Le chapitre 18 contient un principe important des voies de Dieu, qui est mis en évidence à cette époque : [18:4] Dieu jugerait lâindividu selon sa propre conduite. La nation méchante, comme telle, était jugée. En fait, ce nâétait pas non plus pour lâiniquité des pères quâelle était jugée. Ses propres iniquités actuelles rendraient le jugement que leurs pères avaient mérité, le jugement de leurs propres actes. Mais maintenant, à lâégard de la terre dâIsraël, le principe de gouvernement, posé au chapitre 34:7 de lâExode, était abrogé, et les âmes appartenant individuellement à lâÃternel devaient subir individuellement le jugement de leur propre péché. [18:27] Aussi, Dieu pardonnerait au pécheur qui se repentirait, [18:23] car il ne prend pas plaisir en la mort du pécheur. Il sâagit encore du gouvernement dâIsraël sur la terre : chacun serait jugé individuellement selon ses voies1.
1 Il est important dâobserver quâil sâagit ici de jugement temporel allant jusquâà la mort. [18:2] Le prophète répond à lâallégation dâIsraël, quâil souffrait à cause des péchés de ses pères, selon le principe posé dans le livre de lâExode : il déclare que Dieu nâagira pas selon ce principe avec Israël, [18:4] que lââme ou la vie de chacun appartient à Dieu, quâil agira en jugement avec chacun pour ses propres péchés, [18:17] non pas avec le fils pour les péchés du père. Puis il pose les principes selon lesquels il agira en miséricorde et en jugement, mais les jugements sont des jugements temporels, et la mort est la mort physique dans ce monde. [18:21] Si le méchant se détournait de ses péchés quâil avait commis, il vivrait et ne mourrait pas, ne serait pas retranché pour les péchés dont il se repentait : [18:13] de même, quant au méchant, il mourra certainement, son sang sera sur lui; [18:20] lââme qui péchera, celle-là mourra. Ce nâest pas le père, ni le fils, à cause des péchés de son père, qui meurt; lââme ou la personne elle-même qui a péché, meurt pour ses propres péchés. Lâaccent est sur le mot « celle-là ».là ».
versets 1-32
Ch. 18 â Le jugement de chacun est selon sa propre conduite
Le chapitre 18 contient un principe important des voies de Dieu, qui est mis en évidence à cette époque : [18:4] Dieu jugerait lâindividu selon sa propre conduite. La nation méchante, comme telle, était jugée. En fait, ce nâétait pas non plus pour lâiniquité des pères quâelle était jugée. Ses propres iniquités actuelles rendraient le jugement que leurs pères avaient mérité, le jugement de leurs propres actes. Mais maintenant, à lâégard de la terre dâIsraël, le principe de gouvernement, posé au chapitre 34:7 de lâExode, était abrogé, et les âmes appartenant individuellement à lâÃternel devaient subir individuellement le jugement de leur propre péché. [18:27] Aussi, Dieu pardonnerait au pécheur qui se repentirait, [18:23] car il ne prend pas plaisir en la mort du pécheur. Il sâagit encore du gouvernement dâIsraël sur la terre : chacun serait jugé individuellement selon ses voies1.
1 Il est important dâobserver quâil sâagit ici de jugement temporel allant jusquâà la mort. [18:2] Le prophète répond à lâallégation dâIsraël, quâil souffrait à cause des péchés de ses pères, selon le principe posé dans le livre de lâExode : il déclare que Dieu nâagira pas selon ce principe avec Israël, [18:4] que lââme ou la vie de chacun appartient à Dieu, quâil agira en jugement avec chacun pour ses propres péchés, [18:17] non pas avec le fils pour les péchés du père. Puis il pose les principes selon lesquels il agira en miséricorde et en jugement, mais les jugements sont des jugements temporels, et la mort est la mort physique dans ce monde. [18:21] Si le méchant se détournait de ses péchés quâil avait commis, il vivrait et ne mourrait pas, ne serait pas retranché pour les péchés dont il se repentait : [18:13] de même, quant au méchant, il mourra certainement, son sang sera sur lui; [18:20] lââme qui péchera, celle-là mourra. Ce nâest pas le père, ni le fils, à cause des péchés de son père, qui meurt; lââme ou la personne elle-même qui a péché, meurt pour ses propres péchés. Lâaccent est sur le mot « celle-là ».là ».