Lectionary Calendar
Monday, July 21st, 2025
the Week of Proper 11 / Ordinary 16
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Bible Commentaries
Commentaire biblique avancé Commentaire biblique avancé
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Ces fichiers sont dans le domaine public.
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Informations bibliographiques
bibliography-text="Commentaire sur 1 Kings 13". "Commentaire biblique avancé". https://studylight.org/commentaries/fre/cba/1-kings-13.html.
bibliography-text="Commentaire sur 1 Kings 13". "Commentaire biblique avancé". https://studylight.org/
Whole Bible (6)
versets 1-34
Chapitres 12 et 13
Ch. 12 v. 1-24 â Division du royaume, en jugement sur Salomon
Dieu agit en jugement envers Salomon, mais la grâce en limite lâétendue
Dieu suscite à Salomon des châtiments et des chagrins pendant sa vie, et ôte à sa famille la domination sur la plupart des tribus [(11:35)], déclarant quâil affligerait la postérité de David, mais non pas pour toujours [(11:39)].
Folie de Roboam et perte de lâautorité sur dix tribus et de la gloire du royaume
Selon la plainte du roi (Eccl. 2:19), celui à qui Salomon a laissé tout le fruit de son travail, nâétait pas sage. [12:15] Sa folie a amené sur lui les conséquences attachées, dans les conseils de Dieu, au péché de son père. [12:16] Sous la conduite de Jéroboam, dix tribus se sont soustraites à lâautorité de la famille de David. Envisagée au point de vue de sa responsabilité, la maison de David a entièrement perdu sa gloire et pour toujours.
Histoire séparée des deux royaumes
Nous avons à suivre lâhistoire des deux royaumes, et même plus particulièrement celle du royaume des dix tribus qui a conservé le nom dâIsraël [(12:20)], quoique Dieu fît encore luire la lampe de David à Jérusalem.
Ch. 12 v. 25 à 13 v. 10 â Chute de Jéroboam et prophétie divine
Ch. 12 v. 25-33 â Jéroboam établit un culte selon ses propres pensées, oubliant lâÃternel
Or la chute morale du nouveau roi, de Jéroboam, nâa pas tardé. [12:27] Jugeant dâaprès la sagesse humaine et oubliant la crainte de lâÃternel, [12:28] il fait deux veaux dâor, afin que les liens puissants dâun culte commun fussent rompus et nâattachassent plus ses sujets à Juda et à Jérusalem. [12:31] Une nouvelle sacrificature a dû être établie. [12:33] Tout, quant au culte, se faisait selon le propre cÅur de Jéroboam; [12:30] le péché dâIsraël était une règle établie, et la formule : « Jéroboam, fils de Nebath, qui a fait pécher Israël », est devenue la triste désignation de son premier roi.
Ch. 13 v. 1-6 â Témoignage de Dieu par la prophétie, et jugement de lâautel et du roi
Mais le témoignage et le jugement de Dieu nâont pas tardé à se montrer, selon la miséricorde de Dieu envers son peuple. [13:1] La prophétie recommence tout de suite à paraître; car lâamour fidèle de Dieu envers son peuple ne se lasse pas. Sa bonté demeure à toujours. Le témoignage de sa Parole â la prophétie â câest-à -dire lâintervention de Dieu en témoignage lorsque le peuple sâest détourné, et que les rapports ordinaires de Dieu avec lui sont brisés, ne manque pas. [12:22-24] Roboam lui-même est arrêté par la prophétie, dans son intention de faire la guerre à Israël pour le replacer sous sa domination. [13:2] Mais, dans le cas de Jéroboam, lâÃternel revendique les droits de sa gloire, [13:4] contre le roi lui-même [13:5] et contre son autel. Lâautel est fendu, les cendres répandues, [13:4] la main du roi étendue contre le prophète est desséchée, [13:6] et sa force ne lui est rendue que sur lâintercession de lâhomme de Dieu.
Ch. 13 v. 2 â Dieu pense à la maison de David, même au milieu du mal
Ici aussi, le Seigneur donne à connaître quâil nâa pas oublié la maison de David au milieu de tout ce mal. [13:2] Câest en elle que se trouvera le réparateur des brèches, et le juge de lâiniquité qui les a produites; car Juda est encore reconnu comme le lieu de son trône.
Ch. 13 v. 7-10 â Le prophète ne peut sâassocier à cet état souillé
[13:9] Il est défendu au prophète, chargé dâun tel témoignage, de boire même de lâeau, au milieu dâun peuple qui se dit Israël, mais qui est rebelle et souillé. Aucune participation à un mélange aussi coupable nâest permise, [13:21-22] et le prophète lui-même subit la conséquence du juste jugement de Dieu sur sa désobéissance. Telle était la sévérité de Dieu, à lâégard dâun acte qui prêtait son appui à un état dâinfidélité, que la lumière donnée de Dieu était suffisante pour juger.
Ch. 13 v. 11-32 â Le vieux prophète et lâassociation avec le mal
Les détails de ce cas méritent quelques remarques :
Ch. 13 v. 11-23 â Témoignage de Dieu par le prophète, et respect de Sa volonté
[13:17] Par la parole de Dieu, le prophète avait conscience du jugement de Dieu. Son cÅur aurait dû reconnaître, moralement aussi bien que prophétiquement, le mal affreux de la position dâIsraël; et le sentiment moral de ce mal aurait dû donner au témoignage prophétique toute sa puissance sur son âme. Dans tous les cas, la parole de Dieu était impérative : il ne devait là ni manger, ni boire. Il le savait et il sâen souvenait; [13:18] mais, en apparence, il y avait un autre témoignage, un motif pour négliger le commandement de lâÃternel. Le vieux prophète (car il était un prophète) lui annonçait que lâÃternel lui avait dit : « Fais-le revenir avec toi à ta maison, et quâil mange du pain et boive de lâeau », [13:19] et le prophète de Juda retourne avec lui. Il était fort désirable, pour le vieux prophète infidèle, quâun homme que Dieu employait comme témoin, et dont il croyait aussi lui-même le témoignage, sanctionnât sa propre infidélité, en sâassociant à elle. Extérieurement, il avait lâair dâhonorer le témoignage et le témoin de Dieu. En fait, le prophète de Juda détruisait, en retournant avec le vieux prophète, la force de son propre témoignage. Bien quâétant
prophète, le vieux prophète supportait le mal dont il était entouré. Le témoignage de Dieu déclarait, au contraire, que ce mal ne devait pas être supporté. [13:17] Câétait de ce témoignage que lâautre prophète était chargé; et le refus de manger et de boire dans cet endroit était le témoignage moral et personnel de sa propre fidélité, de sa conviction, et de son obéissance. Ce refus était le témoignage que, dans cette affaire, il prenait [13:19] Or, en retournant avec le vieux prophète, il annulait son propre témoignage, et sanctionnait le vieux prophète dans son infidélité. Dieu nâest pas revenu sur sa parole, si le prophète y a désobéi. [13:21-22] Le vieux prophète est puni, en ce que Dieu se sert de sa bouche pour annoncer les conséquences de sa faute au prophète sorti de Juda. Câest aussi une leçon qui nous enseigne, que là où Dieu nous a communiqué sa volonté, nous ne devons permettre à aucune influence postérieure que ce soit, de la mettre en question, même si cette influence prenait la forme de la parole de Dieu. Si nous étions moralement plus près du Seigneur, nous sentirions que la seule position vraie et bonne est de suivre ce quâil nous a dit au commencement.Importance dâobéir pour rester dans la position selon Dieu
Dans tous les cas, notre affaire est dâobéir à ce quâil a dit. Sa Parole nous placera dans une position vraie, dans une position affranchie du mal et de la puissance du mal, lors même que nous nâaurions pas lâintelligence spirituelle pour lâapprécier. Si lâon manque à cette obéissance, on perd la conscience de la fausseté de sa position, parce que le sentiment moral est affaibli. Il y a, tout au plus, du malaise, mais point de liberté. Là où est lâEsprit du Seigneur, là est la liberté [(2 Cor. 3:17)]. Lâinfidélité au témoignage simple et primitif de la parole de Dieu, ne nous met jamais en liberté, quelles que soient les raisons qui, en apparence, justifient cette infidélité.