Arrivés à la description du combat final qui ouvre définitivement toute la Palestine à Israël, rappelons-nous que la possession de Canaan est le grand sujet du livre de Josué, et que le pays de la promesse répond pour nous aux lieux célestes. Mais, au milieu des choses quâils contiennent, nous avons une possession spéciale qui est Christ. Nous sommes «bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ». Dieu veut que nos cÅurs sâapproprient les richesses de Celui dans lequel nous sommes, et quâils entrent dans ces choses, en sorte quâelles deviennent nôtres. Je ne parle pas dây entrer par lâintelligence; celle-ci peut en quelque façon les saisir, mais jamais dâune manière durable. Tout ce qui nâa pas été saisi par la foi sâécoule entre nos mains comme de lâeau. Il faut que nos affections soient à ces choses pour quâelles soient réellement notre propriété, et avant tout, il faut un objet aux affections, car, hors de Christ, les choses célestes elles-mêmes ne rempliraient pas nos cÅurs. Voilà pourquoi il est dit: «Cherchez les choses qui sont en haut, où le Christ est assis à la droite de Dieu».
Tel est le grand sujet du livre de Josué, mais un autre sujet sây rapporte. Lorsque Dieu place les choses célestes devant nos âmes, Satan cherche, par tous les moyens, à nous empêcher dâen jouir. De là le combat ouvert ou caché que nous avons à soutenir, et dont lâissue est fatalement une défaite, dès que Satan réussit à détourner nos regards de Christ pour les porter sur le monde, sur «les choses de la terre», ou sur nous-mêmes. Entre les chap. 1 et 11 du livre de Josué, vous rencontrez tous ces genres dâattraction. Mais Dieu se sert de ces expériences, quand le cÅur est net et droit devant lui, pour nous apprendre davantage à nous défier de nous-mêmes et à nous confier en lui, et pour nous amener finalement à prendre sur la terre cette position élevée, la seule grande, celle dâun chrétien qui marche humblement dans ce monde, ayant son cÅur et ses affections dans le ciel.
Au chap. 11, nous voyons une dernière confédération réunie à celle du chap. 9 (celle du chap. 10 ayant été détruite), pour constituer une armée formidable, «un peuple nombreux, en multitude, comme le sable qui est sur le bord de la mer» (v. 4); Satan cherche maintenant à écraser Israël sous le nombre. Câest lâinimitié ouverte, avouée, du monde contre le peuple de Dieu. Il ne sâagit plus dâartifices, mais dâune lutte en rase campagne, et câest ce que nous rencontrerons toujours, lorsque, dans un esprit dâhumble dépendance et dâobéissance à la Parole, nous aurons déjoué les ruses de lâennemi; il soulèvera le monde contre nous. Les hommes sâallient pour faire la guerre à Dieu, quand leur inimitié contre Dieu est à son paroxysme. Dâordinaire ils sâallient dans le but dâaméliorer, de réformer le monde; de là toutes les sociétés politiques, philanthropiques, religieuses, qui veulent civiliser, instruire, moraliser leurs semblables. Combien peu les hommes, hélas! même les chrétiens, se doutent que toute cette activité, en apparence louable, nâest que lâopposition cachée contre Dieu, sa Parole et ses desseins de grâce. Dieu ne cherche pas à améliorer lâhomme; il mentirait à sa Parole qui le déclare perdu sans ressource; or, si cette vérité humiliante, mais fondamentale, nâest pas acceptée, il nâest besoin ni de salut, ni de rédemption par le sang de Christ. En somme, les meilleures alliances des hommes ne sont au fond que la guerre déguisée de lâhomme naturel contre Dieu. Dans notre chapitre, nous trouvons la guerre ouverte contre Lui, mais dans la personne de ses saints. Les temps de la fin manifesteront cette inimitié de lâhomme parvenue à sa dernière maturité, lorsque le résidu fidèle dâIsraël sera le point de mire du monde, ameuté par Satan contre le témoignage de Dieu. La présente confédération a un chef; un centre de ralliement, la grande ville de Hatsor qui «était la capitale de tous ces royaumes»; une armée innombrable, une quantité de chevaux et de chariots. Le monde entier, avec toutes ses forces, est ligué contre Israël. En principe, ces choses se répètent pour nous aujourdâhui. Il est dit que «tout ce qui est né de Dieu est victorieux du monde; et câest ici la victoire qui a vaincu le monde, savoir notre foi» (1 Jean 5:4). Il est dit (1 Jean 2:14): «Vous êtes forts, et la parole de Dieu demeure en vous, et vous avez vaincu le méchant», câest-à -dire le prince du monde. Nous remarquons dans ces deux passages que les armes de notre guerre sont: la foi et la Parole. Câétait par la Parole que ces «jeunes gens», semblables à Christ au désert, avaient vaincu Satan. Ici la même vérité reparaît. Dès la fin du chap. 8, la parole de Dieu avait pris sa place dans le cÅur et les pensées de Josué et du peuple. Au chap. 10, ils lui gardent cette place (v. 27, 40); au chap. 11, elle est devenue comme lâhabitude de leur conduite en toutes choses. «Josué leur fit comme lâÃternel lui avait dit» (v. 9). «Il les détruisit entièrement, comme Moïse, serviteur de lâÃternel, lâavait commandé» (v. 12). Nous lisons encore: «Comme lâÃternel lâavait commandé à Moïse, son serviteur, ainsi Moïse commanda à Josué, et ainsi fit Josué; il nâomit rien de tout ce que lâÃternel avait commandé à Moïse» (v. 15). «Il les détruisit entièrement... comme lâÃternel lâavait commandé à Moïse» (v. 20). Sur cela, il est à remarquer que Josué ne se contente pas dâobéir à un commandement spécial, comme on le voit au v. 9, et comme il le fit tant de fois auparavant, ni de laisser à dâautres le soin dâaccomplir tout ce que Moïse avait commandé (8:35), mais cet homme de Dieu, parvenu au terme de sa grande carrière, nâavait rien omis de tout ce que lâÃternel avait commandé à Moïse. La Parole tout entière, telle quâelle lui avait été communiquée alors, était lâobjet de son attention scrupuleuse et dirigeait sa marche. Quelle puissance cela donne! Au chap. 8, la Parole formait le cÅur et les pensées de Josué; ici, cette épée de lâEsprit arme son bras. Satan ne peut rien contre elle.
Remarquez comment, à cette école de la parole de Dieu, on est enseigné à juger toutes les ressources de la puissance humaine. Ce ne sont, le fidèle le discerne, que des objets du jugement; il ne saurait quâen faire. Selon la parole de Dieu, «il coupa les jarrets à leurs chevaux, et brûla au feu leurs chars» (v. 9). Puis «on brûla Hatsor par le feu» (v. 11, 13). La capitale du monde ne peut en aucune manière devenir un centre pour Israël. La chose reste toujours vraie, quâil sâagisse de Hatsor, de Rome, ou de Babylone; et si Babylone nâest pas encore brûlée au feu, quâelle soit telle pour notre esprit. Tous les principes de ce monde, ce qui le gouverne, ce qui constitue son centre dâattraction, doit être pour nous une chose jugée, à laquelle nous nâayons aucune part, comme Israël nâen avait aucune à Hatsor. Les autres villes subsistent; Israël en pille le butin, affirmant ainsi, en accord avec la parole de Dieu, son droit à la prise de possession pleine et entière de Canaan. Mais la victoire était grande et lâaction fut complète: «Ils nây laissèrent rien de ce qui respirait» (v. 14). Lâépée avait exercé son jugement de destruction, comme lâÃternel lâavait commandé. Au spirituel, câest fidélité pour le croyant de placer lâhomme entièrement, sans merci, sous lâépée du jugement. De lâhomme, rien ne doit subsister dans la terre de la promesse.
Ah! si cela durait, ce serait beau et digne de Dieu. Nous verrons bientôt que cela ne dura pas.
Satan est défait, sa dernière armée détruite, ses villes prises; que reste-t-il encore? Israël trouve sur son chemin les sujets dâeffroi qui lâavaient fait tomber au commencement: ces Anakim qui avaient fait fondre son cÅur et lâavaient empêché de monter hardiment pour posséder le pays. Les espions disaient alors au peuple pour décrier Canaan: «Nous y avons vu les géants, fils dâAnak, qui est de la race des géants, et nous étions à nos yeux comme des sauterelles, et nous étions de même à leurs yeux» (Nomb. 13:34). Mais quelle impression pouvaient produire les enfants dâAnak sur lâesprit de celui qui marche en avant avec la parole de Dieu? La victoire est à lui. «Josué vint... et retrancha les Anakim». Et leurs villes, «des villes grandes et murées jusquâaux cieux» (Deut. 9:1). «Josué les détruisit entièrement avec leurs villes» (v. 21).
Josué recevait la Parole; il comptait sur la promesse de Dieu: «LâÃternel, ton Dieu, câest lui qui passe devant toi, un feu consumant; câest lui qui les détruira, et lui qui les abattra devant toi» (Deut. 9:3). Ah! comme nos craintes et nos frayeurs dâautrefois paraissent petites et mesquines, quand nous marchons avec Dieu. Quâest-ce quâun homme de «six coudées et un empan», avec une «cotte de mailles de 5000 sicles dâairain», devant le «Dieu souverain, créateur des cieux et de la terre, dominateur de toute la terre», devant qui toutes choses seront abaissées, et qui abaissera toutes choses devant les siens? Le Dieu de paix brisera bientôt Satan lui-même sous nos pieds! (Rom. 16:20).
versets 1-23
La victoire de Hatsor
Arrivés à la description du combat final qui ouvre définitivement toute la Palestine à Israël, rappelons-nous que la possession de Canaan est le grand sujet du livre de Josué, et que le pays de la promesse répond pour nous aux lieux célestes. Mais, au milieu des choses quâils contiennent, nous avons une possession spéciale qui est Christ. Nous sommes «bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ». Dieu veut que nos cÅurs sâapproprient les richesses de Celui dans lequel nous sommes, et quâils entrent dans ces choses, en sorte quâelles deviennent nôtres. Je ne parle pas dây entrer par lâintelligence; celle-ci peut en quelque façon les saisir, mais jamais dâune manière durable. Tout ce qui nâa pas été saisi par la foi sâécoule entre nos mains comme de lâeau. Il faut que nos affections soient à ces choses pour quâelles soient réellement notre propriété, et avant tout, il faut un objet aux affections, car, hors de Christ, les choses célestes elles-mêmes ne rempliraient pas nos cÅurs. Voilà pourquoi il est dit: «Cherchez les choses qui sont en haut, où le Christ est assis à la droite de Dieu».
Tel est le grand sujet du livre de Josué, mais un autre sujet sây rapporte. Lorsque Dieu place les choses célestes devant nos âmes, Satan cherche, par tous les moyens, à nous empêcher dâen jouir. De là le combat ouvert ou caché que nous avons à soutenir, et dont lâissue est fatalement une défaite, dès que Satan réussit à détourner nos regards de Christ pour les porter sur le monde, sur «les choses de la terre», ou sur nous-mêmes. Entre les chap. 1 et 11 du livre de Josué, vous rencontrez tous ces genres dâattraction. Mais Dieu se sert de ces expériences, quand le cÅur est net et droit devant lui, pour nous apprendre davantage à nous défier de nous-mêmes et à nous confier en lui, et pour nous amener finalement à prendre sur la terre cette position élevée, la seule grande, celle dâun chrétien qui marche humblement dans ce monde, ayant son cÅur et ses affections dans le ciel.
Au chap. 11, nous voyons une dernière confédération réunie à celle du chap. 9 (celle du chap. 10 ayant été détruite), pour constituer une armée formidable, «un peuple nombreux, en multitude, comme le sable qui est sur le bord de la mer» (v. 4); Satan cherche maintenant à écraser Israël sous le nombre. Câest lâinimitié ouverte, avouée, du monde contre le peuple de Dieu. Il ne sâagit plus dâartifices, mais dâune lutte en rase campagne, et câest ce que nous rencontrerons toujours, lorsque, dans un esprit dâhumble dépendance et dâobéissance à la Parole, nous aurons déjoué les ruses de lâennemi; il soulèvera le monde contre nous. Les hommes sâallient pour faire la guerre à Dieu, quand leur inimitié contre Dieu est à son paroxysme. Dâordinaire ils sâallient dans le but dâaméliorer, de réformer le monde; de là toutes les sociétés politiques, philanthropiques, religieuses, qui veulent civiliser, instruire, moraliser leurs semblables. Combien peu les hommes, hélas! même les chrétiens, se doutent que toute cette activité, en apparence louable, nâest que lâopposition cachée contre Dieu, sa Parole et ses desseins de grâce. Dieu ne cherche pas à améliorer lâhomme; il mentirait à sa Parole qui le déclare perdu sans ressource; or, si cette vérité humiliante, mais fondamentale, nâest pas acceptée, il nâest besoin ni de salut, ni de rédemption par le sang de Christ. En somme, les meilleures alliances des hommes ne sont au fond que la guerre déguisée de lâhomme naturel contre Dieu. Dans notre chapitre, nous trouvons la guerre ouverte contre Lui, mais dans la personne de ses saints. Les temps de la fin manifesteront cette inimitié de lâhomme parvenue à sa dernière maturité, lorsque le résidu fidèle dâIsraël sera le point de mire du monde, ameuté par Satan contre le témoignage de Dieu. La présente confédération a un chef; un centre de ralliement, la grande ville de Hatsor qui «était la capitale de tous ces royaumes»; une armée innombrable, une quantité de chevaux et de chariots. Le monde entier, avec toutes ses forces, est ligué contre Israël. En principe, ces choses se répètent pour nous aujourdâhui. Il est dit que «tout ce qui est né de Dieu est victorieux du monde; et câest ici la victoire qui a vaincu le monde, savoir notre foi» (1 Jean 5:4). Il est dit (1 Jean 2:14): «Vous êtes forts, et la parole de Dieu demeure en vous, et vous avez vaincu le méchant», câest-à -dire le prince du monde. Nous remarquons dans ces deux passages que les armes de notre guerre sont: la foi et la Parole. Câétait par la Parole que ces «jeunes gens», semblables à Christ au désert, avaient vaincu Satan. Ici la même vérité reparaît. Dès la fin du chap. 8, la parole de Dieu avait pris sa place dans le cÅur et les pensées de Josué et du peuple. Au chap. 10, ils lui gardent cette place (v. 27, 40); au chap. 11, elle est devenue comme lâhabitude de leur conduite en toutes choses. «Josué leur fit comme lâÃternel lui avait dit» (v. 9). «Il les détruisit entièrement, comme Moïse, serviteur de lâÃternel, lâavait commandé» (v. 12). Nous lisons encore: «Comme lâÃternel lâavait commandé à Moïse, son serviteur, ainsi Moïse commanda à Josué, et ainsi fit Josué; il nâomit rien de tout ce que lâÃternel avait commandé à Moïse» (v. 15). «Il les détruisit entièrement... comme lâÃternel lâavait commandé à Moïse» (v. 20). Sur cela, il est à remarquer que Josué ne se contente pas dâobéir à un commandement spécial, comme on le voit au v. 9, et comme il le fit tant de fois auparavant, ni de laisser à dâautres le soin dâaccomplir tout ce que Moïse avait commandé (8:35), mais cet homme de Dieu, parvenu au terme de sa grande carrière, nâavait rien omis de tout ce que lâÃternel avait commandé à Moïse. La Parole tout entière, telle quâelle lui avait été communiquée alors, était lâobjet de son attention scrupuleuse et dirigeait sa marche. Quelle puissance cela donne! Au chap. 8, la Parole formait le cÅur et les pensées de Josué; ici, cette épée de lâEsprit arme son bras. Satan ne peut rien contre elle.
Remarquez comment, à cette école de la parole de Dieu, on est enseigné à juger toutes les ressources de la puissance humaine. Ce ne sont, le fidèle le discerne, que des objets du jugement; il ne saurait quâen faire. Selon la parole de Dieu, «il coupa les jarrets à leurs chevaux, et brûla au feu leurs chars» (v. 9). Puis «on brûla Hatsor par le feu» (v. 11, 13). La capitale du monde ne peut en aucune manière devenir un centre pour Israël. La chose reste toujours vraie, quâil sâagisse de Hatsor, de Rome, ou de Babylone; et si Babylone nâest pas encore brûlée au feu, quâelle soit telle pour notre esprit. Tous les principes de ce monde, ce qui le gouverne, ce qui constitue son centre dâattraction, doit être pour nous une chose jugée, à laquelle nous nâayons aucune part, comme Israël nâen avait aucune à Hatsor. Les autres villes subsistent; Israël en pille le butin, affirmant ainsi, en accord avec la parole de Dieu, son droit à la prise de possession pleine et entière de Canaan. Mais la victoire était grande et lâaction fut complète: «Ils nây laissèrent rien de ce qui respirait» (v. 14). Lâépée avait exercé son jugement de destruction, comme lâÃternel lâavait commandé. Au spirituel, câest fidélité pour le croyant de placer lâhomme entièrement, sans merci, sous lâépée du jugement. De lâhomme, rien ne doit subsister dans la terre de la promesse.
Ah! si cela durait, ce serait beau et digne de Dieu. Nous verrons bientôt que cela ne dura pas.
Les Anakim
Satan est défait, sa dernière armée détruite, ses villes prises; que reste-t-il encore? Israël trouve sur son chemin les sujets dâeffroi qui lâavaient fait tomber au commencement: ces Anakim qui avaient fait fondre son cÅur et lâavaient empêché de monter hardiment pour posséder le pays. Les espions disaient alors au peuple pour décrier Canaan: «Nous y avons vu les géants, fils dâAnak, qui est de la race des géants, et nous étions à nos yeux comme des sauterelles, et nous étions de même à leurs yeux» (Nomb. 13:34). Mais quelle impression pouvaient produire les enfants dâAnak sur lâesprit de celui qui marche en avant avec la parole de Dieu? La victoire est à lui. «Josué vint... et retrancha les Anakim». Et leurs villes, «des villes grandes et murées jusquâaux cieux» (Deut. 9:1). «Josué les détruisit entièrement avec leurs villes» (v. 21).
Josué recevait la Parole; il comptait sur la promesse de Dieu: «LâÃternel, ton Dieu, câest lui qui passe devant toi, un feu consumant; câest lui qui les détruira, et lui qui les abattra devant toi» (Deut. 9:3). Ah! comme nos craintes et nos frayeurs dâautrefois paraissent petites et mesquines, quand nous marchons avec Dieu. Quâest-ce quâun homme de «six coudées et un empan», avec une «cotte de mailles de 5000 sicles dâairain», devant le «Dieu souverain, créateur des cieux et de la terre, dominateur de toute la terre», devant qui toutes choses seront abaissées, et qui abaissera toutes choses devant les siens? Le Dieu de paix brisera bientôt Satan lui-même sous nos pieds! (Rom. 16:20).