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Friday, July 18th, 2025
the Week of Proper 10 / Ordinary 15
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Whole Bible (6)
versets 1-22
Il faut lire Sédécias au lieu de Jehojakim; comparez verset 12 et Jérémie 28:1. Ce dernier nom a été substitué au premier par une erreur de copiste évidente.
Au commencement : dans la quatrième année du règne de ce roi (Jérémie 28:1).
Des liens et des jougs : les liens pour attacher au corps les deux pièces de bois dont se compose le joug.
Mets-les : cet acte symbolique fut réellement exécuté.
Envoie-les. Il est difficile dâadmettre quâil ait réellement envoyé un joug à chacun de ces rois; mais celui que portait en ce moment Jérémie était pour les ambassadeurs un emblème parlant du message dont il les chargeait pour leurs maîtres.
Par les ambassadeurs : qui étaient venus sans aucun doute pour arrêter le plan dâune révolte générale contre Nébucadnetsar. Jérusalem était naturellement désignée par sa position pour être le centre de la coalition. Jérémie est chargé dâannoncer à chacun des conjurés que ce vaste projet échouera.
Ãdom, Moab, Ammon, les anciens ennemis dâIsraël, sâassocient aujourdâhui à lui pour faire le mal. Sous Jéhojakim encore ils étaient alliés à Babylone contre Juda (2 Rois 24:2).
Câest moi, et non pas la puissance des dieux de Babylone⦠Il fallait établir le droit de Dieu dans toute son étendue et dans son caractère le plus universel et le plus absolu, pour mettre les prétendus droits de lâhomme à leur place et fermer la bouche aux raisonneurs.
Mon serviteur : en tant que dépositaire de la puissance divine sur la terre à cette époque. Comparez Jérémie 25:9, note.
Même les animaux des champs : la terre elle-même, avec tous les êtres qui lâhabitent, tombe sous sa souveraineté.
Ce nâétait évidemment pas là lâétat normal de lâhumanité. Dâaprès le prophète lui-même, ce pouvoir absolu, dévolu à un seul homme, était un châtiment infligé aux peuples dâalors et destiné à les ramener à Dieu.
à lui, à son fils et au fils de son fils, soit deux générations après lui, câest-à -dire à peu près les soixante-dix années fixées dans le chapitre précédent comme la durée de la puissance chaldéenne. Le fils et successeur de Nébucadnetsar, Evil-Mérodac, fut assassiné par son beau-frère Nériglissor, qui avait épousé la fille de Nébucadnetsar, et le trône revint bientôt au fils de celle-ci, Laborosoarcod. Mais il fut tué au bout de quelques mois par Naboned, sous lequel fut détruite la monarchie babylonienne.
Le temps de son pays : le temps où le jugement atteindra à son tour la puissance des Chaldéens. Dieu a arrêté dâavance le temps des nations (Luc 21:24; Actes 17:26), le terme fatal de leur puissance, quâil fait coïncider avec le moment où la mesure de leur iniquité est comble (Genèse 15:16).
à lui aussi. Nébucadnetsar lui-même sera atteint par le jugement dont il est aujourdâhui lâexécuteur.
Des nations et de grands rois : comparez Jérémie 25:14; Jérémie 50:9; Jérémie 50:14.
Les fléaux de Dieu atteindront les peuples rebelles, sâils échappent à lâépée de Nébucadnetsar.
Le prophète désigne ici les diverses catégories de devins qui se trouvaient chez les peuples auxquels il sâadresse. Les inscriptions assyriennes et babyloniennes prouvent que les souverains dâOrient ne faisaient rien sans consulter les dieux. Ãzéchiel nous montre, Ãzéchiel 21:26, Nébucadnetsar consultant deux sortes de présages pour savoir sâil doit se diriger sur Jérusalem ou sur la capitale des Ammonites.
Pour vous éloigner de votre pays. Ces mots désignent non le but que poursuivaient réellement ces faux prophètes, mais le résultat inévitable de leurs mensonges.
La déportation en masse était le châtiment que les monarques dâOrient infligeaient aux peuples rebelles.
Toutes ces menaces sâadressaient au peuple de Dieu aussi bien quâaux peuples voisins. Israël, qui jusquâalors avait formé une théocratie, câest-à -dire un peuple dont Dieu était le souverain, devait apprendre à cette époque quâil pouvait perdre son indépendance politique, sans cesser cependant dâêtre le peuple de Dieu. Câest ainsi que les deux sphères, civile et religieuse, qui jusquâalors avaient été confondues dans lâÃtat théocratique, commencèrent à se séparer lâune de lâautre. Jésus-Christ a formulé nettement et pour toujours cette distinction dans cette maxime : Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.
Pourquoi mourriez-vous ? Se révolter, câétait se condamner à une mort certaine.
Les paroles des prophètes : tels quâHanania, dans le chapitre suivant. Ils parlaient au roi et au peuple dâindépendance, aux sacrificateurs du retour des meubles sacrés emportés à Babylone, à chacun dans le sens qui flattait ses goûts.
Bientôt : en opposition à la prédiction des soixante-dix ans, chapitre 25.
Sâils sont prophètes : Sâils ont vraiment quelque relation intime avec Dieu, quâils usent de ce privilège pour chercher à conserver ce qui reste encore, et non pour entretenir la fausse espérance de recouvrer ce qui est irrévocablement perdu.
Colonnes⦠Nébucadnetsar avait déjà enlevé du temple tout ce qui était dâor et dâargent; il nây restait plus que les vases et objets dâairain.
Les colonnes : voir 1 Rois 7:23-26
La mer : 1 Rois 7:23-26.
Les porte-bassins : 1 Rois 7:27-37.
Jusquâau jour : comparez Jérémie 32:5; sentence renfermant la promesse dâune restauration dont Dieu seul déterminera le moment.