Lectionary Calendar
Sunday, July 20th, 2025
the Week of Proper 11 / Ordinary 16
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Whole Bible (6)
versets 1-29
1 Ã 16 Le crime.
Jizréel, la résidence dâété (1 Rois 18:45).
Samarie. Le mot désigne ici la ville. Ce nâest que plus tard que le nom de Samarie a été donné à tout le pays des dix tribus.
Ce refus ne provenait pas dâun esprit dâopposition à la volonté de son roi, mais du respect quâil avait pour la loi de lâÃternel. Celle-ci défendait en effet à chaque Israélite dâaliéner la propriété que lui avait assignée lâÃternel (Lévitique 25:23-28; Nombres 36:7).
Mécontent et fâché; même expression que 1 Rois 20:43.
à sa maison : à Samarie (verset 18). Achab est retenu par des scrupules que ne connaît pas Jézabel.
Tu vas maintenant⦠On donne le plus souvent à ces mots un sens ironique en en faisant une question : Es-tu, oui ou non, roi⦠? Mais ils peuvent bien renfermer une exhortation humiliante à exercer enfin son autorité de roi. Elle lui montre comment il faut sây prendre pour cela.
Dans la ville de Naboth : en opposition à Samarie où résidait en ce moment Achab.
Qui habitaient avec lui; qui devaient ainsi connaître sa piété et son honnêteté.
Publiez un jeûne; comme si un grand crime avait été commis, dont toute la ville devrait sâhumilier. Câétait déjà préjuger le crime imputé à Naboth.
Au premier rang, comme accusé.
Deux mauvais sujets. La loi réclamait deux témoins (Deutéronome 17:6; Deutéronome 19:15). Pour jouer un pareil rôle, il fallait des gens capables de tout, câest-à -dire ne valant rien; câest là le sens littéral du mot employé (beli-jaal).
Blasphémé, littéralement : béni, expression ironique comme notre locution vulgaire : envoyer promener. Peut-être Naboth avait-il parlé avec indignation de lâexigence du roi.
Dieu et le roi sont également réunis dans Exode 22:28. Parler mal du roi, câétait du même coup mal parler de Dieu dont le roi était le représentant.
Lapidez-le : comparez Lévitique 24:15-16; et cela hors de la ville, en évitation de souillure ! Comparez Nombres 15:35-36.
Selon ce qui était écrit. Un ordre écrit et avec le cachet du roi ! Y résister, sous une telle reine, leur semble impossible.
Il est mort. Câest le fait; Achab nâa pas à sâinquiéter de savoir comment il est arrivé si à point. Par 2 Rois 9:26, nous apprenons que les fils de Naboth, ses héritiers, avaient été lapidés avec lui.
Pour descendre. Samarie était plus élevée que Jizréel, qui se trouvait dans la plaine dâEsdraélon. Achab accomplissait ainsi la menace 1 Samuel 8:14, avec cette différence que câétait pour lui-même et non pour ses serviteurs quâil sâappropriait le bien de ses sujets.
17 Ã 26 La sentence divine.
Descends. Nous ne savons où Ãlie vivait retiré depuis son retour dâHoreb, peut-être sur le Carmel.
Et tu lui parleras⦠et tu lui parleras. Ces mots, deux fois prononcés, accentuent fortement le sérieux de la sentence divine.
Tu as tué; laisser tuer, câest tuer.
Dans le lieu, et non pas seulement, comme plusieurs traduisent en échange de ce que; voir 2 Rois 9:26. Mais il est à remarquer que ce fut en la personne dâAchazia, fils dâAchab, que sâaccomplit ce trait spécial de la menace; le sang dâAchab fut léché par les chiens à Samarie. Cette différence se lie à la modification de la sentence accordée à Achab ensuite de sa repentance.
Mon ennemi : 1 Rois 18:17.
21 Ã 22. Comparez 1 Rois 15:29-30.
Tout mâle (1 Samuel 25:23). La suite montrera lâaccomplissement de ces menaces. Achazia mourut dâune chute dans le champ de Naboth, transformé en palais de plaisance; Joram fut tué par Jéhu; les autres fils dâAchab furent massacrés et leurs têtes mises dans des sacs. Ainsi fut redemandé le sang de Naboth et de ses fils.
Sous le rempart. Comparez 2 Rois 9:30 et suivants et Jéhu passait par la porte, à son entrée dans la ville, quand Jézabel attira à dessein sur elle sa colère et fut jetée entre le mur et lâavant-mur.
La même menace est, depuis 1 Rois 14:11, prononcée toujours de nouveau sur les rois impies.
Câest que⦠Le narrateur interrompt son récit par les réflexions contenues versets 25 et 26. Le sens est : cette punition extraordinaire nâétait pas trop rigoureuse, car aussi les crimes de celte famille avaient passé toute mesure.
27 Ã 29 Repentance dâAchab.
Marchait doucement; à pas lents, comme un homme brisé par la douleur. Cette repentance était sincère, quoique peu profonde; aussi lâÃternel lui en tient-il compte. Dès quâil a déchiré ses vêlements, revêtu le sac et la corde, et quâil sâest couché dans la poussière, Dieu dit à Ãlie : Nâas-tu pas vu quâAchab sâest humilié ? Dieu, a dit quelquâun, paie par un bienfait temporaire une repentance temporaire.