Lectionary Calendar
Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
video advertismenet
advertisement
advertisement
advertisement
Attention!
Take your personal ministry to the Next Level by helping StudyLight build churches and supporting pastors in Uganda.
Click here to join the effort!
Click here to join the effort!
Whole Bible (5)
versets 1-17
42.7-19 Lâépilogue
Après les paroles sévères de Dieu et lâhumble rétractation de Job, on pourrait sâattendre à ce quâune peine fût infligée à ce dernier. Mais non ! Ces paroles sont une punition suffisante, et cela dâautant plus quâelles ont produit chez Job un fruit précieux dâhumiliation et une déclaration de confiance absolue en la justice de Dieu. Rien donc ne sâoppose plus à ce que lâÃternel, qui a trouvé en lui un adorateur parfaitement désintéressé, lui témoigne de nouveau toute sa faveur. Ce sont ses amis, au contraire, qui vont être les objets du déplaisir divin. Dieu veut bien leur pardonner, sâils offrent un holocauste; mais il ne le fera que par égard pour Job et à la demande expresse de celui-ci.
On peut dire que maintenant le drame est arrivé à son terme. Lâintrigue sâil est permis de parler ainsi, est dénouée. Les événements reprennent un cours naturel et lâauteur quitte la forme poétique pour en revenir à la prose, comme dans le Prologue et Job 32:1-6.
à Ãliphaz : qui, le premier avait répondu à Job.
Vous nâavez pas parlé selon la vérité⦠Job a eu des propos inconsidérés et des jugements précipités, mais, sur le fond de la question, il a seul été dans le vrai. Les amis avaient eu tort : Dieu ne punissait pas Job, et toute souffrance nâest pas un châtiment.
Comme mon serviteur Job : comme lâa fait mon serviteur Job, et non pas : autant que mon serviteur Job, comme sâil nây avait quâune différence de degré entre lui et ses amis.
à remarquer aussi dans ces versets la quadruple répétition de lâexpression : mon serviteur.
Sept taureaux et sept béliers : sacrifice considérable, car leur faute est grande (Nombres 23:1, note).
Job, en priant pour ses amis (littéralement : pour son ami : Ãliphaz, verset 7; ou bien : pour son prochain), avant même dâêtre lui-même guéri, donne une nouvelle preuve du désintéressement de sa piété (Job 1:9). Ce nâest que pendant sa prière, au moment où il ajoute la charité à la foi, quâil est délivré de sa terrible épreuve.
Donna à Job le double (verset 12) : peu à peu, et non pas en une fois.
11 Ã 17
Tous les termes du récit montrent que nous avons ici une sorte de parabole poétique, comme nous lâavons dit; lâhistoire de Job a évidemment un fond réel; mais le poète sâen est emparé pour nous donner, au sujet de cette histoire, lâenseignement quâil nous destinait.
Ceux qui lâavaient abandonné dans son malheur (Job 19:13; Job 12:4), reviennent maintenant.
Mangèrent avec lui dans sa maison, littéralement : Mangèrent du pain avec lui; mais ce nâest pas sur le pain que lâauteur veut insister. La locution employée équivaut à notre : se mettre à table, prendre un repas.
Une késita : un poids quelconque dâargent. Lâauteur transporte ici, comme partout, la scène de son poème dans la plus haute antiquité : ce terme ne se trouve que dans les récits les plus anciens, à propos de lâépoque patriarcale (Genèse 33:19 et Josué 24:32).
Ce dernier passage est lui-même une citation du fait rapporté dans le premier (voir note à Genèse 33:19).
Lâidentité des présents (une késita et un anneau) de tous les visiteurs de Job est un des traits par lesquels lâauteur fait voir lui-même quâil faut entendre ce récit comme un poème.
Il en est de même pour le nombre des bestiaux qui se trouve être exactement le double de lâancien état de choses (Job 1:3).
Avec un tact digne dâattention, lâauteur comprend que, quand il sâagit dâenfants, le nombre nâest pas une compensation pour les pertes subies; câest ici le domaine du cÅur, où les chiffres perdent leurs droits. Aussi se borne-t-il à indiquer le même nombre dâenfants quâavant la catastrophe (Job 1:2). La seule différence, câest que cette fois-ci nous apprenons les noms des trois sÅurs.
Jémima, peut-être colombe; pure comme une colombe. Dâautres : belle comme le jour.
Ketsia, nom tiré du cassia, écorce odoriférante. Comparez Cantique 1:3.
Kéren-Happuc, corne (fiole) de cosmétique. Le mot de puc, rendu ici par cosmétique, lâa été dans 2 Rois 9:30 et Jérémie 4:30 par fard, dans Ãsaïe 54:11 par antimoine, dans 1 Chroniques 29:2 par pierres noires. Voir les notes à ces deux derniers passages.
Le verset 15 montre quâelles étaient bien ce que leurs noms indiquaient.
La seconde partie du verset nâest pas destinée à donner une haute idée de la fortune de Job, mais bien de lâimportance quâil attachait à ce que des liens étroits subsistassent entre tous ses enfants, même après leur mariage. Comparez Job 1:4.
Cent quarante ans. Ceci montre de nouveau lâintention du poète de placer toute cette histoire dans le temps des patriarches, qui mouraient aussi âgés et rassasiés de jours (Genèse 25:8; Genèse 35:29).
Conclusion sur lâépilogue
La réhabilitation de Job suggère plusieurs observations.
1) Mais si Ãlihu nâest pas nommé, ce nâest pas, comme plusieurs le pensent, parce que son discours ne faisait pas, dans le principe, partie du poème et quâil y a été ajouté plus tard, car il eût été bien facile à lâauteur de cette adjonction dâintercaler en terminant un mot qui vînt corroborer son explication. Lâabsence de blâme suffit à mettre Ãlihu au-dessus des trois amis; lâabsence de louange résulte de ce que lui-même nâétait pas encore pleinement initié à la vérité, parce quâil ne possédait pas la clé du problème renfermée dans le prologue.
2) Cette ignorance où il est laissé est sans doute destinée à nous faire comprendre que lâhomme doit se résigner à passer sa vie entière sans saisir toute la pensée de Dieu, et en acceptant avec une confiance aveugle ses dispensations. Cela ne veut pas dire que nous devions ignorer toujours le plan de Dieu : le livre même de Job nous le fait connaître sur un point capital. Le lecteur est éclairé là où Job et Ãlihu lui-même demeurent dans les ténèbres. Il y a donc progrès dans la révélation; ce que Job et Elibu ignorent encore, lâauteur de notre livre le révèle à ses lecteurs; câest un pionnier dans le domaine de la vérité révélée. Il a le sentiment dâapporter au monde un rayon de lumière qui nâavait pas brillé jusquâalors dans le cÅur des justes, pour les éclairer dans leurs souffrances plus ou moins imméritées.
3) On est surpris de voir toute la réhabilitation de Job consister en bénédictions temporelles : nombre double de bestiaux; naissance de nouveaux enfants, dont les filles sont particulièrement belles; prolongation considérable de vie. Nous avons déjà touché cette question dans notre introduction. Lâauteur tient seulement à montrer quâil y a eu réhabilitation. Quant à la nature du rétablissement, il en demeure strictement au point de vue de lâancienne alliance. Le juste de lâAncien Testament pouvait souhaiter ardemment et même contempler par moments, et par un effort suprême, la vie future (Job 19:23-29); mais câétaient là des choses qui nâétaient pas encore mises en évidence. Pour nous, en tout cas, le mode de restauration de Job apparaît insuffisant; mais câest précisément ce caractère dâinsuffisance qui force à attendre quelque chose de mieux et à songer à une restauration supérieure, dont celle-ci nâest que le prélude et la faible image. Si lâon rapproche Jacques 1:12 de Jacques 5:11, on sent que câest bien ainsi que les premiers chrétiens comprenaient notre livre. Ne trouvons point étrange, dit Calvin dans son dernier sermon sur le livre de Job, que pour ce temps-là Dieu ait voulu par cette prospérité terrienne et caduque déclarer son amour envers les fidèles; car il nây avait point alors telle révélation de vie céleste comme elle est aujourdâhui en lâÃvangile : Jésus-Christ nâétait point manifesté, lequel est descendu ici-bas pour nous attirer là -haut, lequel a vêtu notre chair afin de nous montrer que Dieu habite en nous et quâil nous a conjoints à sa gloire et à son immortalité. Ces choses-là nâétaient point encore. Il a donc fallu que les fidèles fussent traités en partie comme des petits enfants. Et voilà pourquoi, quand il est parlé des Pères anciens en lâÃcriture, notamment il est dit que Dieu les a bénis en lignée, en bestial, en possessions et choses semblables et même en longue vie. Et pourquoi ? Il fallait quâils fussent aidés par ces moyens-là , en attendant que la vie céleste nous fût révéléeâ¦
Conclusion sur le livre de Job
Heureux, dit le psalmiste, celui qui se conduit sagement envers le misérable, ou, selon la paraphrase de Calvin, lâhomme entendu à lâégard de lâaffligé et qui en juge prudemment (Psaumes 41:1). Les amis de Job nâont pas eu cette prudence-là . Les Juifs se sont également trompés quand ils ont pris pour un homme battu de Dieu, à cause de ses propres péchés, le juste qui mourait pour les leurs (Ãsaïe 53:11). Et aujourdâhui encore il ne manque pas de personnes qui se croient dans la vérité quand elles mettent toute souffrance en relation directe avec le péché personnel. Câest là une pensée naturelle au cÅur de lâhomme. Volontiers on change en une faute le malheur du prochain et lâon ne se doute pas quâen généralisant une vérité particulière, on tombe dans une suprême injustice, capable dâaigrir, peut-être même de troubler profondément les affligés auxquels on ajoute ainsi lâaffliction. On nâest pas même toujours dans le vrai quand on regarde lâépreuve du juste comme un remède prophylactique contre lâorgueil on contre les germes du péché qui se trouvent dans tout cÅur dâhomme et qui se développeraient peut-être au sein dâune vie trop facile. La pensée de Dieu est plus élevée même que celle dâÃlihu, et, sous ce rapport, notre livre renferme une leçon que nous ferons bien de ne pas laisser écouler lorsque nous nous trouverons en face de frères visités par la souffrance.
Renan, peut-être parce quâil nâa pas compris ce poème (quâil a si bien traduit), nâen prétend pas moins quâil pose le problème de la souffrance, mais ne le résout pas.
Job nâa jamais désespéré, et sa fin nâa rien de désespérant.
Or cette pensée-là , cette conception de la souffrance du juste, dâoù vient-elle à lâauteur de notre poème ? Qui aurait jamais soupçonné que les maux les plus terribles et les plus humiliants auxquels est exposée une créature fidèle puissent contribuer à la gloire du tout-puissant Créateur ? Nous nous demandions naguère où notre auteur avait trouvé la pensée de la scène céleste quâil nous présente à deux reprises dans le Prologue. Nous demandons maintenant où il peut bien avoir trouvé cette notion si élevée et si précieuse de la souffrance ? Nâest-ce pas là un joyau qui lui a été confié dâen-haut ? Et nâest-ce pas la joie de se sentir en possession de ce trésor qui lâa rendu capable de composer cette Åuvre admirable qui, au simple point de vue littéraire, se maintient constamment dans des hauteurs où les autres produits du génie de lâhomme ne parviennent quâà de rares intervalles ?
Nous venons de parler de la beauté constante de ce poème. Quâon se rappelle la foule de tableaux frappants, de reliefs profondément fouillés, de descriptions éclatantes qui passent successivement sous les yeux du lecteur au cours de ces quarante-deux chapitres; il y a de lâart jusque dans les apparentes défaillances de la composition : ainsi, par exemple le dernier discours de Bildad (chapitre 25) est, nous a-t-il paru, intentionnellement faible. Est-ce à dire que, comme on le pense souvent, cette beauté ininterrompue finisse par lasser, suivant lâadage :
Lâennui naquit un jour de lâuniformité ?
Nous ne le pensons pas. De loin et lues superficiellement, les attaques des trois amis et les réponses de Job peuvent paraître monotones. Mais, si lâon y regarde de plus près, on éprouve une sensation toute autre.
Quoi de plus varié et de plus riche en imprévu que lâinvocation de Job réclamant, pour maudire efficacement la nuit de sa naissance, le secours des experts en incantations (Job 3:8); que la manière en laquelle Ãliphaz décrit la vision nocturne qui lâa confirmé dans sa manière de juger la souffrance (Job 4:12-21); que les images dont Job se sert pour faire comprendre la déception que lui ont causée ses amis par leur absence de sympathie (Job 6:15-20); que la haute idée quâil se fait de la souveraineté incontestable de Dieu, quâon lâaccuse dâignorer ou dâoublier (Job 9:2-12; Job 12:13-23) ? Quâon se rappelle encore, au défaut de la pitié divine, son appel désespéré à la pitié de ses amis (Job 19:21); la dureté de Tsophar (Job 20:24-29), lâadmirable chapitre 29 tout entier, etc.; autant de morceaux touchants ou véhéments, tendres ou froids, suppliants ou ironiques.
Et, à côté de cette variété de détails, quelle vie, quel mouvement, dans lâensemble de lâouvrage, et comme tout y marche ! Ce point vaut que nous nous y arrêtions un instant.
Tout dâabord, chacun des trois amis a une figure à part. Ãliphaz emploie des expressions qui ne se trouvent que dans sa bouche : ainsi crainte tout court, dans le sens de crainte de Dieu, ou de piété (Job 4:6; Job 15:4; Job 22:4); être détruit (Job 4:7; Job 15:28; Job 22:20); être utile (Job 15:3; Job 22:2). Bildad a quelque chose de particulièrement sentencieux (chapitres 8 et 18); deux fois il entre en matière par la question : Jusquâà quand ? (Job 8:2; Job 18:2), qui ne se trouve dans la bouche de Job que comme un rendu (Job 19:2); il est le seul des trois qui emploie le verbe croître, sâélever, prospérer (Job 8:11; Job 12:23). Tsophar enfin a pour spécialité de ne pas reculer devant lâemploi dâimages peu relevées : il parle dâun homme creux pour dire un homme qui nâa pas de cÅur et dont la poitrine est vide (Job 11:12). Voir encore Job 20:7; Job 20:14; Job 20:15; Job 20:20; Job 20:23. On est presque tenté, lorsquâon étudie le texte de près et dans lâoriginal, de se demander si, dans le principe, les trois amis nâétaient pas trois personnes réelles qui se seraient partagé les rôles et qui auraient parlé chacune suivant son caractère et sa tournure dâesprit.
Mais, indépendamment de cette originalité, qui nâest probablement quâun artifice de lâauteur unique du poème, il est évident que, à mesure que la discussion se prolonge, Job se relève et progresse, tandis que ses amis déclinent. Il y a là comme deux chemins qui partent à peu près du même point, mais dont un monte, tandis que lâautre descend, si bien que, enfin de compte, Job a lâhonneur bien significatif dâêtre choisi pour obtenir, comme un sacrificateur agréable à Dieu, la grâce de ses amis profondément abaissés par un blâme direct. Dans le principe, quand on entend les plaintes véhémentes de Job, quand on le voit éclater en reproches amers sans que personne lui ait dit un mot, on ne peut sâempêcher dâadmirer la modération dâÃliphaz, qui se contente de lui répondre à peu près en ces termes :
Tu te fâches quand on ne te parle pas; tu te fâcheras plus encore si lâon te répond. Et cependant comment pourrait-on garder le silence (Job 4:2) ?
Cette impression est dâautant plus forte que les amis, après tout, défendent une idée juste en soi et fausse seulement par lâapplication quâils en font au cas de Job. Mais peu à peu lâinsistance avec laquelle ils en reviennent toujours à leur unique principe et la pauvreté de leur morale, les allusions pénibles, les personnalités blessantes quâils se permettent, leur absence de sensibilité, pour ne pas dire la dureté dont ils font preuve, leur aliènent les cÅurs, tandis que Job les gagne, non seulement par la grandeur de ses souffrances, que le lecteur sait être imméritées, mais encore par le danger, quâon le voit courir par moments, de tomber dans le blasphème, par ses cris de détresse, par la connaissance profonde quâil a des perfections divines, par sa foi quâil conserve malgré tout et qui même devient toujours plus assurée (Job 10:9 et suivants, Job 14:15; Job 16:19 et suivants, Job 17:9, 19.25 et suivants). On est heureux de le voir demeurer maître du terrain dans sa lutte avec les hommes, et lâon pressent quâil deviendra même un nouvel Israël, vainqueur en luttant avec Dieu. Enfin on est entièrement gagné par lâapaisement qui se produit dans son cÅur après la violente tempête qui est venue fondre sur lui. à partir du chapitre 27, son discours sentencieux commence à se dérouler sous la forme dâun monologue, plein dâune légitime fierté (Job 27:11 et suivants), car il connaît la sagesse qui est rare ici-bas (chapitre 28); plein de regrets également fondés (chapitre 29), plein du sentiment de son innocence (chapitre 31). On sent après cela que la diversion amenée par la subite intervention dâÃlihu ne peut être quâun acheminement au glorieux dénouement du drame. Il ne manquait quâune chose à ce juste, câétait dâêtre consacré par la souffrance (Hébreux 2:10). Il lâest maintenant, et vraiment la prospérité matérielle qui lui est rendue, ne semble être après cela quâune pite et, en quelque sorte, que la késita de la Providence.
Il nous est donc absolument impossible de comprendre comment Renan a pu porter sur ce poème le jugement suivant :
Lâhabileté de lâauteur se montre également, et nous ne faisons ici que grouper les résultats de diverses observations déjà faites à lâoccasion, dans la fidélité avec laquelle en toute chose il en reste au temps des patriarches, où il lui a plu de se transporter : longévité, genre de richesse, père de famille sacrificateur au milieu des siens, vision de nuit, monnaie employée, instruments de musique (Job 21:12 et Job 30:31; comparez avec Genèse 4:21 et Job 31:27). De même, pour désigner la divinité, il en demeure aux noms antiques de El, Eloah, Schaddaï, et il nâemploie le nom spécifiquement israélite de Jéhova (lâÃternel) ou dâAdonaï (le Seigneur) que dans Job 12:9, où il semble citer une expression proverbiale, et dans chapitre 1 et Job 28:28. Ce ne sont là que de légères inadvertances, comparables à celles de Job 40:4; Job 40:14 où le poète semble oublier que câest Dieu qui est censé parler dans ce chapitre.
Que néanmoins lâauteur soit un israélite, câest ce qui résulte, non seulement de ce quâil lui arrive, une fois, de parler du Saint (Job 6:10), notion de la divinité tout à fait inconnue en dehors de la théocratie, et, plusieurs fois, de lâimpiété comme nâen peut parler que quelquâun qui se trouve en face dâune révélation positive (Job 6:10; Job 21:14; Job 22:22; Job 23:11-12; Job 31:7) : certaines descriptions, telles que Job 22:6-9; Job 29:12-17, et lâétonnante délicatesse de sentiments que dénotent des passages tels que Job 31:1 et suivants; Job 31:13-15, font songer à diverses recommandations du Pentateuque et trahissent chez celui qui sâexprime ainsi lâeffet de la discipline sainte de la Loi.