignage. Paul a reçu une écharde dans la chair, de peur quâil ne sâélevât à cause de lâabondance des révélations quâil avait reçues. Nous savons par lâépître aux Galates que cette écharde était quelque chose qui tendait à rendre lâapôtre méprisable dans sa prédication [(Gal. 4:13-14)], et était ainsi un contrepoids intelligible à ces révélations remarquables.Dieu utilise Satan pour humilier la chair
[12:7] Dieu a laissé à Satan la tâche dâaffliger ainsi lâapôtre, de même quâil sâest servi de lui pour lâhumiliation de Job [(Job 1:12; 2:6)]. Quelles que soient les grâces qui nous sont accordées, il faut passer par les exercices ordinaires de la foi personnelle, exercices dans lesquels seulement le coeur marche en sûreté, lorsque la chair est bridée et annulée dans le sens pratique, de sorte que nous nâen ayons pas conscience, comme active en nous, quand nous voulons être tout à Dieu, et penser à Lui et avec Lui selon notre mesure.
Ch. 12 v. 7-10 â Le dépouillement de soi-même
Le dépouillement préventif fait réaliser ce quâest la chair
[12:8] Trois fois, comme le Seigneur à lâégard de la coupe quâil a dû boire [(Matt. 26:44)], lâapôtre Lui demande que lâécharde soit ôtée; [12:9] mais la vie divine se forme dans le dépouillement de soi-même, et, dans notre état dâimperfection, ce dépouillement en pratique (comme vérité, il a déjà eu lieu quand nous regardons à notre position en Christ) sâopère en nous rendant conscients de lâhumiliante vérité que cette chair, que nous aimons à gratifier, est impropre pour la présence de Dieu et pour le service auquel nous sommes appelés. Nous sommes heureux si ce dépouillement sâopère par des voies préventives, et non par lâhumiliation dâune chute, ainsi que cela a eu lieu pour Pierre. La différence est claire. Chez Pierre, la confiance en soi-même se mêlait avec la volonté propre, malgré les avertissements du Seigneur. [12:7] Chez Paul, quoique son danger vînt de la chair, les révélations qui lui avaient été faites en étaient lâoccasion. [12:10] Si nous apprenons, dans la présence de Dieu, à connaître la tendance de la chair, nous en sortons humbles et nous échappons à lâhumiliation; [12:7] mais en général (et à quelques égards nous pouvons dire tous) nous avons à faire lâexpérience des révélations qui nous élèvent à Dieu en quelque mesure que ce soit; et il faut faire lâexpérience de ce quâest le vase dans lequel le trésor de ces révélations est contenu, par la peine quâil nous donne à cause de la conscience de ce quâil est â je ne dis pas par des chutes.
La discipline pour annuler la chair se lie aux souffrances pour Christ
[12:10] Dieu, dans son gouvernement, sait comment réunir les souffrances pour Christ et la discipline de la chair dans la même circonstance, ce qui explique Héb. 12:1-11. Lâapôtre prêchait; sâil était méprisé dans sa prédication, câétait bien pour le Seigneur quâil souffrait; [12:7] toutefois, ce qui le faisait souffrir disciplinait la chair, et empêchait lâapôtre de sâenorgueillir des révélations dont il jouissait et de la puissance qui en résultait, et avec laquelle il exposait la vérité. Dans la présence de Dieu, dans le troisième ciel, Paul sentait bien que lâhomme nâétait rien, et Christ tout. [12:9] Il devait acquérir lâexpérience pratique de la même chose ici-bas. Il faut que la chair soit annulée, là où elle nâest pas nulle, par le sentiment expérimental du mal qui est en elle, et elle doit devenir ainsi, dâune manière consciente, nulle dans lâexpérience personnelle de ce quâelle est. Car quâétait la chair de Paul â qui ne faisait que lâentraver moralement dans son oeuvre en lâéloignant de Dieu â sinon un compagnon gênant dans son travail ? La suppression de la chair sentie et jugée était un exercice très profitable pour le coeur.
La puissance divine et lâinfirmité de la chair
La gloire est dans ce qui est de Dieu, non de lâhomme qui doit être anéanti
[12:2] Remarquez ici lâheureuse position de lâapôtre, comme ravi au troisième ciel. [12:5] Il pouvait se glorifier dâun tel homme, parce que le moi était entièrement perdu dans les choses avec lesquelles il était en relation. Il ne se glorifiait pas simplement dans les choses; il ne dit pas non plus : « en moi ». [12:4] Le moi était complètement perdu de vue dans la jouissance des choses ineffables que lâhomme ne pouvait exprimer quand il rentrait dans la conscience du moi. [12:5] Il se glorifiait dâun tel homme; mais en lui-même, vu dans la chair, il ne se glorifiait pas, sinon dans ses infirmités. Dâun autre côté, nâest-il pas humiliant de penser que celui qui avait joui dâune révélation si glorieuse, a dû faire lâexpérience pénible de ce quâest la chair, méchante, méprisable et égoïste.
Le contraste entre la perfection de Christ et le serviteur le plus remarquable
Remarquez aussi la différence quâil y a entre Christ et quelque homme que ce soit. Christ a pu se trouver sur la montagne, en gloire, avec Moïse, et être reconnu Fils par le Père lui-même, et ensuite se trouver dans la plaine en présence de Satan et de la multitude [(Matt. 17)]; quoique les scènes soient différentes, il est également parfait dans toutes deux. On trouve dâadmirables affections dans les apôtres, et en Paul, particulièrement, on trouve des oeuvres, comme Jésus lâavait dit, plus grandes que les siennes [(Jean 14:12)]; on trouve chez Paul des exercices de coeur, et dâétonnantes hauteurs par grâce; on voit, en un mot, une puissance merveilleuse développée par le Saint Esprit dans ce remarquable serviteur de Jésus, mais on ne trouve pas chez lui cette égalité constante qui était en Christ. Jésus était le Fils de lâhomme qui est dans le ciel. Ceux qui sont tels que Paul sont des cordes que Dieu touche et sur lesquelles il produit une musique merveilleuse, mais Christ est la musique elle-même.
Christ déploie sa puissance dans la faiblesse de lâhomme
[12:9] Enfin remarquez que Christ se sert de lâhumiliation nécessaire pour réduire la chair rebelle à son vrai néant, afin de déployer sa puissance dans lâinfirmité du vase. Ainsi humilié, nous apprenons notre dépendance. Tout ce qui est de nous, tout ce qui constitue le moi est une entrave; lâinfirmité est ce en quoi le moi est abaissé, humilié, et où la faiblesse est réalisée. La puissance de Christ sâaccomplit dans cette infirmité. Cela est un principe général. Humainement parlant, la croix était la faiblesse; la mort est lâopposé de la force de lâhomme; toutefois câest en elle que la force de Christ sâest révélée; câest en elle quâil a accompli lâoeuvre glorieuse du salut.
La force du ministère sâaccomplit dans lâinfirmité du serviteur
[12:9] Quand il est question ici dâinfirmité, il ne sâagit pas du péché dans la chair, mais de ce qui est le contraire de la force de lâhomme. Christ ne sâest jamais appuyé un instant sur la force humaine; il vivait à cause du Père (voyez Jean 6:57) qui lâavait envoyé. La puissance du Saint Esprit seule se déployait en Lui. [12:7] Paul avait besoin que sa chair fût réduite à la faiblesse, afin quâil nây eût pas en elle le mouvement du péché qui lui était naturel. [12:9] Quand la chair a été réduite à sa vraie incapacité pour ce qui regarde le bien, et cela dâune manière évidente, alors Christ peut y déployer sa force. Cette force a ainsi son vrai caractère; et remarquez-le bien, câest là toujours son caractère, « la force qui sâaccomplit dans lâinfirmité ». [12:5] Le bienheureux apôtre pouvait se glorifier dâun homme en Christ dans le ciel, jouissant de toute cette béatitude, de ces choses merveilleuses qui excluent le moi, tant elles sont au-dessus de ce que nous sommes. [12:2] En en jouissant, Paul nâavait pas la conscience de lâexistence de son corps. [12:4] Lorsquâil en est de nouveau conscient, ce quâil avait entendu ne pouvait se traduire dans ces communications qui avaient le corps comme instrument et des oreilles dâhomme, comme moyen dâintelligence. [12:5] Paul se glorifiait de cet homme en Christ dans le ciel. [12:9] Ici-bas, il ne se glorifiait quâen Christ lui-même et dans cette infirmité qui était lâoccasion que la puissance de Christ reposât sur lui, et qui était aussi la démonstration que cette puissance était celle de Christ, que Christ faisait de lui le vase de la manifestation de la puissance. [12:10] Or cela se réalisait par de pénibles expériences. [12:2] Dâabord il y a lâhomme en Christ, [12:9] ensuite la puissance de Christ reposant sur lâhomme. Pour le premier, lâhomme quant à la chair, est néant; quant au second, la chair est jugée et abaissée â devenue faiblesse afin que nous apprenions ce quâelle est, et que la puissance de Christ soit manifestée. Il y a une impulsion, une ineffable source de ministère dans le ciel. [12:10] La force est introduite dans lâhumiliation de lâhomme tel quâil est dans ce monde, quand lâhomme est réduit à néant â sa vraie valeur dans les choses divines â et que Christ déploie en lui cette force qui ne saurait sâassocier à celle de lâhomme, ni en dépendre de quelque manière que ce soit. Si lâinstrument était faible, comme on lâalléguait, la puissance qui avait opéré devait avoir été, non la sienne, mais celle de Christ.
La force pratique du ministère dans lâhomme
Ainsi, de même quâau commencement de lâépître, nous avons eu les vraies caractéristiques du ministère par rapport aux objets qui lui donnent ces caractères [(ch. 5)], [12:9] nous trouvons ici sa force pratique, en rapport avec le vase dans lequel le témoignage et la source de cette force étaient déposés; [12:4] nous apprenons comment ce ministère sâexerçait en mettant un homme mortel en communication avec les sources ineffables dont le ministère lui-même découlait, [12:9] et en même temps avec lâénergie vivante, présente et active de Christ, de sorte que lâhomme fût capable de lâexercer, [12:10] et que ce ne fût pas lui, cependant, qui accomplit la tâche dans sa force charnelle, chose dâailleurs impossible en soi1.
1 Ce chapitre est tout à fait frappant. Nous y voyons le chrétien dans la plus haute et dans la plus basse condition; dans le troisième ciel [(12:2)], et dans la bassesse du péché effectif. [12:2] Dâabord un homme en Christ (ce qui est vrai de nous tous en position, sinon en vision), [12:5] lâapôtre se glorifie dâun tel homme, et nous avons le droit de nous glorifier â câest-à -dire dâun homme en Christ. [12:7] Quant à ce quâil est en lui-même, il doit être réduit à lâabsolu néant. [12:5] Mais se glorifier dâun homme en Christ, [12:7] ou être fait néant dans la chair, nâest pas la puissance. La dernière chose est le sentier pour y arriver. [12:9] Mais alors nâétant rien, la puissance de Christ est avec cet homme, repose sur lui, et là se trouve la force pour le service; lâhomme en Christ est sa propre place â Christ en lâhomme, ou sa puissance sur lui est sa force pour servir. De sorte que nous avons ce quâil y a de plus élevé dans ce que lâon conçoit de lâEsprit, ce quâil y a de plus bas dans les manquements de la chair et le chemin de la puissance en réduisant la chair à néant; la puissance de Christ étant avec nous, la puissance pratique, tandis que nous sommes dans le corps. Mais il y a le sentiment de la faiblesse, le manque de proportion entre ce que nous sommes quant au vase de terre, et ce qui est administré et dont on jouit. Ce nâest pas simplement ce qui est mal, mais le vase de terre dans lequel est le trésor [(4:7)].
Ch. 12 v. 11-18 â Paul doit sâabaisser aux pensées terrestres des Corinthiens
[12:10] Lâapôtre donc se glorifiait dans ses infirmités et dans ses souffrances. [12:11] Il avait dû parler en insensé : ceux qui auraient dû eux-mêmes proclamer lâexcellence de son ministère, lâavaient forcé de le faire. [12:12] Câétait au milieu dâeux que toutes les preuves les plus frappantes dâun ministère apostolique avaient été données. [12:13] Si, en quelque chose, ceux auxquels il sâadressait avaient été en arrière dâautres assemblées à lâégard des preuves de son apostolat, câest quâils nâavaient contribué en rien à lâentretien de lâapôtre. [12:14] Il allait de nouveau se rendre au milieu dâeux, et
preuve manquerait encore. [12:15] Paul était disposé à se dépenser pour les Corinthiens comme un bon père, lors même quâaimant plus, il était moins aimé. [12:16] Pouvait-on dire peut-être quâil avait bien gardé les apparences en ne prenant rien lui-même, [12:17] mais quâil avait pris soin de se dédommager en se servant de Tite pour profiter de leur libéralité par son moyen ? [12:18] Mais non; les Corinthiens savaient bien que Tite avait marché au milieu dâeux dans le même esprit que lâapôtre. Triste besogne, quand un coeur au-dessus de ces tristes motifs et de ces manières de juger et dâestimer les choses et tout pénétré des motifs divins et glorieux de Christ, est forcé de sâabaisser à ceux qui occupent les coeurs égoïstes des personnes auxquelles il a à faire, de coeurs qui sont au niveau des motifs qui animent et gouvernent le monde qui les entoure ! Mais lâamour doit tout supporter [(1 Cor. 13:7)], et penser pour les autres, sâil ne peut pas penser avec eux, ni eux avec lui.Ch. 12 v. 19-21 â Paul craignait que plusieurs Corinthiens ne marchent encore dans le mal
[12:19] Est-ce donc que lâapôtre prenait les Corinthiens pour juges de sa conduite ? Il parlait devant Dieu en Christ, [12:20] et craignait seulement quâil ne trouvât encore, quand il arriverait, beaucoup de ceux qui professaient le nom de Christ, marchant comme le monde dâiniquité qui les entourait; [12:21] il craignait quâil ne fût humilié au milieu dâeux, et quâil nâeût à sâaffliger à lâégard de beaucoup de personnes qui, ayant déjà péché, ne se seraient pas repenties de leurs péchés.