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Sunday, July 20th, 2025
the Week of Proper 11 / Ordinary 16
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Whole Bible (6)
versets 1-58
Rassemblèrent leurs troupes. Comparez 1 Samuel 14:52 où il était dit-que durant tout le temps du règne de Saül il y eut guerre avec les Philistins.
Socho (voir Josué 10:35, note) : aujourdâhui Schuweikeh, à 14 km au sud-ouest de Jérusalem, ainsi du côté du pays des Philistins et non loin de Gath. Les Philistins nâoccupaient plus du tout le pays; câétait une nouvelle invasion.
Azéka : voir Josué 15:35, note.
Ephès-Dammim, aujourdâhui Damoum, à 6 km au nord-est de Socho; câétait le point de la ligne allant de Socho à Azéka, où était situé le camp des Philistins.
Vallée des Térébinthes : probablement la vallée appelée aujourdâhui Wadi Ela (mot qui signifie térébinthe).
Un champion, littéralement lâhomme des deux intervalles entre les deux armées; celui qui sâavance hors des rangs pour livrer un combat singulier qui doit décider de la victoire.
Goliath : lâéclatant.
De Gath : descendant des Anakim (Josué 11:21-22).
Six coudées et un empan, ou six coudées et demie, environ trois mètres et six centimètres, taille qui a été presque atteinte par quelques géants, même dans les temps modernes. En Inde, au pied de lâHimalaya, on a trouvé en 1838 un squelette de près de trois mètres, et en 1879 on montrait à Berlin un géant chinois de 279 centimètres de hauteur (Daheim, 1879).
Cinq mille sicles dâairain : environ 75 kilogrammes.
Entre les épaules. Il était suspendu là pour ne pas gêner les mouvements des bras. Les anciens portaient parfois lâépée elle-même de cette manière (Illiade, II, 45).
Ensouple : la grande pièce de bois qui forme le devant du métier du tisserand et autour de laquelle sâenroule la chaîne de la trame.
Pourquoi êtes-vous sortis⦠? Inutile de livrer bataille et de sâentretuer. Quâun homme, qui vous représente, combatte avec moi, qui suis le représentant des Philistins (le Philistin).
Tout le passage versets 12 à 31 est destiné à expliquer la présence de David au camp et à préparer ainsi le récit du combat dès la fin du verset 31. Les Septante omettent tout ce morceau, ainsi que le versets 41 à 50 et 55 à 58. David est introduit ici comme un personnage déjà connu (chapitre 16), mais les détails donnés sur sa famille, qui sont une répétition de ceux déjà donnés au chapitre 16, semblent indiquer que ce passage est tiré dâun autre document. Lâadjectif démonstratif cet rappelle quâil a déjà été parlé de lui.
Ce verset est destiné à montrer que David ne remplissait plus à lâordinaire la charge dâécuyer de Saül (1 Samuel 16:14-19), mais quâil était revenu à ses occupations ordinaires, sauf quand on lâappelait pour calmer les accès de Saül.
Ces quarante jours avaient peut-être épuisé les provisions, et le besoin de vivres se faisait sentir dans lâarmée. Bethléem nâétait pas éloignée du théâtre de la guerre.
Un gage. Cette expression a été diversement comprise. On ne peut supposer quâIsaï demande à David de rapporter un gage visible de sa visite à ses frères, ni non plus, comme on lâa pensé, quâil ait été chargé de racheter ce quâils avaient pu mettre en gage pour sâentretenir. Câest plutôt une locution qui signifie : Tu me donneras de leurs nouvelles sûres, ou bien : Tu me rapporteras les désirs quâils peuvent avoir.
Encore la répétition dâune notice déjà donnée (verset 2), ce qui confirme que nous avons ici un fragment dâun autre document, à moins pourtant quâon ne veuille mettre ce verset dans la bouche dâIsaï.
Ce verset prouve que, contrairement à ce quâont dit. quelques critiques, il y avait déjà des impôts, ou du moins des corvées en Israël.
Que fera-t-on⦠? Les paroles précédentes nâavaient pas été adressées à David, et il ne les avait sans doute entendues que confusément.
Cet incirconcis⦠Dans ces paroles vibre déjà le sentiment patriotique réveillé en David et qui lui inspirera la résolution quâil va prendre.
Et il fut rempli de colère. Eliab a pénétré la pensée secrète de David et nây voit quâun fol orgueil.
Laissé ce peu de brebis⦠Il ne méritait pas ce reproche; car il avait pourvu à leur sûreté; voir verset 20.
Je connais ton orgueil, littéralement : Moi (qui te vois de près), je connais ce que les autres ne savent pas.
Câest pour voir la bataille. Mais lâon ne sait où le portera encore cette curiosité.
Lâintention de David nâétait plus de sâinformer de la récompense promise par Saül, mais de faire entendre à ceux qui lâécoutaient quâil pensait à la mériter.
Le voyageur Thévenot dit : Les Arabes nâont point peur des lions, et pourvu quâun Arabe ait un bâton en main, il ira après un lion, et sâil lâattrape, il le tuera.
Le lion syrien est beaucoup moins grand et redoutable que le lion dâAfrique.
Ses habits : un vêtement destiné à supporter la cuirasse.
La guerre dépend de lâÃternel : toute guerre et, par conséquent, celle-ci.
Comparez ce qui est dit de lâhabileté des frondeurs benjamites, Juges 20:16.
Le fit mourir, lâacheva.
Lui coupaâ¦, littéralement, lui en coupa la tête, câest-à -dire de sa propre épée.
Jusquâà lâentrée de la vallée. Il faut probablement lire : jusquâà Gath. En hébreu, les deux mots vallée et Gath sont semblables.
Saaraïm : ville de Juda dans la plaine basse (Josuée 15.36, note). Ce point est indiqué ici parce que ce fut depuis là que les fuyards se partagèrent en deux bandes, allant lâune sur Gath, lâautre sur Ãkron.
Jérusalem. Sans doute, à lâexception de la forteresse, Jérusalem était déjà habitée par des Israélites; mais il est probable que ce ne fut que plus tard, lorsquâelle fut devenue la capitale du royaume, que la tête de Goliath y fut déposée par David comme monument de sa victoire.
Dans sa tente, pour : chez lui, comme souvent (1 Samuel 4:10; 1 Samuel 13:2); câétait la demeure quâil occupait chez son père a Bethléem. On voit par 1 Samuel 21:9 que lâépée de Goliath fut plus tard transportée de son domicile particulier dans le sanctuaire. Câétait lâusage chez les anciens de déposer les trophées dans les temples, en lâhonneur du Dieu qui avait accordé la victoire.
Le morceau 1 Samuel 17:55-18.5 est évidemment inséré à cet endroit au moyen dâun document différent, pour suppléer à une lacune du récit précédent. La différence entre les deux documents ressort spécialement du fait que le nom de Jonathan nâest plus écrit de la même manière quâil lâavait été précédemment (Jéhonathan au lieu de Jonathan). De plus tout le morceau se termine par une réflexion générale (1 Samuel 18:5) qui anticipe sur lâavenir, tandis que le verset suivant se rattache au verset 54 du chapitre précédent. Mais ce récit semble être contradictoire à tout ce qui avait été raconté des relations antérieures entre Saül et David; et lâon se demande comment lâauteur aurait placé lâune à côté de lâautre deux traditions incompatibles sans se préoccuper de les mettre dâaccord ou sans sâapercevoir de cette contradiction ? Peut-être se représentait-il la chose de la manière suivante : Saül avait écouté la musique du jeune David et sâétait servi de lui pour porter ses armes, sans attacher grande importance à sa personne ni se préoccuper beaucoup de sa filiation et de la qualité de sa famille. Mais en le voyant sortir au-devant du Philistin avec un air dâintrépidité et dâassurance qui dénotait clairement le futur héros, frappé dâétonnement il demande à son général Abner, non pas : Qui est ce jeune homme ? Ni non plus : Quel est le nom de son père ? Selon la forme ordinaire en pareil cas, mais : De qui est-il fils ? Quelle est sa famille ? Dâoù sort un tel jeune homme? à ce sentiment dâadmiration pouvait se joindre chez le roi la pensée de la promesse quâil avait faite de donner sa propre fille en mariage au vainqueur du Philistin et de la position, de la famille dans laquelle elle serait appelée à entrer. Comparez la question quâadresse David lui-même aux-serviteurs de Saül (1 Samuel 18:18) : Quelle est ma position, la famille de mon père en Israël, que je sois le gendre du roi ? Câest à chaque lecteur à juger sâil veut admettre entre les documents une contradiction pure et simple que le rédacteur a cru devoir laisser subsister telle quelle, ou sâil croit pouvoir accepter lâessai de solution que nous venons de présenter. Pour nous, nous ne connaissons pas un seul cas où un historien ancien, dans une narration sérieuse, ait placé, à côté lâun de lâautre deux récits entre lesquels tout accord lui aurait paru impossible.
Les mots suivants (1 Samuel 18:1) : Lorsquâil eut fini de parler, font comprendre que ce nâest ici que le résumé dâun entretien plus long entre Saül et David.