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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Whole Bible (4)
versets 1-176
1 Ã 32 Introduction
Heureux celui qui dès sa jeunesse, fait de la loi de lâÃternel son guide et son trésor, de manière à être non seulement préservé de toute chute et de toute défection, mais mis au large, même à travers les plus profondes détresses.
1 Ã 8
Première strophe : Heureux ceux qui vivent selon la loi de lâÃternel !
Selon la loi, littéralement : dans la loi. Cette loi est lâélément dans lequel ils vivent et se meuvent. Le terme de loi, déterminé au verset suivant par celui de témoignages, est pris ici dans son sens le plus général et doit sâentendre de tout lâensemble des révélations divines. Comparez Psaumes 1:1; Psaumes 19:8.
Et le cherchent. Lâamour pour la loi divine nâa de valeur que si câest lâÃternel lui-même que le fidèle cherche dans ses témoignages, et si, de plus (versets 3 et 4), il met en pratique ce quâil connaît de la vérité.
Dans la seconde partie de la strophe, le psalmiste sâapplique à lui-même ce quâil a dit dans la première moitié.
Les décrets. Nous rendons ainsi le mot mischpathim, qui signifie proprement : sentences judiciaires. Il sâagit ici des décisions divines dont la loi est lâexpression.
Ne mâabandonne pas entièrement.
9 Ã 16
Deuxième strophe : Dès sa jeunesse, le fidèle se dirige dâaprès la parole de Dieu; il continuera à le faire.
Sa conduite, littéralement : son sentier.
Selon ta parole, et non selon sa propre sagesse ou celle des hommes.
Ne permets pas que je mâégare. Câest ici le langage de lâhumilité, à la vue des innombrables voies mauvaises qui sâouvrent à lâentrée de la vie.
Jâai serré, proprement : Jâai caché, comme un trésor que lâon craint de perdre (Luc 8:15).
Béni sois-tu ! Cri de louange inspiré au psalmiste par la pensée du grand prix de cette parole divine quâil possède en son cÅur et quâil désire connaître toujours mieux (enseigne-moiâ¦).
Comme si jâavais tous. les trésors. Comparez Psaumes 4:8.
17 Ã 24
Troisième strophe : Dans lâisolement et le mépris auxquels est exposé le fidèle, sa seule joie est de connaître les témoignages de Dieu.
Que je vive et que je garde, ou: Que je vive pour garder ta parole.
Dessille mes yeux. Comparez Ãphésiens 1:17-18.
Les merveilles de ta loi : les pensées dâamour et de sainteté que révèle cette loi, mais que lâhomme, remis à lui-même, ne sait pas voir.
Je suis étranger, en passage et méprisé (verset 22), sur cette terre, où je nâai rien qui mâappartienne en propre. Revenus de Babylone, les Israélites fidèles se sentaient étrangers dans leur propre pays, dont on leur disputait la possession et où on leur contestait le droit de servir fidèlement lâÃternel (Esdras chapitre 4).
Mon âme se consume, littéralement : Mon âme est brisée. Le fidèle, auquel rien nâest plus précieux que la parole divine, attend dans une véritable souffrance morale que les arrêts de Dieu, ses décrets éternels (voir verset 7, note), aient force de loi. Ainsi compris, ce verset fraie la voie au verset 21.
Tu as tancé. Ce passé fait allusion aux jugements exercés jadis sur les ennemis de Dieu. Ce que lâÃternel a fait, il le fera encore.
Gens maudits, qui sâégarent : allusion à Deutéronome 27:26.
Ãte lâopprobre. Le véritable opprobre repose sur ceux qui méprisent la loi de Dieu (verset 24); il ne saurait demeurer sur le fidèle.
Des princes ont beau sâasseoir. Il y a ici opposition entre ce conseil des princes et celui que le fidèle tient avec les témoignages de lâÃternel, quâil appelle les gens de mon conseil (verset 24). Le verset 23 semble avoir trait à ce que le peuple, revenu de lâexil, eut à souffrir de la part des chefs des peuplades voisines.
25 à 32 Quatrième strophe : La parole de Dieu est la consolation du fidèle
Mon âme est attachée à la poudre : elle touche à la mort (Psaumes 44:26).
Selon ta parole : conformément aux promesses de vie que tu as faites à ceux qui observent ta loi (Lévitique 18:5).
La voie du mensonge : celle de lâinfidélité, par opposition à celle qui est indiquée au verset 30.
33 Ã 144
Corps du psaume, composé de quatorze strophes, dont les sept premières ont plutôt le caractère de la supplication et les sept dernières celui de lâaction de grâces.
3>33 Ã 88 Besoin du secours divin
3>33 Ã 40
Cinquième strophe : Garde-moi dans la fidélité !
Enseigne-moi⦠Cette demande, comme celle des versets suivants : Donne-moi lâintelligenceâ¦, incline mon cÅurâ¦, détourne mes yeuxâ¦, est inspirée par un esprit bien différent du légalisme pharisaïque; le fidèle sent que ses bons désirs eux-mêmes sont lâÅuvre de Dieu.
Et-non vers le gain. Comparez Matthieu 6:33; 1 Timothée 6:10.
La vanité : ce qui nâa aucune valeur réelle et trompe ceux qui sây confient.
Confirme ta parole⦠: en accordant le secours et la protection quâelle promet.
Pour que lâon te craigne. Lâaccomplissement des promesses divines augmente la crainte de Dieu dans le cÅur de ses serviteurs (Psaumes 40:4; Psaumes 130:4).
Lâopprobre que je redoute. Dâaprès lâensemble de la strophe, il semble que lâopprobre redouté du fidèle est celui qui résulterait du péché lui-même, sâil sây livrait. Il craint par-dessus tout dây tomber, parce quâil trouve bons les jugements que Dieu prononce contre le mal.
Fais-moi vivre. Vivre, pour le psalmiste, câest observer les commandements de Dieu. Il est conforme à la justice de Dieu quâun tel désir soit exaucé.
41 Ã 48
Sixième strophe : Le fidèle implore la grâce de pouvoir confesser sa foi sans crainte et avec joie.
Nâôte pas de ma bouche⦠Si aucun signe de la faveur divine nâapparaissait envers lui (verset 41), le fidèle aurait la bouche fermée, en face des impies (verset 42).
Je marcherai au large. Il sâagit ici de la liberté, et de lâassurance intérieures qui accompagnent lâobéissance.
Je parlerai de tes témoignages devant les rois. La Confession dâAugsbourg a fait de cette parole sa devise.
Jâélèverai mes mains : témoignant ainsi que tous mes désirs se rapportent à tes commandements.
49 Ã 56
Septième strophe : En face du mépris des hommes, la parole de Dieu est la consolation du fidèle.
Mes cantiques. Il y a opposition entre ce mot, qui, dans le texte hébreu, est en tête du verset, et le premier mot du verset 53. Quand une ardente colère me saisit, ta parole est pour moi comme un cantique qui me réjouit.
Où je séjourne comme un passant, ou comme un étranger. David déjà disait, en parlant de la vie terrestre : Nous sommes des étrangers devant ta face et des voyageurs, comme nos pères (1 Chroniques 29:15). Les Hébreux, molestés et persécutés dans leur propre pays, après le retour de lâexil, pouvaient, à plus forte raison, tenir un langage semblable. Comparez verset 19.
La nuit. Comparez verset 62; Psaumes 42:9; Psaumes 63:7.
Et je garde ta loi. Le résultat des méditations du psalmiste est de graver plus profondément dans son cÅur la loi de Dieu.
Câest là ma part, hébreu : Câest là ce qui est à moi, ce qui mâappartient en propre (Psaumes 4:7; Luc 10:42). Cette pensée, indiquée déjà , quoique moins expressément, au verset 19, est développée dans la huitième strophe.
57 Ã 64
Huitième strophe : La bonne part du fidèle.
Tu es ma part. Comparez Psaumes 16:5; Psaumes 73:26.
Jâai fait le compte de mes voies : Câest après une sérieuse délibération avec lui-même quâil sâest tourné résolument vers Dieu et sa parole. Mais plus cette décision a été réfléchie, plus lâobéissance qui lâa suivie a été prompte (Je me suis hâté, verset 60) et persévérante (verset 61).
Je mâassocie⦠Le vrai croyant ne peut rester isolé dans sa piété.
Ta bonté remplit la terre (Psaumes 33:5). Lâhomme qui sait reconnaître cela nâen éprouve quâun désir plus vif de pénétrer dans les enseignements de la parole de Dieu (fin du verset).
65 Ã 72
Neuvième strophe : Câest sur la voie de lâhumilité et parfois de lâaffliction que lâon arrive à la vraie connaissance de la parole de lâÃternel.
Tu as agi avec bonté, même quand tu mâas humilié (verset 67).
Avant dâavoir été humilié, ou affligé; le verbe hébreu offre ces deux sens. Comparez Hébreux 12:5-11.
Moi, de tout mon cÅur⦠Les calomnies nâont pour effet que de porter le fidèle à une piété toujours plus sincère et obéissante.
Leur cÅur est figé : insensible et incapable de discerner ce quâil y a de divin dans la loi. Comparez Psaumes 17:10; Ãsaïe 6:10.
73 Ã 80
Dixième strophe : Dieu humilie, mais il témoigne aussi à son peuple sa compassion, de manière à confondre les impies.
Tes mains mâont fait. Câest là , pour le fidèle, un motif de confiance. Le Dieu qui lâa formé lui donnera aussi lâintelligence nécessaire pour comprendre sa volonté.
Ceux qui te craignent⦠se réjouiront : en voyant la bénédiction qui repose sur un homme que Dieu protège. Câest là une pensée qui revient souvent dans les Psaumes (Psaumes 34:3; Psaumes 35:27; Psaumes 107:42, etc.).
Que ta bonté soit ma consolation. Une telle requête peut être présentée avec confiance par lâhomme qui comprend que cette bonté ne sâest en réalité jamais éloignée de lui, que même câest elle qui lâa frappé et humilié (versets 65, 68, 75). Cette même grâce divine ne tardera pas à vivifier le fidèle, après lâavoir fait souffrir (verset 77).
Que les orgueilleux soient confus. Ils le seront, en constatant la bénédiction accordée au fidèle; ainsi une même cause remplira de joie les uns (verset 74) et de confusion les autres (verset 78).
Que⦠reviennent à moi : Quâils reprennent confiance en moi. Les épreuves dont est frappé le fidèle peuvent, comme celles de Job, éloigner momentanément de lui bien des hommes craignant Dieu, mais encore vacillants dans leur foi.
81 Ã 88
Onzième strophe : Angoisse redoublée et nouvel effort de foi.
Mes yeux languissent, fatigués de regarder vers la délivrance promise, sans quâelle vienne.
Une outre enfumée. Lâusage existait dans lâantiquité de suspendre au-dessus des foyers des outres pleines de vin, pour hâter la maturation de ce dernier. Il faut se représenter ici une outre tellement calcinée et racornie quâelle ne sert plus à rien.
Que sont les jours⦠: de quelle courte durée ! (Psaumes 39:5). Câest pourquoi, hâte la délivrance !
Du pays : de la Terre Sainte, dont les peuples voisins voyaient dâun Åil jaloux Israël reprendre possession.
Je nâai pas abandonné. La détresse aurait pu pousser Israël à faire de coupables concessions; il a tenu bon.
89 Ã 144
Le fidèle trouve en la parole de Dieu assurance et consolation.
89 Ã 96
Douzième strophe : Cette parole subsiste éternellement.
Dans les cieux. Détournant ses regards de sa triste position, le psalmiste, comme autrefois Abraham (Genèse 15:5), les élève vers les cieux; là règne sans conteste cette même volonté divine qui se fait entendre dans la loi donnée à Israël. Comparez Psaumes 89:3.
Tu as fondé la terre. La stabilité de la terre, de même que lâordre qui règne dans les cieux, témoigne de la fidélité de lâÃternel.
Si la loi nâeut fait mes délices⦠Une chose a préservé le fidèle dâun complet découragement, câest la foi à la sagesse, à la justice et à la bonté de Dieu, qui se révèlent dans la loi. Ce même attachement à la loi est la sauvegarde dâIsraël pour lâavenir (versets 93 à 95).
Jâai vu une fin. Les choses les plus excellentes sont passagères, et lâesprit humain se heurte partout à des limites infranchissables; mais il trouve dans la parole divine des horizons toujours plus vastes de lumière, de vie et de consolation.
97 Ã 104
Treizième strophe : Combien est douce à lââme fidèle la loi divine, qui donne la vraie sagesse !
Plus sage que mes ennemis. Quelle que soit leur intelligence, le premier principe de la sagesse, qui est la crainte de Dieu, leur fait défaut.
99 et 100
Plus éclairé que ceux qui mâenseignentâ¦, que les anciens. Ni lââge ni le savoir ne donnent, à eux seuls, la vraie sagesse; elle ne se trouve que dans la loi de lâÃternel, le docteur suprême.
Plus que le miel. Voir Psaumes 19:11.
105 Ã 112
Quatorzième strophe : En possession dâune telle lumière, le fidèle est résolu à observer la loi de Dieu, quoi quâil puisse lui en coûter.
Une lampe à mes pieds : une lumière qui, dans lâobscurité régnante, me met en état de poser le pied en lieu sûr. Comparez Psaumes 19:9.
Jâai juré Le peuple, dans son ensemble, lâa fait en Sinaï, lorsquâil a conclu alliance avec Dieu; pour le fidèle, chaque sacrifice est comme un renouvellement de cette alliance.
Selon ta parole. Voir verset 25, note.
Les offrandes volontaires de ma bouche. Comparez Psaumes 50:14; Psaumes 19:15; Hébreux 13:15.
Ma vie est en danger, littéralement dans ma main, expression qui se trouve Juges 12:3; 1 Samuel 19:5, dans le sens de : risquer sa vie. Ce verset pourrait donc signifier : Je suis prêt à tout risquer, pour observer ta loi; et câest dans ce sens que le Talmud dit : La prière de lâhomme nâest pas exaucée, sâil ne prend pas sa vie dans sa main. Le verset suivant indique plutôt quâil sâagit ici des dangers que court constamment le fidèle, il est vrai, à cause de son attachement à la parole de Dieu.
113 Ã 120
Quinzième strophe : Une seule chose est à redouter, câest le jugement qui atteindra ceux qui auront négligé la loi de lâÃternel.
Ceux qui sont doubles de cÅur : ceux qui clochent des deux côtés, entre le culte de lâÃternel et celui des faux dieux. Après le retour de lâexil, les compromis avec lâidolâtrie étaient le plus grand danger que redoutassent pour le peuple de Dieu des hommes tels quâEsdras et Néhémie. Lâhorreur pour de tels compromis nâest quâune des faces de lâamour pour la loi de Dieu (fin du verset).
Retirez-vous. Comparez Psaumes 6:9, note.
Soutiens-moi. Le secours continuel de Dieu est nécessaire à celui qui veut rester inébranlablement attaché à la parole divine.
Tu rejettes⦠avec mépris.
Leurs séductions, littéralement : leur tromperie, par laquelle ils se trompent eux-mêmes les premiers, les raisonnements spécieux par lesquels ils justifient leur conduite et séduisent ceux qui les écoutent.
119 à 120 Jâaimeâ¦, je crains
Lâamour pour la loi de Dieu nâinspire pas au fidèle une orgueilleuse sécurité. Plus il admire la sainteté de cette loi, plus il tremble à la pensée du jugement qui frappera les violateurs.
121 Ã 128
Seizième strophe : Que lâÃternel vienne au secours de celui que lâon persécute pour son attachement à sa loi !
Mes yeux languissent. Même expression que verset 82.
Et mâenseigne⦠La délivrance que demande le psalmiste doit le faire pénétrer mieux dans la connaissance de la volonté sainte de Dieu.
Câest pourquoi. Plus les commandements de Dieu sont oubliés, plus le fidèle en sent le prix.
Plus que lâor. Comparez Psaumes 19:11.
129 Ã 136
Dix-septième strophe : Le fidèle est avide des enseignements divins, et il sâafflige de les voir méprisés.
La révélation, littéralement : lâouverture de ta parole. Pour trouver la lumière, il faut que lâesprit de lâhomme pénètre dans le sens de lâÃcriture.
Jâai ouvert la bouche : dans le désir ardent de goûter et de savourer la parole de Dieu. Comparez Job 29:23.
Comme cela est juste, littéralement : selon le droit. Dieu veut bien accorder à ceux qui lâaiment le droit de recourir à sa grâce.
Fais luire ta face. Comparez Psaumes 80:4, Psaumes 80:8.
Ruisseaux dâeau : image empruntée sans doute à Lamentations 3:48.
137 Ã 144
Dix-huitième strophe : Les témoignages de lâÃternel sont justes, et, si les méchants les oublient, ils nâen font pas moins la consolation du fidèle, en toutes ses détresses.
Tu es juste. Le psalmiste célèbre ici la justice et la fidélité de lâÃternel, comme il a célébré sa bonté (versets 65 à 72) et son éternité (versets 89 à 96).
Mon zèle mâa consumé. Comparez Psaumes 69:10.
Pure de tout alliage. Comparez Psaumes 12:7; Psaumes 18:31.
145 Ã 176 Conclusion; quatre strophes
3>145 Ã 152
Dix-neuvième strophe : Ãcoute mon ardente prière !
Ils approchentâ¦, ils se tiennent loin⦠Plus ils sâapprochent de leur but inique, plus ils sâéloignent de Dieu.
Tu es proche, plus proche encore des tiens que le méchant.
Tes commandements, qui sont lâélément dans lequel je vis, sont la vérité même, contre laquelle tous les artifices du mensonge ne peuvent rien, et qui subsiste à toujours (verset 152).
153 Ã 160
Vingtième strophe : Fais-moi vivre !
Défends ma cause, proprement : combats mon combat (Psaumes 43:1; Psaumes 74:22).
Nombreux : répétition voulue du terme qui vient dâêtre appliqué aux compassions divines; le psalmiste voit dâune part une armée de méchants, dâautre part lâarmée des miséricordes célestes.
Les infidèles, ou perfides, qui violent la foi jurée. Peut-être le psalmiste a-t-il en vue les Juifs qui faisaient des concessions au paganisme (Esdras 9:13; Néhémie 13:4, Néhémie 13:15, Néhémie 13:23).
161 Ã 168
Vingt-et-unième strophe : Au milieu des persécutions, la parole de Dieu est la joie du fidèle.
Les grands, ou des princes, des hommes puissants, tels que ceux contre lesquels eut à lutter Néhémie, soit au sein même du peuple, soit au dehors (Néhémie 2:19; Néhémie 5:7).
Mon cÅur nâa craint⦠Qui craint Dieu nâa pas peur de lâhomme.
Sept fois le jour : nombre sacré et symbolique. Le fidèle ne sâen tient pas aux heures fixées pour la prière, le matin, à midi et le soir (Psaumes 55:18; Daniel 6:10), mais à toute heure il éprouve le besoin de louer Dieu.
169 Ã 176
Vingt-deuxième strophe : Strophe finale, qui résume le psaume entier. Que mon cri parvienne jusquâà toi !
Ma langue célébrera ta parole, littéralement : répondra à ta parole. Il y a entre lâÃternel et lâhomme pieux comme un dialogue recommençant chaque fois que le fidèle entend ou lit les Ãcritures.
Je suis errant. Au terme de ce psaume, qui nâest quâune longue affirmation dâattachement à la loi de Dieu, cette parole ne peut être entendue dans le sens dâun égarement spirituel. Il doit y avoir plutôt allusion à la position du peuple, qui se sent étranger et comme perdu dans son propre pays, où le poursuit le mauvais vouloir de ses ennemis.