- De tout temps, les hommes ont préféré leur aise et leurs avantages personnels, au bien public. Même ceux qui prétendent être religieux, recherchent généralement leur propre bien-être en priorité, par rapport aux intérêts de Christ. Bien peu, hélas, éprouvent un réel attachement en ce qui concerne la sainteté et les églises, ayant du mal à renoncer aux plaisirs de ce monde et à leur propre bien. Nos âmes devraient prendre plaisir à demeurer là où les « saints » et les manifestations spirituelles abondent !
Si nous n’avons pas cet amour de la « maison de notre Seigneur », et de tout ce qui contribue à notre communion avec Lui, comment serons-nous alors disposés à partir en direction du ciel ? Si nous sommes absents du corps de Christ, comment pouvons-nous être présents avec le Seigneur ? La sainteté parfaite de la nouvelle Jérusalem sera bien plus difficile à supporter que celle de l’église de Jésus-Christ, ici-bas !
Recherchons d’abord la faveur divine, et la gloire du Seigneur ; usons de patience, soyons dans le contentement, et rendons-nous utiles là où nous nous trouvons ; sachons attendre, dans l’espérance et la joie, notre entrée dans la ville sainte de Dieu !
Déclaration de droit d'auteur Ces fichiers sont dans le domaine public et sont dérivés d'une édition électronique disponible sur le site de la Christian Classics Ethereal Library.
Informations bibliographiques Henry, Matthew. "Commentaire concis sur Nehemiah 11". "Commentaire concis de Henry sur toute la Bible". https://www.studylight.org/commentaries/fre/mhn/nehemiah-11.html. 1706.
versets 1-36
Néhémie 11:1
* La répartition du peuple
- De tout temps, les hommes ont préféré leur aise et leurs avantages personnels, au bien public. Même ceux qui prétendent être religieux, recherchent généralement leur propre bien-être en priorité, par rapport aux intérêts de Christ. Bien peu, hélas, éprouvent un réel attachement en ce qui concerne la sainteté et les églises, ayant du mal à renoncer aux plaisirs de ce monde et à leur propre bien. Nos âmes devraient prendre plaisir à demeurer là où les « saints » et les manifestations spirituelles abondent !
Si nous n’avons pas cet amour de la « maison de notre Seigneur », et de tout ce qui contribue à notre communion avec Lui, comment serons-nous alors disposés à partir en direction du ciel ? Si nous sommes absents du corps de Christ, comment pouvons-nous être présents avec le Seigneur ? La sainteté parfaite de la nouvelle Jérusalem sera bien plus difficile à supporter que celle de l’église de Jésus-Christ, ici-bas !
Recherchons d’abord la faveur divine, et la gloire du Seigneur ; usons de patience, soyons dans le contentement, et rendons-nous utiles là où nous nous trouvons ; sachons attendre, dans l’espérance et la joie, notre entrée dans la ville sainte de Dieu !